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Pour une fois que nous sommes disponible, j’ai demandé à Maître de nous emmener en ce mercredi soir au Moon. Ce jour, c’est spéciale Couple et Femme Seule.

Mais voilà, il vient me chercher après le travail. Il faut savoir que j’ai passé la journée avec un pantalon et un T-shirt. Mais pour le soir, je dois avoir ma robe en similicuir et un haut assez décolleté sans compter le rosebud.

J’ai tout mis dans un sac à dos et me suis dit de me changer dans les toilettes du rez-de-chaussée pour que personne ne me voit.

En vrai, tous mes collègues sauf un sont partis. J’espère qu’il va partir à son tour et me change finalement aux toilettes de mon étage.

Bon, ce collègue m’a vu et a bien constaté mon changement de tenue. Il n’a rien dit, mais à son regard, cela ne lui pas échappé.

Je file. Je suis tellement fatiguée qu’il me faudra mettre Google map pour descendre les numéros de ma rue avant de retrouver Maître. Il faut dire que ma journée devait être tranquille. Mais bien sûr, de nombreux problèmes sont survenus avec la recherche de solutions et appel à des amis pour essayer de comprendre.

Bref, Maître m’embrasse, touche mes seins en pleine rue avant de prendre mes sacs et d’ouvrir la portière.

J’ai pris soin de prendre le collier puisque l’ordre est de le mettre quand on se sera éloigné de mon travail.

Maître monte à son tour fait quelques mètres avant de m’ordonner à mettre mon collier.

Je suis tellement fatiguée qu’il me faudra quelques secondes avant de me souvenir où je l’ai posé.

Nous discutons de choses et d’autres sur le chemin ce qui n’empêche en rien Maître de tâter de mon humidité.

Nous arrivons au Moon mais voilà, je ne supporte pas le rosebud, pas ce soir. Je file aux toilettes avant de remonter aux vestiaires. Comme Maître aime bien m’humilier il ne s’est pas déshabillé, il aime que je sois nue à attendre avant que lui le soit.

Ce qui en effet arrive vu que je suis nue rapidement. J’enlève mon collier, ferme mon vestiaire. Maître aime bien me voir dans cette situation dans laquelle il sait que je ne suis pas à l’aise.

Je ne me souviens plus de ce que l’on se dit, mais il me fera dire Maître haut et fort.

Nous descendons nous rafraîchir avant d’aller au jacuzzi. J’ignore ce qui se passe et en vérité, je m’en fiche. Je ferme les yeux. Je repense à ma journée de travail. Je sais que ce n’est pas bien et je fais mon possible pour vider mon esprit et me détendre. Maître m’aide en triturant mes tétons ou en jouant avec mon intimité et mon anus.

Ce qui ne m’empêche pas de jouir. Seulement, Maître me connaît bien et joue avec mon plaisir. Il m’en donne un peu avant de me frustrer. Au début, rien de méchant, mais quand c’est au moment ultime, il exige une chose : que je le supplie :

« S’il te plaît Maître fais-moi jouir ?

  • C’est ce que tu appelles supplier ?’

Alors je recommence en faisant de mon mieux, mais nous savons tous les deux qu’il attend plus, mais j’ignore comment. Alors finalement, il me laisse aller à la jouissance ultime.

Et ce, avant de décider de monter. Beaucoup de coins câlins sont utilisés. Et Maître m’emmène dans le coin public. Au moment où j’écris et même plus tard dans la soirée, je regrette ma parole. Mais j’ai demandé à aller dans un coin isolé. J’ai raté deux opportunités, celle-là étant la première.

Maître nous isole et m’informe que si je suis sage, j’aurais le droit de me frotter contre son genou. Si je suis très sage, ce sera dans le coin public. Mais il refuse de me donner ce qu’il entend par sage et vraiment pas sage. Par contre, dans le cas contraire, une grosse fessée devant tout le monde.

Je m’allonge et me laisse envahir par le plaisir donné par Maître que ce soit ses doigts sa langue, ses dents. Que ses doigts me pénètrent, me donnent des tapes, que ses dents effleurent ou me mordent. La puissance monte et il est vrai qu’à des moments, le plaisir est tellement intense que je me demande si je peux le supporter.

Je me souviens d’un moment où il a donné une tape sur ma chatte, mais ma jambe a voulu la protéger par réflexe. Cela n’a pas plu à Maître même s’il sait que c’est un réflexe. Il change la tape par des morsures.

Ce n’est que pour mieux me branler pour me faire couler deux fois. C’est à la fois une libération comme si je lâchais tout en ce moment précis, mais épuisant, car couler demande beaucoup d’énergie. Et quand c’est deux fois de suite, je n’ose vous dire la puissance de ces deux sentiments.

J’ignore le comment du pourquoi, mais j’ai la tête qui tourne à cause de tout ce que je viens d’éprouver. Mais je suis aussi morte de soif.

Maître s’arrête se relève et se rhabille. Je n’ose bouger, car je n’ai reçu aucun ordre en ce sens. Finalement, je prends la décision de me relever. Aucun reproche. Ouf.

Nous sortons et en regardant l’heure, le buffet est servi. Cela tombe bien, nous avons faim et soif !

Une petite pause qui est fort bienvenue. Nous en profitons de ce moment pour discuter ou pour Maître de me mettre des idées de scénarios dans la tête. Nous finissons de manger bien avant les autres. Je demande à Maître si on peut aller au jacuzzi si on peut y aller tant qu’il n’y a personne.

Nous y retournons et je peux étendre mes jambes. Ce que je ne comprends, c’est bien qu’il y ait de la place, un couple s’installe proche de nous m’obligeant à les replier.

Je fais tourner Maître pour les étaler et j’avoue qu’il me laisse me détendre. Nous ne disons mot et profitons de ce moment.

Et pourtant, ce couple se rapproche de nous. Je sais que je suis venue pour partager un moment avec d’autres, mais quelque chose me dérange chez cet homme. D’autant que je ne ressens pas d’envie de sa part à elle. Ils finissent par s’éloigner et aller vers un autre couple.

Maître m’explique qu’il était intéressé par moi et commençons à les observer. Lui se jette littéralement sur la nana en l’embrassant à pleine bouche, mais nous ressentons bien qu’elle n’en a pas envie. À un moment, elle s’éloigne de lui sauf qu’elle finit par revenir bien que cela ne lui plaît pas.

Finalement cet homme devra se contenter de sa femme. Mais l’autre couple dont la femme était gênée ne nous a pas laissé indifférent.

Maître commence à jouer avec moi et je cherche à attirer leur regard. Mais la femme nous fuit. Alors je n’insiste pas. Je me concentre par le plaisir accordé par Mon Maître. Et ce, jusqu’à ce que je doive le supplier de nouveau. Et ce, pour avoir le droit à ma jouissance ultime.

Maître décide qu’il est temps de monter. Je me sens très très fatiguée et je me demande si je vais y arriver. Il m’emmène au coin public, mais cette fois, non. Je ne peux pas.

Nous allons dans un coin et je demande à fermer la fenêtre. A ce moment une femme demande si elle peut regarder. C’est la deuxième opportunité ratée. et Maitre ferme le volet.

Maître me fait un cunnilingus comme à son habitude, meta son doigt afin que je me remue pour avoir ma jouissance, me mord. Je hurle de plaisir à tel point que je ne sais plus ce qu’il me fait. Je sais juste que j’adore ce plaisir, mais il est tellement puissant, je suis fatiguée et pourtant, j’en veux encore et encore.

À tel point qu’il me fait couler deux fois encore. Il joue encore un petit peu, mais sent que je suis à bout de nouveau. Je ne bouge pas, car je suis habituée à en recevoir l’ordre.

Mais voilà, l’ordre ne vient pas. Je me relève et finalement aucun reproche. Maître m’aide à mettre mon paréo et à sortir.

Nous retournons au bar. Maitre se sert du dessert. Je le regarde manger avant d’aller dans ses bras. Mais voilà, si je reste trop longtemps, parce que je suis trop bien, je vais dormir.

Je demande alors à rentrer. Au vu de ma fatigue, je suis exempte de mon collier et Maître ne dormira pas avec moi.

J’avoue que durant le trajet, j’ai du mal à lutter contre le sommeil. Je compense par la discussion. Mais je dois vous révéler qu’à peine couchée dans mon lit, je me suis écroulée et endormie peu de temps après.

J’ignore si cela le fait à d’autres, mais je trouve ces moments avec Maître tellement irréels, tellement bons, tellement à l’opposé de mon quotidien que lorsque je me réveille le lendemain j’ai l’impression que cette soirée, je l’ai rêvé.

Et à vrai dire, si Maître ne me rappelait pas ses moments ou si je ne les écrivais pas ici, je pourrais m’autoconvaincre que je les ai imaginé, voire fantasmé. Même si j’y suis habituée, je me demande encore comment j’arrive à aller dans un sauna libertin, de laisser d’autres me regarder, de pouvoir regarder les autres.

Et pourtant, les libertins me diraient, il n’y a rien de mal, c’est une chose naturelle qui procure du plaisir. Tant qu’il y a le consentement, tout est possible.

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