J’avais une soirée de prévue. Sans m’en avertir, mon maître s’incrusta à cette même soirée.
Je ne saurais comment le dire mais je me suis dit à plusieurs reprises que ce soir, il voudrait une seconde soirée. Peut-être parce que je le connais trop bien, peut être par son attitude, je l’ignore.
Lorsque la soirée se termina, nous sortîmes mais nous n’étions pas seuls. Un homme était avec nous disant qu’il s’était garé par chez moi.
Arrivé en bas de mon immeuble, je dis la bise à tous deux en leur souhaitant une bonne nuit. Je compris que mon maître reviendrait car n’étant pas très tactile, il avait posé sa main derrière mon dos lors de nos au revoir.
J’eus à peine le temps de monter chez moi et de me débarrasser de mes chaussures que j’eus droit à un texto : « J’arrive ».
Je filais vite aux toilettes avant de lui ouvrir.
Il m’embrassa avec fougue, baissa les bretelles de ma robe et de mon soutien-gorge afin de mieux s’emparer de mes seins.
Il s’arrêta au bout de quelques secondes et nous nous dirigeâmes vers mon salon.
Je nous servis à boire avant que les festivités reprennent.
Il m’embrassa avec fougue et me mordit le cou. Il délivra mes seins et commença à jouer avec.
Quand le moment fut opportun pour lui, il appuyé sur mes épaules. Je me retrouvais à genoux face à son sexe que je m’empressais de mettre en bouche.
Il me fit du face fucking. Malheureusement cela ne durait que quelques secondes car je risquais de vomir plusieurs fois. Plus tard, je dis que cela lui plaisait quand même et qu’il adorait me le faire.
Il me releva et m’ordonna de me mettre nue. Chose que je dis rapidement. Il en profita également pour se déshabiller.
Il me retourna, me fit diriger vers mon canapé. Avec sa poussée, je mis mes mains sur le haut du canapé, m’obligeant à me cambrer.
Il me mit plusieurs fessées sur chacune de mes fesses. Quand je parle de fessées, ce sont celles qui me donnent envie de dire : « Aïe » mais qui me procurent aussi du plaisir.
Il m’expliqua : « c’est pour avoir exhiber tes seins toute la soirée alors qu’ils n’appartiennent qu’à moi. »
Après les
fessées, il s’empara de mes seins et le demanda : « -A qui ils sont ?
– Ils sont à toi. Ils t’appartiennent »
Il me le fit répéter et quand il en fut convaincu, il me pénétra et me donna plusieurs coups de reins. C’était un réel plaisir d’autant que cela faisait un moment qu’aucun homme ne s’était occupé de moi.
C’est ainsi que j’eus droit : « Tu es une grosse salope. Tu es une pute. A qui appartiens-tu ? »
Je le rectifiais alors : « Je suis ta grosse salope. Je suis ta pute. Je j’appartiens qu’à toi »
Il finit par sortir, attrapa mes cheveux et m’emmena ainsi jusqu’à ma chambre où j’eus pour ordre de m’allonger sur le ventre.
Je savais ce qui m’attendait. Je m’en réjouissais à l’avance. Connaissant les réactions de mon corps, il me fessa de nouveau avant de me sodomiser.
Il me dit alors : « Tu aimes ça te faire enculer ?
– Oui
– Dis le que tu aimes te faire enculer ?
– J’aime me faire enculer. J’aime quand c’est toi qui m’encules »
Je le répétais plusieurs fois jusqu’à nos jouissances respectives.
Nous nous remîmes tranquillement de cette seconde soirée avant qu’il ne rentre tranquillement chez lui.
Blog de Lili Soumise
Blog de Lili Soumise – Une soumise BDSM raconte sa soumission
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