La tenue exigée : les pince tétons, un haut sexy, un rosebud et une jupe, le collier en dentelle qu’il m’a offert.
L’heure s’approche et je n’ai pas l’intention de respecter les consignes pour faire une surprise. Une partie de moi est fière de cette surprise mais une autre se sent honteuse. Après tout, je m’humilie pour mieux me soumettre même si cela me procure du plaisir et si telle est ma volonté finalement.
Le téléphone vibre, c’est lui. Monsieur Yannick est en bas de chez moi. Je prends mes sacs et me voilà partie.
Il me prend dans ses bras et caresse mes fesses. Je sens à ses caresses que quelque chose le perturbe. Il soulève ma minijupe et vois la queue de chat installée dans mon cul. Afin de ne pas être visible, je l’ai coincée par le haut dans mon bas jarretelle.
Je sens qu’il ne va pas me demander ce que je désire tant : ouvrir mon manteau. je le fais de moi-même.
Il en est ravi car il a la vue suivante :

Il considère que j’ai respecté la tenue exigée sauf sur un point : le collier en dentelle. Il me promet alors une punition.
Il se met derrière moi et c’est ainsi que manteau ouvert, devant ma porte d’entrée, il joue avec mon clitoris. Je sais que je ne dois pas bouger mais je vois 2 personnes qui se dirigent vers nous. Je lui en fais part et tout ce qu’il trouve à dire, c’est ce mot que je déteste tant : « Et ? »
Mais par respect, il s’arrête au bon moment. Il met mes sacs à l’arrière et je monte dans la voiture, manteau fermé et jupe relevée.
Seulement, je meurs de chaud. pas le choix, j’ouvre le manteau du haut mais de manière à ce qu’il soit peu ouvert. Bien sûr, Monsieur Yannick l’ouvre en plus grand. Comme il fait nuit, il y a peu de chance que d’autres conducteurs me voient.
C’est l’évidence même, Monsieur Yannick joue avec mon clito et mon sein libéré.
Il se gare à l’arrière de l’hôtel et me demande de me coller à la voiture pour faire la photo plus haut.
Je pensais sincèrement qu’il allait jouer avec moi ici mais il se contente simplement de prendre en main mes seins et m’embrasser.
Nous remontons dans la voiture afin qu’il se gare devant. Nous rentrons et récupérons la clef.
Dans l’ascenseur, Monsieur Yannick a plein de sacs dans les mains. Je pense que cela l’empêche d’ouvrir mon manteau et d’en profiter. Il me dit simplement : « Tu vas libérer ta queue et relever ta jupe dans le couloir. »
J’obéis et marche devant lui jusqu’à la chambre. Je vais au fond et me libère de mon manteau et de mon écharpe ainsi que de mes chaussures.
L’ordre que je reçus fut : « A poil salope. »
Au vu de ma tenue, je ne devais enlever qu’une seule chose : ma jupe.
Il se déshabille également et garde uniquement son caleçon. Il s’empare de la laisse, m’approche de lui et m’embrasse. Il m’enlève les pince tétons afin de constater la sensibilité de mes seins. A priori, il fut ravi du résultat.
Puis, avec la pression de la laisse, il me fait m’agenouiller pour que j’embrasse ses pieds.
Il s’empare alors de la cravache et joue avec elle entre caresse et petit tape sur mon cul.
Quand il fut satisfait, il me relève en mettant ma tête en face de son sexe emprisonné dans son caleçon et me dit : « Joue. »
Je frotte alors ma tête contre son caleçon comme une bonne chienne au final. Je pense que j’ai passé ce cap ce soir-là.
Il me dit alors : « Enlève-le. »
Avec mes dents, je l’enlève. Il me fait mettre en bouche son sexe. A un moment, il prend la laisse et je comprends qu’il souhaite que je le regarde pendant la fellation.
Il me fait monter ensuite sur le lit tel un animal. Il me pénètre quelques secondes sans faire de va-et-vient avant de m’allonger sur le dos.
Il me pénètre de nouveau et il enchaîne sur un cuni de quelques secondes. Il me mets des bracelets en cuir aux chevilles et aux mains. Je sens le poids des entraves et je sens que c’est poussé plus loin la soumission.
C’est presque comme si j’étais une esclave, une femme devenue chienne qui n’a plus le droit de s’enfuir voire même qu’on lui enlève la liberté de pouvoir penser à l’idée de fuite.
Il continue sur un cuni avant de décider d’attacher mes mains et mes chevilles à une croix. Mes 4 pattes en l’air (en référence à une chienne), il se glisse dessous et profite pour à la fois me mordre et me faire un cuni.
Il me tourne, se mets dernière moi et continue son jeu pervers qui bien sûr, me fait monter dans la jouissance. Même si j’ai des soubresauts à chaque morsure.
Il finit par libérer mes chevilles et installe mes mains au-dessus de ma tête. Je subis le cuni avec plaisir et délice. tant pis pour les morsures, je fais de mon mieux pour ne pas bouger. j’ai failli le dire mais j’ai eu l’instinct qu’il valait mieux que je me taise : « Si c’est cela la punition pour ne pas avoir mis le collier, je recommencerais. » Je sus plus tard que j’avais bien fait de n’en avoir rien dit.
Pendant le cuni, j’ai senti des doigts qui me pénétraient dans mon intimité. il jouait également avec ma queue pour augmenter ma jouissance anale.
Il finit par l’enlever. Je ne me souviens plus de comment cela s’est passé exactement mais j’ai senti une double pénétration par ses doigts qui ‘na fait qu’augmenter mon plaisir. Et pour tout avouer, je ne me souviens plus si à ce moment-là, j’avais ou non son sexe également en bouche.
Quand il me jugea prête, il détacha mes 2 mains et même si j’avais toujours les entraves aux chevilles et aux poignets, il m’ordonna de me mettre debout devant la glace.
Il sait combien il est difficile pour moi de me regarder devant une glace alors imaginez comment je me sentais avec un collier « Bitch », une laisse en sachant qu’il comptait me faire couler.
Peu importe, je fis un effort surhumain pour me regarder même si j’essayais de fuir et de regarder ailleurs. Toutefois quand je sais que je coule, impossible de regarder, je ferme les yeux afin de mieux ressentir les sensations. c’est plus fort que moi.
Plus tard, il tentera de m’expliquer qu’il n’y a aucune gêne à se voir prendre du plaisir. Toutefois, avec le problème d’image en temps normal alors en temps que soumise…
Après m’avoir fait couler, il me retourne : »A genoux » dit-il en mettant la pression sur la laisse. Je m’empare une nouvelle fois de son sexe.
Quand je le sens rapetissé, nous nous allongeons sur le lit, moi dans ses bras. J’adore ces instants câlins. J’en ai besoin et cela m’apporte beaucoup.
Toutefois, je savais que cette nuit serait pleine de coquinerie. Il ne cesse de me caresser avant de me tendre sa jambe. Et devinez quoi ? Je me frotte bien sûr contre elle. Et nous voilà reparti. Au début, il commença par un cuni tout en m’immobilisant en me mettant sur moi sur le côté.
Il finit par réclamer un 69. Je lui obéis et fit de mon mieux pour lui donner autant de plaisir qu’il m’en donne à ce moment-là.
Je sentais par moment des doigts dans mon intimité ou dans mon cul. Peu importe, je laissais mon corps bouger pour obtenir le plaisir qu’il réclamait.
Monsieur Yannicke semble sataisfait puisqu’il ne cesse de dire que je suis une bonne chienne, comment je bouge comme une chienne…
J’avais toujours les entraves et pendant tout le temps des coquineries, je prenais conscience de leur présence, de leur poids et de l’emprise psychologique qu’elles avaient sur moi.
Il finit par me dire : « Allez, devant la glace. »
Je pensais « Encore ! »
J’obéis sans discussion et nous voilà reparti. A un moment, j’étais assise sur jambe avec ses doigts en moi et il me dit : « Supplie moi. »
C’est quelque chose que je n’arrive pas à faire. Mais je suis coincée car mon corps réclame son dû. Je le supplie deux fois mais j’ai bien conscience que mes supplications ne sont pas à la hauteur de celles attendues.
Peu importe, il accède à ma demande et me fait couler une nouvelle fois.
A peine remise : « je t’ai dit que tu serais punie. Alors monte sur le lit comme une chienne. »
Je me mets à 4 pattes, je monte sur le lit et je monte tout en restant à 4 pattes.
Il m’explique : « Je vais te donner des coups de cravache. A chaque coup, tu vas les compter et tu vas dire Merci maître.
– Bien Monsieur. »
Il me donne 2 petits coups mais le merci Maître est dit sur un ton trop neutre.
« Je vais y aller plus fort. »
Il me donne un autre coup plus fort et le merci maître est dit sur un ton de supplique, qui, cette fois, le satisfait. Je sens les coups de cravache qui tombe les uns après les autres :
3 Merci maître
4 Merci Maître
5 Merci Maître
6 Merci Maître
7 Merci Maître
7 Merci Maître
« Deux fois 7 ? Allez, tu recommences. »
Au 8ème coup, je ne supporte plus la douleur des coups littéralement, ce n’est plus un jeu. J’ai failli dire le mot d’arrêt. Mais je m’arrête et le supplie d’arrêter.
Il m’explique qu’il va me donner la punition mais qu’il ira moins fort.
J’arrive à compter jusqu’à 8 en ayant subi des coups plus ou moins forts. J’ai compris, je ne désobéirais plus mais je me demande si j’oserais prendre des initiatives.
Ravi de voir mes fesses rougies, il s’empresse d’une photo

Il juge mon humidité et malheureusement, je ne peux pas contrôler mon corps qui est bien humide comme à chaque instant quand Monsieur Yannick s’occupe de moi. Il me fait jouir en me disant que c’est ma récompense.
Il se prend alors pour un photographe et scénarise plusieurs positions avec la fameuse casquette de facteur
Lilisoumise avec une casquette de facteur, collier de chienne et entraves Lilisoumise avec la casquette de facteur sur ses fesses Lilisoumise en mode humiliation avec casquette de facteur Lilisoumise cache un de ses seins avec la casquette de facteur Lilisoumise cache un de ses seins avec une casquette de facteur
Il me libère alors de mes entraves, de la laisse ainsi que du collier pour redevenir une femme nue.
Nous décidons alors de dormir.
Il faut savoir que Monsieur Yannick est inarrêtable et vu que mon corps réponds favorablement, comment voulez-vous que je dorme quand il me donne des coups de reins pour que je sente son sexe sur mes fesses.
Toutefois, il finit par se calmer parce que j’ai une grosse journée qui m’attend le lendemain et il est temps de dormir.
Je sais que je dors moins que lui car je l’entends dormir alors que je suis bien réveillée. Je sais que j’ai dormi quelque peu mais pas d’un sommeil profond. Alors quand il bouge et que je le sens réveillée, je bouge volontairement mes fesses pour me frotter à son sexe.
Il m’a fallu plusieurs tentatives mais cela a fini par fonctionner. il me caresse et descends rapidement sur mon clitoris.
Il m’immobilise et je sens à ce moment-là que je lui appartiens. je suis à lui. Il y a dû avoir télépathie car il me demande : « Dis que tu m’appartiens. »
Je le dit et lui dit que c’est la sensation que je ressentais. il me confirme que c’est en fait une réalité.
Cela se poursuit sur un bon 69 jusqu’à ce qu’il se mette debout, ma tête au bord du lit, bouche grande ouverte pour accueillir son sexe pendant qu’il joue avec mon clitoris avec sa langue ou avec ses dents. Quelque part, heureusement que j’ai quelque chose en bouche car sinon je plains nos voisins de chambrée.
C’est ainsi qu’il finit par éjaculer dans ma bouche pendant qu’il me fait jouir.
Notre moment de plaisir passé, nous nous rendormons.
Ayant des obligations en ce samedi, il nous avait fallu mettre le réveil. Je ne vous raconte pas le réveil difficile. Enfin pour moi. Car lui, s’est empressé de prendre en bouche mes seins avant de me faire un ultime cuni.
Il me coince de nouveau avec son corps, ne pouvant rien faire si ce n’est subir ses morsures et ses coups de langue.
D’un coup, il me fait rouler et je me retrouve sur le dos. Mais pensez-vous que je puisse me lever ? Non. il s’empresse de me mordre les fesses.
Ce ne sont plus des gémissements de plaisirs mais des cris. Je les étouffe dans un coussin. Et bien entendu, il insère ces doigts et c’est ainsi que pour la première fois avec Monsieur Yannick et peut être la deuxième ou troisième fois de ma vie, j’inonde le lit.
Seulement, mon corps en redemande, alors, nous revoilà pour une deuxième inondation de lit.
Je me remets à peine de mes émotions que je ressens sa main sur mes fesses.
Non pas que je ne veuille plus prendre de plaisir mais le timing était serré, alors je me lève d’un bond pour mettre un point final à nos coquineries.
Et nous voilà en train de nous rhabiller et de ranger nos affaires.
La contradiction avec moi, c’est qu’il me regarde m’habiller et je ne le supporte pas. je me sens hyper gênée alors qu’il a vu mon corps dans différentes positions, qu’il a pu le voir sous toutes ses coutures mais j’éprouve des difficultés lorsqu’un homme me regarde m’habiller.
Nous descendîmes prendre le petit déjeuner avant que l’on puisse reprendre une vie normale. Une vie où je n’ai aucune entrave et libre de mes mouvements.
Toutefois, j’ai 2 pensées qui ne cessent de me hanter : l’idée du sauna et l’idée qu’il coquine de nouveau avec une femme.
Je me suis toujours dit que j’aimerais beaucoup réitérer l’expérience du sauna. mais avec une personne de confiance et qui puisse me guider. Seulement, Monsieur Yannick m’a raconté ses différentes expériences et j’avoue que cela m’effraie quelque peu. Même si j’ai bien conscience qu’avec lui, cela ne peut que bien se passer. Peut être pas les scénarios imaginés mais toujours du plaisir.
Toutefois, je sais que j’aurais probablement du mal à le voir coquiner avec une autre femme devant moi. Mais je sais qu’il ne le fera pas. Et alors, je me dit que je vais le frustrer, qu’il ne pourra pas profiter de cette expérience totalement. Alors je me retrouve face à un blocage.
Tout comme je sais qu’il aimerait couiner avec une femme que j’apprécie également. Et je sais que cela pourrait apporter beaucoup à cette femme. Seulement, au vu de ma première réaction, ils ne veulent pas réitérer tant que cela me touchera. alors, j’ai l’impression d’être celle qui leur bloque le plaisir. Et j’avoue que j’ai bien du mal à l’accepter.
Je sais que vous serez sûrement nombreux à me lire, alors si vous avez des conseils, je suis preneuse.
Joli récit et te prends pas la tête ni pence pas 😘😘
Merci du conseil
[…] Cet article est issu de mon imagination. pour savoir ce qui est rééllement arrivé et si j’ai osé, cliquez ici […]