médaille Cookie

Quand je me retrouve seule et disponible, je ne peux m’empêcher de tourner vers la soumission. En réalité pas que, mais des envies se réveillent même si Maître n’est pas vraiment disponible.

Mais cela ne l’empêche pas de me donner des ordres réveillant des idées ou envies.

Premier Ordre

Le premier ordre de Maître est d’être pénétrée une nuit entière par mon gode noir. Mais pour cette nuit, impossible de jouir.

Je dois dire que cela a été très compliqué du fait que j’ai envie de me frotter, j’ai envie de jouir, mais je ne le peux. Bien que j’essaie de me concentrer sur ma respiration pour m’endormir, je ne cesse de penser à des scénarios.

Je me doute également que pour obtenir la jouissance tant désirée le lendemain, il va falloir que je la joue fine avec Maître ou bien que je le supplie.

Je me dis alors que pour échapper à la situation, je pourrais proposer deux autres idées.

Avant de vous les exposer, vous devez savoir qu’il ne les connaîtra qu’en les lisant et me doute qu’il s’en servira certainement à un moment donné. Enfin, peut-être pas, c’est à en discuter avec lui.

Première idée :

La première, c’est que peu importe le lieu, peu importe le moment, par trois fois, il me désigne un homme. Alors les trois fois par forcément le même jour ou nuit.

Une fois l’homme désigné, à moi de le convaincre pour qu’il accepte je le suce devant mon Maître.

Si je n’arrive pas à le convaincre, la conséquence est une punition bien plus humiliante issue de l’imagination de Maître.

Seconde idée :

Au sauna libertin, je dois être littéralement un vide-couilles. Autrement dit, Maître ne serait pas trop regardant (mais un peu quand même) sur les hommes qui m’approcheraient, mais je dois me débrouiller pour que trois hommes équipés d’un préservatif bien évidemment, se vident soit dans mon anus, soit dans mon vagin.

Je suis libre de sucer autant de queues que je souhaite du moment que je remplis l’objectif.

Dans le jacuzzi, nous choisissons l’un de ces hommes et je le convaincs d’aller dans le coin ouvert et voilà que je commence à servir de vide-couilles à ces messieurs.

Bien évidemment, si une femme se joint à nous, je suis libre de jouer avec elle. Si je souhaite être pénétrée plus de trois fois, je suis libre également d’accepter.

Au lendemain matin :

J’ai les deux idées en tête qui ont amplifié mon excitation. Je dois avouer que ma culotte est bien plus qu’humide à ce stade. Bien que je sois libre de dormir autant que je veux, j’ai gardé mon rythme de travail.

Je me réveille même avant l’heure à laquelle je suis censée me réveiller en temps normal. Je scrute toutes les minutes mon téléphone en attendant désespérément l’heure à laquelle je peux téléphoner Maître.

Je n’ai aucune information sur la possibilité de me soulager et une idée m’est venue.

Ouf, Maître répond au premier appel. Je suis dans un tel état que j’en oublie presque les salutations et les questions habituelles permettant de démarrer une discussion.

Maître m’autorise à jouir et je demande si je dois le faire au téléphone. Il me laisse le choix, mais ne tenant plus, il m’entend me soulager avec le gode noir bien humide.

Une fois rassasiée, je redeviens « normale » dans le sens où mes pensées sont enfin libres et quelque part soulagée, car j’aurais beaucoup appréhendée si j’avais dû accomplir les deux idées auxquelles j’ai pensé. Sur le papier, c’est très excitant, mais dans la réalité, ce serait très humiliant et beaucoup d’appréhension.

Second ordre :

Le même jour, je dois porter mon collier, mes entraves et le rosebud qui se termine par ma queue. Je suis libre de faire ce que je veux, mais je ne demande pas si j’ai l’autorisation de jouir.

À vrai dire, j’ai d’autres scénarios qui me viennent en tête et lorsque je vois le soleil dehors bien qu’il fasse frisquet, je n’aurais qu’une envie :

Attendre Maître dans mon entrée à genoux avec la laisse entre les dents pour qu’il vienne me promener.

Je vous ai déjà dit précédemment que cette envie est presque devenue une nécessité. Mais je sais que j’aurais des appréhensions au début de la première fois, je pense que je vais adorer.

Enfin, si on est que tous les deux. Une promenade avec la potentialité des voyeurs, c’est une autre histoire.

Ainsi, vous connaissez un peu les pensées qui me traversent quand Maître m’ordonne d’être Cookie.

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