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Les ordres de Monsieur :

  • Préparer les accessoires : Gode noir, la corde, les attaches pour le lit, la cravache
  • Porter juste un collant porte-jarretelles, des entraves aux chevilles et aux poignets, mon collier bitch et ma queue de chat dans mon cul

Lorsque Monsieur entrera et fermera la porte, je devrais me mettre dans cette position :

Monsieur sonne, je le fais entrer. Il fait quelques pas et je le regarde. J’hésite :

« Maintenant ? Je demande.

– Maintenant.

Je me mets en position. Il enlève son manteau :

– Je t’interdis de bouger sans ordre.

– Bien Monsieur. »

Je ne vois pas ce qu’il fait mais je le sens venir vers mon derrière. Il insère deux doigts dans mon intimité déjà humide :

 » J’ai vu à ton regard que cette position t’excitait et ton corps ne me trompe jamais. »

Je sens alors le rosebud de la queue qui fait des va-et-vient dans mon cul. Impossible de pas gémir. Je retiens juste mes hanches vu que je n’ai pas le droit de remuer. Monsieur apprécie et me le dit. Je me demande à ce moment, quel est mon statut : Soumise ? Chienne ? Esclave ? Même si j’ai le droit de dire non et que j’ai mon libre arbitre et ma liberté, j’ai l’impression que je tends vers l’esclavage.

Monsieur accélère les mouvements du rosebud, une chaleur monte en moi, mes gémissements sont puissants. L’orgasme n’hésite plus à se manifester dans tous les sens du terme.

Ravi, il vient à mon collier et y attache la laisse :

 » Puisque tu as réclamé, tu vas te déplacer à quatre pattes jusqu’au canapé.

C’est ainsi, tenue en laisse animalisée que je vais au canapé. Devant lui, j’hésite, je monte ou je reste à genoux ? Dans le doute, je reste à genoux. Monsieur me contourne et s’assied en face de moi. A son regard et sourire, j’en conclus que c’est ainsi qu’il me veut, à ses pieds littéralement.

– Enlève mes chaussures. »

Je défais le premier lacet et enlève délicatement la première chaussure. Je fais de même avec la chaussette car j’ai peur de le pincer ou de lui faire mal et pas envie d’être punie pour cela.

Je fais de même avec la deuxième chaussure et chaussette. Je regarde mon maître attendant ses ordres :

« Monte sur le canapé, viens dans mes bras. »

Dans ces cas-là, j’adore avoir ma tête posée sur son torse, ressentir la tendresse, me reposer, me détendre et profiter de ce moment. Ce qui nous permet aussi d’aborder des sujets comme les comptes twitter que nous apprécions, les comptes que nous détestons, les messages privés farfelus que nous recevons…

Mais aussi un événement dans ma vie personnelle qui pourra avoir un impact sur notre relation Maître – Soumise.

Monsieur m’épate car il est content pour moi-même si cela peut signifier un arrêt de notre relation. Mais de cela, je n’en sais rien car tout dépend de l’évolution de cet événement. Qui sait ? Normalement le mois de janvier devrait nous le dire.

C’est ainsi que Monsieur se jette sur mon premier téton pour le dévorer avant de s’attaquer au deuxième. Quand il me libère, c’est pour m’emmener dans la chambre.

En général la séance commence toujours bien puisque Monsieur m’embrasse la bouche, mes seins, mon ventre avant d’attaquer gentiment mon intimité. Sa langue en moi, hmm, c’est juste un délice.

Sa langue, je la sens en haut, en bas, au plus profond de mon être tandis qu’un doigt s’insère en moi me permettant de conserver mon humidité tellement rechercher par Monsieur. Je bouge en conséquence et gémis de la même manière, un simple murmure, un souffle qui s’amplifie avec le temps. Mais j’ai du mal à lâcher prise. J’ai du mal à me laisser aller à ce plaisir. Je le sais, je ne fais que parler mais de choses qui n’a rien à voir avec la situation.

Je réalise que j’appréhende énormément la jouissance qui va forcément arriver, celle qui m’envahit, celle qui me dépasse, celle qui me fait hurler ou pousser des sons rauques méconnaissables.

Mais je sais aussi que Monsieur finira par obtenir ce qu’il veut, exactement ce que je viens de décrire. Alors je me tais, je laisse ma bouche exprimer ce qu’elle a envie. Je laisse mon corps suivre le rythme des doigts et de la langue. J’entends le plaisir que Monsieur a de me dévorer ainsi.

Et c’est à ce moment précis qu’il entreprend une chose qui me faire sursauter, qui me fait hurler, il aspire mon clitoris. C’est parti. Il me calme en me doigtant gentiment, des coups de langues longs et sensuels avant d’accélérer le rythme, d’appuyer et de jouer avec mon clitoris et d’aspirer. Ouh la la ! La puissance ! Je ne résiste pas. Je bouge et j’essaie de m’enfuir parce que même si mon corps réclame, mon cerveau ne comprend pas, ne peut gérer.

Monsieur anticipe, Monsieur me connaît. Il bloque une de mes jambes entre les siennes, il pose sa tête sur ma deuxième, les bras sont maintenus par les siens. Je suis à sa merci, je ne peux que subir les assauts de ce muscle qui me procure tant de jouissance. Je me débats face à elle mais à chaque fois, Monsieur s’arrête avant de reprendre de plus belle. Par moment, mes bras sont libérés mais c’est pour qu’ils puissent titiller mes tétons. A chaque fois qu’il les pince, je grimpe en flèche. Et bien évidemment, Monsieur commence à me mordre, je ne tiens plus. Je sais que je ne dois pas bouger mais mes jambes l’enserrent, essaient de fuir cette bouche qui procure à la fois de la douleur et du plaisir.

Mais je ne le peux pas. Monsieur m’en empêche, je suis sa prisonnière. Il me laisse enfin me reposer mais ce n’est que pour mieux s’emparer du Wand chauffant. Dès qu’il le pose sur mon clitoris, je grimpe en flèche, je gémis, je hurle, je mets ma main dans ma bouche pour les étouffer tellement c’est violent avant qu’il ne le balade partout sur mon corps : mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes lèvres intimes avant de le replacer dans cet endroit fatal qui me rend folle : le clitoris.

Lui vient alors une idée. Il positionne le wand sur le rosebud attaché à ma queue. Mon cul ressent les vibrations. Même si je le voulais, je ne le peux pas. Mon corps réclame, mon corps bouge, mon corps veut s’emparer de ce plaisir inconnu. Et il en profite le temps que cela dure. Monsieur parcourt de nouveau mon corps avec tout en faisant des passages éclairs sur mon clitoris me faisant hurler de plus belle. Mais je ne tiens plus, quand il le fait, je crie stop, je demande pitié, je crie je n’en peux plus.

Alors, au bout d’un Moment, Monsieur s’arrête. Mais non, ce n’est pas encore fini. Il s’empare d’un gode et je le sens qui le met en moi. Chienne que je suis, je ne peux rien faire d’autre que de remuer pour l’enfoncer en moi. Et bien évidemment, cet homme à qui je donne mon corps ne trouve rien d’autre que de rejouer de nouveau avec le Wand. Mon corps en veut tellement qu’en plus du gode, il réclame le Wand. Comment la matière dans laquelle mon âme se trouve peut-être aussi en contradiction avec mon cerveau qui lui dit : « C’est insupportable, c’est une torture, je ne peux pas subit cela. »

C’est à ce moment-là que je me dis : « accepte. » Alors j’accepte ce que je subis, j’accepte la violence des jouissances successives, j’accepte l’explosion provoquée par les orgasmes. Et je réalise que je supporte beaucoup mieux le jeu de mon maître.

Même si mes limites arrivent quelques minutes plus tard. Et cette fois, Monsieur daigne enfin qu’on sorte pour aller dîner. J’enlève mes entraves, mon collier et ma queue et enfile une minijupe et un haut ouvert largement découvert.

Comme c’est l’hiver, je mets un gilet et un manteau que je ferme le temps d’aller à la voiture. J’oublie même la galanterie de Monsieur et me fait rappeler à l’ordre. C’est lui qui m’ouvre la portière. J’ouvre le manteau et le gilet.

Monsieur me parle mais c’est à peine si je l’écoute. Une pensée m’obsède, j’ose, je n’ose pas ? J’en parle, j’en parle pas ?

Il me torture assez pour que je ne le fasse pas moi-même. Alors je lui annonce :  » Je vais faire quelque chose qui devrait te plaire. »

J’ouvre le décolleté pour libérer mes seins et les laisse ainsi durant tout le trajet. Etant donné la nuit tombée et le chemin pris, personne n’aura su apprécier le spectacle. Je suis joueuse, j’ai envie de jeux extérieurs mais vu l’heure impossible. Nous allons sagement dîner au restaurant sans qu’aucun jeu ne se déroule. Seule une conversation entre deux amis se passe parlant des actualités, des réseaux sociaux, de nos vies et bien d’autres sujets.

Lorsque nous sortons du restaurant, il a compris mon envie de jouer. Il prend le chemin tout en mettant sa main derrière ma tête autour de mon cou. Me laissant penser que je suis en laisse et traitée en chienne comme il aime que je sois.

Nous arrivons à un bâtiment, il m’emmène dans un coin reculé mais qui est entre deux appartements. D’ailleurs, nous entendons clairement la voix d’une femme de l’un deux. Et pourtant, je reçois l’ordre d’appuyer mes mains contre le mur et d’écarter les jambes.

Cela ne rate pas, Monsieur insère ses doigts comme il sait si bien le faire et me branle. Je sens les gémissements qui veulent sortir. Ils veulent exprimer le plaisir qui monte à force de branlette. Mais si je le fais, la femme va entendre. Je n’ai pas d’autres choix que de mettre un poignet dans ma bouche pour rester silencieuse. En quelques secondes, mon maître obtient ce qu’il veut : je coule. Je trouve cela étrange car je n’ai pas coulé autant que d’habitude.

Peu importe, mon maître bouge de nouveau ses doigts en main et comme le jouet télécommandé que je suis à ce moment précis, l’action réclamée arrive de nouveau : Je coule. Je ne peux m’empêcher d’exprimer un petit cri mais personne ne l’a remarqué.

Monsieur a sa main trempée. Il est fier de moi, il est content de lui. Et nous rejoignons la voiture. Mais il sort mes seins en pleine rue, titille mes tétons. Peu importe, à part des voitures filant à toute vitesse, personne ne me voit jusqu’à ce que j’aperçoive un homme le nez sur son portable s’approcher. Je commence à prendre peur. Monsieur ouvre la voiture mais mon regard reste sur cet homme qui finit par lever les yeux et me regarder avant de replonger. Il n’a absolument rien vu.

Je reste seins à l’air tout le trajet. En arrivant devant chez moi, une moto est là. Mais a-t-elle vu ? Je range mes seins :

« T’en ai-je donné l’ordre ?

– Non Monsieur. »

Je les dévoile à nouveau et la moto tourne autour de nous. Je comprends que le motard profite du spectacle avant que je reçoive l’ordre de me rhabiller.

Nous allons de nouveau dans la chambre. Je suis dans les bras de Monsieur. J’adore quand nous sommes tous deux sur le côté et que mes fesses touchent son sexe. Non pas que je le cherche mais j’aime cette sensation d’être dans l’emprise d’un homme, de ressentir ce bien-être, cette détente.

Mais ce que mon maître aime dans cette position, c’est le fait de pouvoir parcourir mon corps librement. Ce qu’il ne se gêne pas de faire. Sa main caresse mon corps sans aller dans les parties sensibles. mais bien évidemment, mon corps réclame alors il ne faut guère longtemps avant que morsure arrive sur mon épaule, que mes tétons soient tortillés et mon intimité pénétrée par des doigts. Il joue et abuse de mon corps, me laisse gémir faiblement jusqu’à hurlement et cris rauques avant que le silence ne revienne et soit de nouveau rompu.

Il veut me montrer que je suis chienne, je suis à lui, j’aime l’humiliation. Par moment, je suis dans la position du fœtus avec un doigt dans ma chatte et c’est à moi de bouger pour avoir la jouissance que je veux. Parfois, je dois simplement me frotter à sa jambe. Je ne veux pas bouger, je veux résister mais je ne le peux pas. Mon corps exige et prends la main sur tout mon être.

Dans d’autres moments, je suis allongée sur le dos ou tournée vers lui et je suis obligée d’enserrer mes jambes. Non pas parce que je n’aime pas cela mais juste pour accroître mon plaisir. J’ose même caresser son sexe pendant qu’il me branle et exprime de toutes mes forces ce que je ressens.

Je ne tiens plus, trop de jouissances accumulées, mes seins sont sensibles, mon clitoris palpitent et pourtant quand Monsieur relâche, ce sont les fessées comme pour me dire quelle bonne soumise je suis ou alors il me tape la chatte. Rien que les morsures et le titillement des tétons, une jouissance s’exprime.

Et même quand on croit que c’est fini, rien que de sentir ses doigts parcourir mon corps, tendrement, dès qu’il s’approche de mon cul ou de ma chatte, mon corps réclame. Parfois, un pouce me pénètre et m’autorise à obtenir ce que je souhaite. Et c’est reparti pour un nouvel orgasme.

Cette fois, il est tard, il est temps de dormir. Monsieur s’endort instantanément, je mets plus de temps. Je me réveille quelques heures plus tard comme si la nuit se terminait. D’habitude, lors d’une insomnie, je m’installe sur le canapé devant une série pour finir ma nuit. Mais je refuse de laisser Monsieur tout seul. Alors, je prends mon téléphone mais Netflix avant d’éteindre quand le sommeil me gagne. Mais il ne vient pas.

Quand mon maître est dans la bonne position, j’essaie de me coller à lui mais il dort. Je le laisse et fais mon possible pour me reposer jusqu’à ce qu’il vienne à moi. Il me prend dans ses bras. Il s’empare de l’un de mes seins. Action réaction, mes hanches bougent toutes seules et cherchent son sexe.

Monsieur réclame une fellation. Je me mets en position pour lui offrir mon cul. Mais comme l’a dit une femme, il est difficile de se concentrer sur une fellation lorsque l’on se fait branler par un pouce dans la chatte. Je fais des efforts pour faire les va-et-vient tandis qu’un orgasme explose de nouveau en moi.

Son pouce libère ma chatte mais c’est pour mieux pénétrer mon cul qui remue bien évidemment en conséquence. Et de nouveau, je gémis, je hurle et je retiens mon souffle quand l’ultime plaisir, la chaleur m’envahissent.

Il me libère et me prend dans ses bras.

Lorsque sa main parcoure mon corps et commence à descendre, instinctivement, j’ouvre les cuisses. Il adore. Il aime quand je m’offre de moi-même même lorsque cela n’est pas sa volonté. Il apprécie ma totale soumission. Il apprécie qu’il puisse abuser de mon corps comme il le souhaite.

Et comme vous vous en doutez, c’est reparti pour des morsures dans mon cou, dans mon épaule, des branlettes de ma chatte et de mon cou, des tétons pincés devenus ultrasensibles.

Bref, un enchaînement de jouissance qu’il maîtrise parfaitement et qui correspond totalement à ce que mon corps réclame. Mais j’ai toujours l’impression que Monsieur ne s’arrêtera jamais comme le fait de me demander si je suis insatiable.

La jouissance est comme une drogue pour moi mais quand elle dépasse une certaine puissance, elle devient trop violente. Et pourtant, mon maître me pousse dans les derniers retranchements vu que de toute façon, je ne peux que subir. Rien d’autre n’est possible…

Nous finissons par de nouveau nous endormir. Le lendemain, je suis presque obligée de le chasser car je travaille mais j’aurais bien passé la matinée avec lui le laissant faire tout ce qu’il veut. Mais la réalité nous rattrape.

Nous reprenons chacun notre vie presque fade sans cette jouissance, ce plaisir sexuel qui a pu m’envahir durant des heures. Je n’ai plus qu’une envie de recommencer. Mais je vais attendre que mon clitoris s’en remette et mes seins aussi. Car presqu’à 24h après la venue de mon maître, mon corps est encore bien trop sensible.

La seule question qui reste en suspend est y aura-t-il une prochaine fois ? Si oui, quand ?

Seul le temps et le mois de janvier pourra répondre à ces deux questions. En attendant, n’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez…

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4 commentaire

  1. Je viens de découvrir votre vlog grâce à ma soumise qui vous suit sur Twitter, je ne regrette pas cette découverte quel récit magnifique

  2. Oups, un récit que je n’avais pas encore lu.
    Une merveille de jouissance sur vous avez subie Lili.

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