cris

Ce récit m’a été demandé par Maître Yannick

Ce soir-là, Maître Yannick a prévu de m’emmener à Cris et chuchotements. Pour l’occasion, il m’a demandé de mettre cette tenue

J’ai quand même le droit de mettre une veste qui se ferme et un châle pour cacher ma tenue pour le rejoindre à sa voiture. Mais au vu de l’heure, Maître m’enlève le tout avant de me prendre dans ses bras et de m’embrasser.
Il pose le tout à l’arrière après m’avoir ouvert la portière. Je reçois l’ordre de descendre la fermeture Éclair de mon corset pour libérer mes seins le temps du trajet.

Maître s’amuse avec la laisse, mes seins et mon intimité tout le long du trajet.

J’avoue que j’appréhende énormément. Je sais les idées qu’il peut avoir et c’est la première fois que nous nous rendons ensemble à Cris et chuchotements. Que va-t-il me demander ?

Il me rassure en me répétant qu’il ne se passera que ce que je souhaite qu’il se passe. Ce n’est pas parce qu’il a des idées ou des envies que cela se réalisera. Ce qui n’empêche pas le fait que j’appréhende énormément.

Maître se gare dans la rue non loin du club. J’ai le droit de remonter la fermeture Éclair, mais de manière à laisser un décolleté largement ouvert. Il m’ouvre la portière, se saisit de la laisse et c’est ainsi qu’il m’emmène au club.

Nous entrons. Maître paie l’entrée et dépose ses affaires. Nous descendons au coin détente si on peut l’appeler ainsi et il nous commande à boire. De l’alcool pour moi. Non pas pour être dans un état d’ébriété, mais pour que je me détende et me lâche.

Il nous emmène dans un coin, lui assis sur un coussin. Moi, à terre à ses pieds comme convenu. Je suis face à lui. Ce qui ne l’empêche pas de caresser ma tête. Cette situation est normale pour ce genre de lieux. D’autres personnes sont présentes. Nous disons bonsoir. Différentes situations de soumission s’offrent à notre regard. Même si être avilie en public est une première pour moi et que j’ai du mal à assumer, le faire dans un lieu où c’est la normalité m’aide grandement.

Une fois nos boissons bues, c’est en me tenant en laisse que nous visitons les lieux. Depuis le temps qu’il m’en parle, Maître s’attarde à la croix de Saint André. Il me retire mon corset et la laisse qui peut gêner.

Il m’attache dos à la croix. Je demande le bandeau. Je ne me sens pas assumer les regards qui peuvent être posés sur moi. Maître commence par des coups de cravache éparpillés sur mes seins et ma chatte.

Ne sachant ni quand les coups vont tomber, ni quelle partie de mon corps ni quelle force, j’avoue que cette situation d’attente n’est pas agréable. Mais au vu de l’humidité tâtée par Maître Yannick, il en conclut que j’adore cela. Il enchaîne ensuite avec le fouet.

Quand il le promène simplement sur mon corps, je sursaute. Tout comme il me frappe avec doucement. Je sens des regards sur moi malgré le bandeau. J’entends aussi les questions, les commentaires. Une femme demande à mon Maître si elle peut. Il l’autorise.

Sauf qu’à son premier coup, j’ai crié un Aïe. Maître lui demande d’être plus douce, car je ne suis pas habituée. Elle enchaîne quelques coups plus doux et j’avoue que j’apprécie.

Maître me libère, me met la laisse, mais me fait garder le bandeau. Il enlève juste ma jupe. J’avais presque oublié que j’étais déjà à demi nue face à des étrangers. Me voilà nue et j’avoue que je ne suis pas à l’aise. Mais les paroles de Maître me rassure. Il m’emmène à la cage, me fait entrer et me libère de la laisse.

Il me donne les ordres, mais en le disant très forts pour que les personnes aux alentours entendent :

« Tu restes assise sur la chaise. Quand je te siffle, tu dois venir à genoux près des barreaux, la bouche ouverte pour accueillir les sexes des hommes que j’aurais choisis.

– Bien Maître. »

En ayant parlé, j’avais déjà imaginé ce scénario avec excitation, mais en serais-je capable ?

Maintenant, je suis là. Je sens le poids des barreaux qui me rendent encore plus soumise que jamais. Mais j’apprécie. Ce qui me donne encore plus envie d’être enfermée dans une cage à quatre pattes avec les trous pour la bouche et mon derrière.

Je suis assise. Je vois Maître qui reste ici quelques minutes. Des personnes passent et me regardent simplement. Je prends un peu peur quand Maître Yannick s’éloigne et n’est plus dans mon champ de vision.

Cela ne reste que quelques minutes, car il revient avec une femme tenant en laisse un homme nu. Je vous l’ai dit, dans ce genre de lieu, c’est courant.

Maître me siffle et j’obéis. La femme ordonne à cet homme de bander et d’abuser de ma bouche. Nous obéissons tous deux à nos ordres respectifs. Je sens le regard de Maître qui s’est agenouillé pour mieux farfouiller mon intimité.

J’émets des gémissements.

La femme demande à Maître

« Voulez-vous qu’elle avale ?

– Elle adore.

– Éjacule chien. »

Sitôt ordonné, chose qui m’impressionne, je sens son sperme qui coule dans ma bouche. J’avale le tout.

« Retourne sur ta chaise. »

Maître et cette femme discutent de ce qui vient de se passer comme si je n’étais pas dans une cage. Un homme en costume s’approche de Maître et lui demande s’il peut en profiter.

Pour la deuxième fois, je suis sifflée et me voilà de nouveau à genoux à mettre à disposition ma bouche.

Maître me regarde et cherche mon regard. Je me sens gênée, excitée et je dois avouer qu’une part de moi apprécie cette situation.

Cet homme ne met que peu de temps à éjaculer dans ma bouche.

Maître ouvre la cage, mets la laisse et me dit :

« Tu mérites une récompense ma chienne. »

Il m’emmène dans la pièce où se trouve la table de gynécologue et s’amuse alors à me faire les cunnilingus comme il sait le faire. J’essaie de retenir mes gémissements, mais il me donne l’ordre contraire. Ce qui fait attirer des voyeurs et voyeuses qui assistent à la scène.

Je n’arrive pas à les regarder même si ma curiosité me pousse de temps en temps à le faire. Je ressens une petite honte, mais Maître fait tout pour que je me concentre uniquement sur mon excitation.

Il me fait enchaîner jouissance sur jouissance jusqu’à arriver à me faire couler.

Il prend de quoi nettoyer et me relève. Il m’autorise à remettre mon corset et ma jupe. Nous redescendons au coin détente pour parler de ce qui s’est passé. Bien sûr, moi au pied de mon Maître.

Des personnes viennent nous parler et j’avoue que c’est plaisant que d’avoir leur retour sur ce que j’ai pu vivre.

Je ressens le poids de la fatigue. Maître également. Nous finissons par partir. Ayant des choses de prévues le lendemain matin, Maître ne fait que me déposer chez moi avant qu’il ne reparte de son côté.

Il me promet juste de m’y ramener pour aller plus loin dans l’humiliation.

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2 commentaire

  1. Très belle démonstration de ce que soumission veut dire.
    Mais le plus important c’est vous y avez trouvé votre plaisir.
    Et c’était visiblement le cas.

    1. Bonjour, je voudrais rappeler qu’il s’agit d’un récit fictif. Mais j’imagine en effet prendre le plaisir imagine si cette situation devait se réaliser

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