Ce récit est purement fictif, mais j’espère qu’il se concrétisera un jour.
Maître a demandé à ce que je porte ma robe à boutons. Je sais que c’est le jour J. Celui de la fameuse promenade tant désirée et fantasmée.
Je suis à la fois excitée et dans l’appréhension. Est-ce que nous serons seuls ? Est-ce qu’il y aura des voyeurs ? Est-ce que je serais « offerte » ?
Une part de moi a très envie que nous ne soyons pas seuls mais, dans le même temps, serais-je capable de subir l’assaut d’inconnus si je puis dire ?
Mon meilleur ami et Maître me taraude pour vivre le moment présent et cesser de penser.
Alors, je vais essayer de faire taire ma petite voix intérieure et mes pensées mais, c’est loin d’être évident.
Maître me récupère, m’embrasse et me câline. Il sait dans quel état je suis alors que lui est très calme. Normal, lui sait ce qui m’attend. C’est plus facile. Même s’il me rassure en me disant qu’il ne se passera que ce qui sera possible et selon nos envies.
Il parle de tout et de rien pour essayer de me détendre. Toutefois, il m’a quand même offert une bouteille d’eau que je dois vider durant le trajet. J’ai bien compris ses intentions avec celle-ci.
Je me concentre sur le fait de boire et la conversation. J’avale les dernières gouttes quand Maître se gare. J’attends qu’il vienne m’ouvrir la portière avant de sortir. Il m’attache la laisse et nous voilà partis pour la promenade.
Pour le début, ma robe reste boutonnée, mais ma laisse est bien visible avec une longe plus ou moins longue me faisant sentir ma place. J’avoue que j’apprécie. Ici, dans ce lieu, je peux être celle que je suis au fond de moi, même si je suis encore habillée. Nous avons rencontré quelques promeneurs certains avec un regard complices, d’autres surpris.
Peu importe, Maître fait une pause et me demande d’enlever ma robe. Moment compliqué pour moi. Après tout, nous sommes dans un lieu public, ma condition encore plus visible de tous. J’hésite.
Mais il a la cravache. Quand il l’a, aucune hésitation possible sinon, les coups tombent. Je me décide à l’enlever et commence à marcher. Deux coups tombent sur chacune de mes fesses à cause de mon hésitation.
Il nous fait sortir du chemin battu et allons nous enfoncer dans la forêt. Au moins, ce sera plus simple pour moi. Moins de possibilité de rencontrer des promeneurs.
Toutefois, une envie se fait sentir. J’en parle à Maître. Il me fait marcher encore jusqu’à trouver un tronc.
Il installe une couverture par terre, s’assied sur le tronc et m’ordonne la levrette en prenant soin à ce que mon derrière soit à bonne distance de la couverture. Mes genoux sont au bord de la couverture et j’écarte les jambes.
Je reçois l’ordre de pisser. J’obéis sans aucune hésitation même si je sens une forte pression de la laisse autour de mon cou. Quand je lève les yeux, je vois deux hommes en train de nous regarder.
Je les baisse un peu honteuse de la situation. Après tout, je me comporte comme une chienne que l’on sort pour se soulager. Toutefois, la curiosité me les fait regarder et je crois dénoter une pointe d’excitation.
Maître m’essuie les fesses et m’ordonne de m’asseoir. Aucun doute sur cet ordre, je m’essieds comme une chienne. Il en invite un à venir nous rejoindre. Cet homme s’assied à côté de Maître et parlent tous deux de moi comme si j’étais un animal.
D’ailleurs, je n’ai le droit que d’aboyer et de recevoir des caresses sur ma tête. Maître m’ordonne alors de la frotter contre le sexe de cet homme.
Je m’exécute. Ce dernier avec l’accord de Maître caresse mes seins. Et ce, jusqu’à ce qu’il demande si je peux le sucer.
Je le libère de mon étreinte afin qu’il puisse se déboutonner et me donner son sexe que je prends délicatement en bouche. Il me caresse la tête tandis que Maître fait pression sur ma laisse.
Il demande s’il peut éjaculer dans ma bouche. Ce qui me vaut d’avaler ce jus.
J’avoue que la situation est excitante, me plaît même si je suis humiliée au plus haut point
Mais j’en veux plus.
« Souhaites-tu être pénétrée ?
– Waouf
– En levrette Cookie
– Waouf »
Il invite un homme derrière moi. Ils échangent quelques mots et vu qu’il a très envie de me prendre, je n’ai plus qu’à le laisser faire. Il caresse mes fesses, insère un doigt pour sentir mon humidité et le voilà qui s’enfonce profondément en moi.
« Ouvre la bouche Cookie.
- Waouf. »
Etant concentrée sur mon plaisir, je n’ai pas vu qu’un homme s’était approché de moi et qu’un sexe n’attendait que ma bouche.
Me voilà prise par deux hommes subissant leurs envies. Je m’applique à leur donner autant de plaisir qu’il m’en donne. La pression sur la laisse est forte et quelques petits coups de cravache tombent me donnant encore plus de plaisir.
Celui qui me pénètre finit en premier. Le deuxième, avec autorisation par Maître, éjacule sur mon dos.
« Ne bouge pas Cookie.
– Waouf. »
Maître remercie les deux hommes qui s’éloignent l’un après l’autre. Je n’ose lever les yeux ainsi je ne saurais jamais qui j’aurais sucé en mode chienne.
Il me fait mettre debout, me fait cambrer en me tenant à un arbre. Il m’encourage en me disant Cookie à tout bout de champ. Et ce, jusqu’à ce qu’il me fasse couler par deux fois.
A cet instant, j’ai mon compte. Mais Maître n’en a pas fini. Il reste une dernière chose avant que l’on retourne à la voiture.
Il me refait mettre en levrette sur la couverture, genoux au bord de la couverture.
J’entends un bruit de braguette et je sens un liquide chaud tomber dans ma raie des fesses. Maître me pisse dessus :
« Je marque mon territoire. Dommage qu’il n’y ait pas de miroir. »
J’avoue que j’ai toujours appréhendé ce genre de jeux. Mais sentir sa pisse couler sur moi m’excite d’autant plus. Je suis une véritable chienne, sa chienne.
Quand il a terminé, il m’aide à me relever, replie la couverture et prenons le chemin du retour. À l’approche du sentier battu, il me demande :
« Je te laisse le choix de remettre ta robe si tu le souhaites. »
Je réfléchis et je me dis que depuis le temps que j’attends et vu que le risque est quand même minime :
« Je vais rester nue Maître. »
C’est ainsi qu’il me ramène sa voiture. Nue avec du sperme sur mon dos et sa pisse dans ma raie. Les odeurs se mélangent.
Pour ne pas salir sa voiture, je suis tenue de remettre ma robe mais, pas le droit, de la boutonner.
Je ne pourrais le faire qu’à l’approche de chez moi. Nous débriefons de ce qui s’est passé. Mon ressenti est primordial pour Maître.
Arrivés à mon bâtiment, il me libère alors de ma laisse et je finis par rentrer chez moi. Ce qui me vaut quand même une bonne douche.
Même si je n’avais pas été contre garder ces odeurs un peu plus longtemps.
Toutefois, comme après chaque séance surprenante, je me demande toujours si cela a bien eu lieu.