Maître s’occupe de Cookie.
Pour la nuit, j’ai enfin pu obéir aux ordres de Maître. J’ai dormi avec ma queue de renards, mes entraves et mon collier. Bien évidemment en étant nue. Je dois dire qu’à mon réveil, je suis en ébullition. Me doutant que je serais frustrée dans la journée, je me fais du bien avant de me libérer et me préparer pour ma matinée.
Honnête et vous disant tout sur ma soumission, je le raconte sur les réseaux sociaux mais en y réfléchissant, je me demande si je ne risque pas de punition. Bon, tant pis, j’assume.
Je dois sortir. Quand je rentre chez moi en fin de matinée, je sors tout ce qui me rappelle ma place. Mon coussin, ma gamelle, mes jouets aussi bien sexuels que canins…
Une fois tout sorti, je me dénude, mets mes entraves aux poignets et aux chevilles ainsi que mon collier. Je m’installe dans mon coussin.
Enfin, une fois après avoir pris un bain et avoir déjeuné. Je ne me sentais pas de manger dans ma gamelle. Pas ce jour.
J’ai des choses à faire sur le blog, je prends mon ordinateur et fais tout ce dont j’ai affaire. Toutefois, Maître me veut en chaleur, rapidement, je reçois des nouveaux ordres. Garder un maximum mon Bâillon os et le gode noir en moi. Je dois les enlever à son arrivée.
L’excitation est présente et je n’ai qu’une envie : celle que Maître s’occupe de moi. Mais voilà, l’heure tourne. Il faut savoir que quand il me donne une heure, il ne la respecte jamais. Et pourtant, il devait arriver tôt pour que l’on ait un maximum de temps mais rien.
Je n’ose pas demander des nouvelles. Mais au moment où je me décide, Maître m’annonce sa présence. Mais je dois sortir dehors pour l’accueillir. J’enfile un manteau et mes chaussures et descends ainsi.
Heureusement que je n’ai pas laissé le manteau ouvert car il y a du monde. Maître se gare et me dit bonjour.
Nous allons dans mon appartement et me dépêche de me défaire de mes affaires. Je m’agenouille pour le déchausser et embrasser ses pieds.
Je crois qu’il me caresse la tête (je dis, je crois car ma mémoire est quelque peu défaillante).
Il se saisit de ma laisse et m’emmène ainsi au canapé. Il m’ordonne de monter et je monte comme un animal. Il s’installe et j’ai droit à sa tendresse en étant dans ses bras.
Moment que nous affectionnons nous permettant de discuter, d’échanger mais aussi de faire monter petit à petit l’excitation par ses caresses.
Il le voit vu que dès qu’il approche sa main de mes zones sensibles, j’ajuste ma position afin qu’il y reste ou s’y rende plus bas. Mais il remonte tout en appréciant mon attitude. Cela ne l’empêche pas de jouer aussi avec mes tétons et de les prendre en bouche.
Il joue également avec le cliquetis de ma médaille. Il le fera toute la soirée et toute la nuit. La raison est que juste ce cliquetis me fait gémir. Il me rabaisse, me rappelle mon statut et m’excite. Et ce, sans rien faire d’autre que toucher à ma médaille.
Il n’a pas besoin de s’assurer de mon humidité pour connaître mon niveau d’excitation. Mais voilà, pour ne pas avoir le rosebud que je dois toujours avoir dans mon sac, l’heure de la punition arrive.
Il me fait mettre en levrette et voilà 10 coups sur mes fesses avec le paddle et 10 coups sur mes fesses avec la cravache. J’avoue que les 7 ou 8 coups sont supportables mais cela devient difficile. Je ne raconte pas ma sensibilité au 15ème coup surtout que je me demande si je vais supporter. Mais je tiens bon.
Il est vrai que dis comme cela, c’est comme s’il avait donné les 20 coups d’affilé. En vérité, il a pris son temps. Il a pris des pauses plus ou moins longue ne sachant pas quand le prochain coup tombera. Il fait même glisser le paddle ou la cravache entre mes lèvres m’invitant à me frotter à ces objets de torture.
Toutefois, je reste sur le qui-vive car ce n’est pas vraiment un moment de plaisir. Mais lui, vous dira qu’au constat de mon humidité après la punition, mon corps, lui, a apprécié. C’est là que commence un nouveau jeu. Celui de faire gémir et couiner Cookie.
Vous dire ce qu’il a fait me serait bien compliqué. Non pas à cause de ma mémoire défaillante mais parce qu’il joue avec ses doigts de différentes manières, s’adaptant à mes réactions, mes gémissements et mes couinements. Parfois, c’est la soumise qui s’exprime, très souvent la Cookie et bizarrement des sons sauvages (que j’ai rarement exprimé) qui s’expriment.
Quand il approche sa bouche de mes fesses, j’ai le réflexe de me mettre à plat ventre. Supporter ses morsures sur mes fesses sensibles, horrible. Je me relève car je sais que je n’ai pas le droit de bouger. Il me le fait savoir avec des fessées avant de me mordre les fesses.
Horrible de ne pas pouvoir bouger. Heureusement, cela ne dure guère longtemps et s’ensuit un moment de plaisir intense.
Peu à peu je m’allonge sur le ventre sous le poids de ce plaisir mais me relève puisque je sais que Maître veut que je reste dans cette position. Il m’explique qu’il veut tenter un truc. Il me fait un anulingus tout en me branlant avec ses doigts. Je suis envahie de plaisirs immenses, de plaisirs insoupçonnés avant lui. Je savoure tout en me disant parfois que c’est insupportable. Je veux que cela dure mais souhaite aussi que cela s’arrête. Je veux qu’il soit plus doux mais qu’il me pousse dans le plaisir. Tout est contradiction mais c’est ce qui me plaît. Je suis moi, simplement moi, libre de subir ce que j’ai accepté.
Une envie en moi se réveille. J’ai toujours du mal à l’exprimer librement bien que je sache qu’avec Maître aucun jugement et que cela ne sera fait que s’il pense que c’est le bon moment. Mais normal que cette idée me vienne vu qu’il me branle alors que je suis assise comme une chienne.
Parfois, je me demande s’il lit dans mes pensées ou s’il devine les idées qui naissent. Je reste ainsi à prendre du plaisir comme la bonne petite chienne à son Maître. D’autant que ce j’ai omis de vous dire, c’est qu’il m’oblige à aboyer pour m’humilier d’avantage.
Je me décide finalement en lui disant que je souhaiterais jouer avec le Wand devant lui. Il accepte mais souhaite que je sois allongée sur le dos.
Il me regarde faire, me regarde prendre du plaisir. Par moment, il guide ma main ou ajoute des doigts. J’essaie de le regarder mais pas évident. Pourquoi ? je l’ignore en fait. Regarder dans les yeux un homme quand je prends du plaisir seule n’est pas fait pour me mettre à l’aise.
Je sais que certains disent que c’est naturel, qu’il n’y a pas à avoir de honte et je connais même des femmes qui adorent. Si elles ont des trucs et astuces, je suis preneuse.
Bref, je me fais du bien mais très vite Maître prend le relais jusqu’à ne plus pouvoir.
Vous l’ai-je dit qu’il était insatiable ? Il ne s’arrête pas là. J’ai droit alors à son fameux cunnilingus. Bon pas de morsure. je vis le moment, je ne bouge pas, j’exprime tout le plaisir qu’il me fait subir. J’adore.
Il joue avec moi, mon plaisir et mes gémissements et ce, jusqu’à ce que finalement, me faisant monter de plus en plus haut dans la jouissance, je le supplie d’arrêter. C’est trop fort, trop puissant et j’ai peur de ne pas supporter cette vague de plaisir qui m’envahit, jamais ressenti avant lui.
Il finit par s’arrêter. J’ai le droit de boire comme une humaine et c’est un petit temps où nous regardons nos téléphones avant d’aller dans ma chambre pour nous coucher.
Mais bien évidemment, dès que je suis dans ses bras, allongée sur le côté, mon dos vers lui, mon corps lui est offert. Il joue de nouveau avec mes tétons, mon clitoris, mon plaisir.
Au vu de la sensibilité de mon corps, je sens que mettre un soutien gorge demain sera compliqué. De même qu’uriner demain matin, je vais le sentir passer.
Il adore me savoir ainsi, savoir que je vais penser à lui dans des moments atypiques.
Finalement, nous nous endormons. Nous ne sommes pas de grands dormeurs. Même si j’ignore l’heure, je sais qu’il est tôt ce matin. Il en faut peu pour que Maître joue au réveil avec mon corps. Comme la veille, mes tétons, mon clitoris ont droit à ses doigt. Comme la veille, je gémis, je jouis par moment comme la soumise, par moment comme la bonne petite chienne.
Je crois qu’il aime une pratique et sait très bien comment m’y pousser. J’ai envie de me frotter à son genou. Même s’il est vrai que cette pratique est presque devenue une coutume, cela ne m’est pas si aisée que cela de l’exprimer.
Cela me rappelle ma place, mon humiliation et le fait que je le vois me regarder ainsi…
C’est ainsi que se finira notre nuit ensemble. On aura un petit temps de tendresse mais il est temps pour lui de rentrer et pour moi d’entamer ma journée.
Je me libère de mes accessoires et m’habille le temps que lui se prépare. Pas le choix vu que je dois l’accompagner dehors pour qu’il puisse rentrer chez lui. Une petite étreinte, un petit bisou et voilà. Il s’évapore comme si ces dernières heures n’étaient qu’un fantasme ou un rêve fort plaisant.
Seules les sensations sur mes tétons et mon clitoris me rappellent que c’était bien réel. Je range tous les accessoires qui font de moi Cookie. Et ce, avant de prendre ma valise et un sac et de partir en week-end.
Maître s’occupe de Cookie. Maître s’occupe de Cookie. Maître s’occupe de Cookie. Maître s’occupe de Cookie. Maître s’occupe de Cookie. Maître s’occupe de Cookie. Maître s’occupe de Cookie. Maître s’occupe de Cookie.