chienne

Cet article est issu de mon imagination. Pour savoir ce qui est réellement arrivé et si j’ai osé, cliquez ici

Je ne sais ce qui me prend mais j’ai envie de me comporter en une vraie chienne ce soir. Et je pense que cela ne déplairait pas à Monsieur Yannick.

J’ai donc décidé de lui désobéir concernant ma tenue.

Je décide de mettre mon collier bitch avec la laisse. Je le camoufle à l’aide d’une écharpe.

Par-dessus ma poitrine nue entrecoupée par la laisse, j’enfile mon manteau. N’ayant pas de manteau long, j’ai décidé simplement d’enfiler une minijupe et mes collants jarretelles.

Je n’ai qu’une hâte : voir l’agréable surprise quand il découvrira ma tenue. Je prends mes sacs et je descends.

Il m’embrasse et me prends dans ses bras tout en me caressant. Il s’étonne :

« Habituellement, ta veste est ouverte et tu sais comme j’apprécie ton décolleté.

C’est sans gêne que je réponds :

– Ouvre-le alors.

Il déboutonne les quelques boutons et savoure la vision de ma poitrine avec la laisse entre mes 2 seins. Je comprends que mon initiative lui plaît :

– Dans la voiture, interdiction de fermer le manteau. Tu as choisi ta tenue, à toi de l’assumer. »

Je n’avais pas pensé à cette conséquence. Je monte à l’avant en remontant ma jupe. Il tâche d’ouvrir largement mon manteau. Au vu de l’heure, croiser des enfants dans une voiture me voyant ainsi est plutôt limité.

C’est ainsi qu’il nous conduit à l’hôtel. Ce qui ne l’empêche en aucun cas de jouer avec mon intimité ou mes seins tout en conduisant.

Je le vois à son regard que ce jeu lui plaît. Alors que ma timidité est en train de m’envahir et que je commence à me dire que je n’aurais jamais dû le faire. Même si mon corps exprime tout le contraire.

Et au lieu de descendre de voiture comme à l’accoutumé, il m’approche de lui en tirant sur la laisse et me dit :

« Tu sais que te voir à 4 pattes est quelque chose que je savoure. Tu vas y avoir droit puisque tu l’as cherché. »

Après avoir profité une nouvelle fois de mes seins et de mon intimité, il referme mon manteau et tâche de cacher le collier autour de mon cou.

Au guichet de l’hôtel, je me mets à côté de lui en espérant une main baladeuse de temps à autre.

Dans l’ascenseur, ce qui devait arriver arriva : il ouvre largement mon manteau et joue avec mon corps. Mais pas beaucoup de temps pour cela, nous sommes déjà arrivés.

Il sort en premier avec la laisse entre les mains. A peine sortie, j’entends :

« Donne-moi ton manteau et con écharpe. »

J’hésite. Je ne m’attendais pas du tout à ce que ce jeu tourne ainsi.

« Plus tu hésiteras, plus il y aura de risque que quelqu’un nous voit. »

J’enlève mon manteau, j’enlève mon écharpe et lui tend les 2.

« La règle de ce soir est je veux que tu lâches prise. Et vu que tu as commencé en étant chienne, tu n’auras le droit de te mettre debout que si je l’exige. Alors à 4 pattes. »

Mon regard est un mélange d’excitation, de timidité et d’incompréhension. C’est ainsi qu’étant vêtue uniquement de mon collant jarretelle et de ma minijupe que je me mets à 4 pattes. J’attends qu’il avance. Je comprends qu’avant de nous mener à la chambre, il m’enlève ma jupe et me prends ainsi en photo.

C’est laissée, à 4 pattes que je suis menée à la chambre. Je me laisse guider par lui. Il pose nos affaires. Je me rends compte de la situation que j’ai provoqué. Je suis ainsi quasiment nue à attendre à 4 pattes les ordres de mon maître, qui, lui, bien sûr prends tout son temps et me mate.

Il fouille dans mon sac et en sort mon rabbit. « Joue avec ».

Je l’insère en moi et commence à jouer avec les vitesses. Je me sens gênée et fais mon possible pour que mes gémissements, le plaisir prennent le pas. Monsieur Yannick quant à lui sort sa cravache et vient derrière moi.

Il me caresse avec et quand il souhaite augmenter mon plaisir, il me tape avec. Par moment, c’est avec mon rosebud qu’il joue. Et sans crier gare, la jouissance arrive. Mais Monsieur Yannick connaît mes gémissements, c’est juste à ce moment-là qu’il arrête de jouer avec le rosebud et me retire mon rabbit.

« Debout, face au mur. »

Je me lève et lui obéis. Ses mains me pénètrent et c’est ainsi qu’avec ses doigts, il me pénètre. Je ne contrôle plus mon corps. Mon corps suit ses doigts. Et si ses derniers s’arrêtent, je me retrouve presque assise sur eux.

« J’adore quand tu es chienne. »

Il reprend alors le rythme effréné jusqu’à ce que je finisse par couler. Mais mon excitation est telle qu’à peine coulée, mon corps en redemande. Monsieur me fait alors couler une deuxième fois.

Il me laisse me reposer quelque secondes avant que nous nous installions sur le lit, moi dans ses bras.

Seulement, mon initiative lui avait tellement plu qu’à peine quelques secondes plus tard, il me cherchait de nouveau et mon cul se frottait à son sexe, se terminant par me frotter à ses jambes.

Par la suite, s’enchaîna des fellations, des 69, des fessées, des mots, des ordres…

Je ne peux plus me souvenir de tout car je me suis laissé embarquer par le plaisir. Mais il n’oublia jamais la laisse et tâchait de faire en sorte que je reste à 4 pattes très souvent.

Après tout, je l’avais cherché. Après plusieurs coquineries, nous finîmes par nous endormir. Le lendemain matin, après une courte nuit, nous recommençâmes avant d’aller prendre le petit déjeuner et reprendre une vie normale dans laquelle je n’ai ni laisse ni collier.

Est-ce que cela va se réaliser ? À voir dans le prochain article !

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