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Note : Issu du calendrier de février 2020

Monsieur me donne ses ordres : tenue habituelle avec rosebud.

Je mets donc une jupe, un haut sexy, mes bas habituels (va falloir que j’en achète d’autres), le rosebud et mon collier.

Comme à son habitude, Monsieur me prend dans ses bras, m’embrasse et vérifie que ses ordres ont bien été respectés.

Direction le sauna en voiture. Durant le trajet, Monsieur se fait plaisir en me caressant mon intimité et mes seins, ravi de voir que je suis chaude comme la braise.

Une fois garé, Monsieur me sort de voiture et c’est avec la main autour de mon cou qu’il m’emmène jusqu’au sauna.

Depuis que j’ai compris que nous irions là-bas, je n’y pense pas. Je ne m’imagine rien et j’essaie de rester concentrée sur le moment présent.

Toutefois, je commence à me crisper en approchant. Non pas que j’ai peur d’y aller mais parce que j’ignore ce qui va se passer.

D’autant que n’ayant pas respecté ses ordres pour un jour du calendrier, Monsieur m’annonce : « Tu seras punie. Mais le niveau de ta punition dépendra de ton obéissance. »

Ce qui me fit comprendre qu’il allait sûrement me donner des ordres.

Nous entrons, récupérons la clef pour le casier, le paréo et la serviette.

Nous montons. Dans ce qui fait office de vestiaire, je commence par enlever mon collier et avec son autorisation le rosebud.

J’enlève mes chaussures et mon haut. Je m’empare de mon paréo mais je me le fais confisquer : « N’aie pas honte de ton corps. Je te le rendrais quand tu seras nue. »

Pas le choix, j’obéis. Mais une fois nue, Monsieur attend quelques instants avant de me le rendre.

Pris par une envie pressante, Monsieur va dans les toilettes. Je l’attends lors des vestiaires. Je décide de lâcher prise. Sauf que ces derniers temps, lorsque je lâche prise, je pleure. Je relâche tout ce que j’ai en moi par les pleurs.

Je me retiens et garde les larmes pour moi. Monsieur revient et nous allons au bar. Afin de m’aider à vivre le moment présent et me détendre, Monsieur me prend un cocktail à base d’alcool.

Comme à mon habitude, je parle, je parle tout en savourant mon cocktail. Il y a une part de moi qui se sens gênée de devoir s’alcooliser pour lâcher prise. Mais une autre sait que sans cette aide, je risque de me bloquer, de ne pas me détendre et de ne pas profiter.

Je pense qu’il y a certaines choses que je n’accepte pas et qui n’existent plus lorsque je me désinhibe. Comme sait si bien le faire l’alcool.

Nous allons à l’étage rejoindre les coins câlins. Une femme fait une fellation à son homme. Dans un autre, une femme est prise en levrette tout en en suçant un deuxième. Il est vrai que de voir, d’être présente quand des personnes prennent du plaisir ne me laissent pas indifférentes.

Monsieur m’installe dans un coin dont le mur est constitué de barreaux. Toutefois, il ferme la porte. Il n’est pas contre un voyeur qui tenterait sa chance.

Il me déshabille et m’installe sur le matelas afin de commencer son cunnilingus d’abord ses doigts. Il continue en mettant des coups de langue.

Le plaisir monte instantanément et comme toujours quand je m’y attends pas, viennent les morsures.

Difficile de ne pas bouger face à cette cruelle torture subie par mon ventre, le haut de mes jambes et mon intimité.

Il ne s’arrête pas là puisqu’il me doigte mon anus tandis qu’il continue son cunnilingus en parallèle.

Je jouis une première fois. Nous entendons des personnes qui tentent de rentrer. Monsieur décide alors d’enlever le cadenas avant de continuer à s’occuper de moi.

Les personnes ne tardent pas à rentrer : un couple. L’homme s’installe près de moi au niveau de ma bouche. Monsieur s’arrête et invite la femme à venir participer mais avec moi et son homme uniquement. Comme c’est sa première fois, elle préfère regarder.

Monsieur reprend son cunnilingus tandis que cet homme veut que je prenne en bouche son sexe. Toutefois, il ne me laisse pas faire et ne fait que mettre et enlever son sexe de ma bouche. Je fais de mon mieux mais je galère.

À un moment, je m’en saisis avec mes mains mais pareil. Alors, je fais du mieux que je peux et lui lèche quand c’est ce qu’il souhaite. Monsieur continue son cunnilingus et m’oblige à stopper la fellation lorsque la jouissance arrive.

C’est ainsi que je ne sais plus comment Monsieur explique :

« C’est ma soumise.

– Elle est bien dressée

– Pas encore. Elle pense qu’elle a encore des droits et elle va être punie.

Pendant ce temps-là, je ne dis mais n’en pense pas moins :

« Eh oh, je suis là. »

Je me sens humiliée et soumise face à des inconnus. Je trouve cela très étrange et un peu gênée

– Quelle va être sa punition ?

– Elle va recevoir des coups de cravache. Mais en fonction d’elle, ce sera en extérieur ou en privé. »

Ils continuent de parler quelques instants avant de s’occuper de moi. Une troisième jouissance arrive et j’avoue que j’aimerais bien une pause.

L’homme me demande une faciale. Je refuse et lui dit qu’il peut sur mon ventre. Pour atteindre mon ventre, il me fait une branlette espagnole avant de laisser couler son jus sur mon ventre.

Nous nous remettons comme nous pouvons et Monsieur m’emmène à la douche. Par la suite, nous apprendrons que je l’ai mordu. J’expliquerais à Monsieur que j’ignorais ce qu’il voulait et que le fait d’enlever et remettre dans ma bouche, je ne contrôlais pas mes dents. J’ignorais même que j’avais pu le mordre.

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