voiture

Monsieur m’a ordonné de mettre ma robe à boutons sans sous vêtements mais avec un colllant porte jarretelles et de prendre quelques jouets. Je décide néanmoins de mettre les boules de geisha.

Me voilà partie ainsi à la réunion des professeurs. Je pense que vous relatez cette partie ne pourra que vous ennuyer et n’apportera rien si ce n’est que je n’ai connu aucune gêne.

Monsieur me récupère après la réunion et nous voilà partis. Il me demande de retirer un bouton en haut. Je râle, j’ai obligation de retirer un bouton en bas. Je comprends vite que plus je jouerais avec l’autorité de Monsieur, moins je serais couverte. Je stoppe ce jeu qui serait en ma défaveur.

J’avais informée Monsieur du fait que je n’avais pas faim. Et pourtant, Monsieur prend la direction de mon restaurant favori avant de prendre une sortie. Je comprends aisément notre destination : un lac entouré d’une forêt réputé pour être un lieu de rencontre gay même si certains libertins y vont.

Pendant le trajet, comme toujours, Monsieur caresse ma cuisse et se permet de goûter mon intimité avec ses doigts.

Arrivés à destination, peu de te temps après notre arrivée, nous constatons l’arrivée d’une camionnette professionnelle « Partnet ». D’habitude, je ne donne aucun détails sur la ou les personnes que nous croisons mais vous comprendrez par la suite que pour cette fois-ci, je préfère dévoiler.

Au bout de quelques minutes, la camionnette passe devant nous et me voit et s’en va. Nous discutons avec Monsieur Yannick et nous nous apprêtions à sortir et à prendre le chemin lorsque la camionnette revient et se gare à quelques mètres de nous à gauche.

Ni Monsieur, ni moi ne sentons le mec. Nous décidons d’aller sur la banquette arrière. Monsieur m’offre un rosebud de taille 3 et me demande si je pourrais le mettre. Je le trouve très gros et je pense que je n’y arriverais pas. Mais je sais que je l’essaierais très vite la semaine suivante.

Monsieur me prend dans ses bras et là, le mec s’approche de la voiture, fait le tour et nous mate carrément. Comme il ne se passe rien, il revient à sa voiture.

Décidément, je ne le sens pas. Mais je n’ai aucune peur contrairement à une autre fois. Je me sens en sécurité mais j’aimerais juste que le gars parte pour que nous puissions faire ce que nous souhaitons.

Seulement voilà, au bout de quelques minutes, il revient. Nous comprenons que ce mec ne nous lâchera pas et d’un commun accord, nous décidons de quitter ce lieu. Nous attendons juste quelques minutes après qu’il soit revenu à sa camionnette.

Nous revenons à l’avant de la voiture. Monsieur démarre et sur la nationale, donne une belle accélération car le gars nous suit. Je pensais que nous l’avions semé lorsque la camionnette se rabat juste devant nous. Non mais c’est pas possible, ce mec, non seulement, ne comprend rien mais en plus est flippant.

Pas grave, juste au moment où il se rabat devant nous, une sortie pour une station d’essence est présente. Monsieur la prend et attend deux minutes. A moins que le gars se gare sur un bas côté (dangereux à cet endroit) et nous attend, nous devrions l’avoir semé. De toute la soirée, nous n’avons plus croisé le gars à la camionnette Partnet.

Monsieur m’emmène alors dans une zone industrielle, un coin sombre mais l’entreprise a installé une lumière à détecteur de mouvements. Vu l’heure et vu le temps que je peux consacrer à Monsieur ce soir-là, nous n’avions pas d’autres options possibles.

Nous nous réinstallons à l’arrière de la banquette. Au début, pour des câlins simples sans ambiguïté. Mais très vite, je me retrouve nue, une main de Monsieur sur mon sein. Mais reconnaissez-le, une voiture n’est pas l’endroit le plus confortable. Même si je suis petite, allonger mes jambes est difficile.

Je change de position et je m’allonge sur le dos. Même si je ne l’ai pas fait pour cette raison. Dans cette position, je suis complètement offerte à Monsieur qui peut disposer de moi comme il l’entend.

A partir de ce moment-là, je vais essayer de vous relater la réalité vécue mais je dois avouer que j’ignore si je vais y arriver mais je vais essayer.

Monsieur insère des doigts en moi et joue avec mon sein avec l’autre. Apparemment, j’avais omis de lui parler des boules de geisha mais il est agréablement surpris.

il pénètre ses doigts dans mon intimité et mélange branlette et jeu avec mon clitoris. Je gémis instantanément et j’avoue que ma première jouissance arrive bien vite. Monsieur constate que j’ai tellement mouillé que les boules de geisha se sont retirées d’elles-même. Il laisse ses doigts en moi et les bouge doucement jusqu’à accélérer le rythme. Il me prend aussi par le cou et j’avoue que cela ne fait que décupler mon excitation. Je crois que je dois reconnaître le fait d’être avilie avec un collier ou quelque chose d’approchant autour de mon cou.

Monsieur continue de me branler, de triturer mon clitoris, de pincer mes tétons, de mettre sa main autour de mon cou. Difficile pour moi de vous donner l’ordre de toutes ses pratiques ou la manière dont cela s’est déroulé. Tout ce que je peux dire c’est que Monsieur me fait prendre conscience à quel point mon corps lui appartient et rien que l’idée qu’il me dise que je sorte nue apposée sur le capot de sa voiture me fait grimper encore plus dans la jouissance.

Il est vrai que j’aurais aimé avec une laisse voire même des entraves. C’est fou comment je souhaite être réduite presqu’à une esclave…

L’idée fait son chemin tandis que j’enchaîne jouissance sur jouissance. Même si elles sont de plus en plus puissantes et je crie même non ou je n’en peux plus mais Monsieur considère que si mon corps réclame, je peux supporter.

Lors de l’une d’elles, Monsieur décide que nous sortions comme nous sommes. Lui complètement habillé, moi nue même si j’ai toujours mon collant porte jarretelle qui ne camoufle rien. Ce qui est bizarre, c’est que je ne ressens aucune gêne à sortir ainsi. C’est presque normal je dirais.

Monsieur m’ordonne de poser les mains sur la capot, j’écarte les jambes et il prend des photos comme je suis.

Monsieur vient à moi et me donne quelques fessées et j’avoue que j’en aurais plus et un peu plus fortes mais je n’ose pas encore exprimer ces envies. Il insère ses doigts et je sais ce qui va se passer. Il me branle comme il sait si bien le faire. Je me mets à couler. Il stoppe mais garde ses doigts en moi. J’ai à la fois envie qu’il s’arrête là mais également de bouger pour qu’il recommence.

Bien évidemment, il recommence une deuxième fois. J’écarte bien les jambes pour éviter de couler. Au bout de l’allée, je vois et j’entends la circulation mais je ne retiens pas mes gémissements. Car d’une on ne peut pas nous voir et de deux le bruit couvre mes cris.

Monsieur se colle à moi, se frotte, m’embrasse dans le cou. j’adore cela, je suis excitée, je gémis et j’ai envie que cela continue. Il remue de nouveau ses doigts même si je le supplie d’arrêter car plus d’énergie, il me refait couler une 3ème fois. Il ne se lasse pas de mes jouissances et vu que je suis insatiable, cela lui convient parfaitement.

Il remonte en voiture et va chercher des mouchoirs pour m’essuyer. Il me redonne ma robe et la reboutonne.

Nous allons de nouveau sur la banquette arrière. Nous parlons mais finissons tous deux par nous assoupir. J’ignore l’heure qu’il est mais je sens que je peux rester dormir ainsi pendant des heures mais je dois absolument rentrer.

Même si je pouvais consacrer plus de temps à Monsieur, il accepte de me raccompagner.

Je pars me coucher et ne tarde pas à me rendormir. Ce qui est incroyable, c’est que le matin, je n’avais qu’une envie de ressentir ses doigts en moi, qu’il joue avec mes tétons, qu’il me fasse jouir. Au lieu de cela, je commence ma journée chargée.

Au moment où je vous écris, nous sommes lundi matin. Et après deux rêves érotiques, mes envies étaient là. Je décide d’essayer le rosebud qui, finalement, n’est pas si gros vus qu’il rentre presqu’avec facilité. Mais j’ai envie, très envie.

Je vais dans ma chambre, je prends le gode noir. Et je commence à soulager mon corps en faisant une petite vidéo que j’ai bien sûr envoyé à Monsieur Yannick

Je crois que je n’ai qu’une envie, être de plus en plus soumise, obéir de plus en plus, m’offrir complètement à Monsieur Yannick. Mais comme il le dit, c’est parce que c’est lui, c’est parce que c’est moi parce que notre relation a évolué ainsi.

Impossible de dire si je peux faire de même avec un autre…

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6 commentaire

  1. Narration intimiste et excitante, merci du partage

    1. Merci à toi d’avoir lu et d’avoir laissé un commentaire

  2. Belle écriture, ravie de lire ce que j’aimerai faire. Cela m’attire encore plus.

  3. Bonjour, votre récit est comme toujours très excitant plus particulièrement avec les photos de votre maître Yannick. 🔥🔥🔥

  4. C’est toujours si agreable de te lire, tu as le sens du detail, on sens que tu pourrais aller plus loin et ton Maitre le sais sans doute mais essaie de ne pas brusquer les et il a raison. te voir comme cela presque nue les mains sur le capot a du etre fantastique pour lui.

    1. Tout à fait. Merci de me suivre et de me lire

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