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Cela fait 2 jours que mon maître me cherche par texto. Il a envie de moi mais surtout de me posséder, de faire de moi ce dont il veut pour une nuit entière et une partie de la matinée. Il me prévient :

« Je veux que tu sois ma totale esclave. Tu ne bouges et ne dis mot que sur ordre. Tu ne feras que ce que je veux. Je te préviens, ce sera bestial. »

Rien qu’à lire ces mots, je n’ose vous avouer l’excitation et la curiosité qui monte en moi.

Que veut-il dire ? Que va-t-il faire de moi ?

Peu importe, il est prévu que je vienne chez lui après nos soirées respectives. La mienne s’est malheureusement finie bien trop tôt, je me suis retrouvée chez moi à 23H30.

Quant à la sienne, elle dure. J’attends jusqu’à 1H30 du matin avant de recevoir un texto :

« Laisse tomber. La soirée s’éternise. Je pense que ce ne sera pas pour ce soir. »

Seulement, malgré que je sois un peu fatiguée, je n’arrive pas à dormir. J’ai promis à mon corps de subir tout ce que mon maître souhaite et il réclame son dû. Je sais que soit je m’endors de lassitude mais ce ne serait pas dans les minutes qui suivent soit je ne peux dormir que lorsque mon corps aurait eu son dû.

Je lui envoie quelques textos pour lui faire comprendre que je ne dors pas.

C’est donc à 2h du matin que je reçus l’ordre : « Viens ».

C’est ainsi que je me rhabille à la va-vite, prends mon sac à main et mon sac d’accessoires et monte dans ma voiture. Devant le volant, je sens la fatigue, la curiosité et l’excitation. Ce que je crains c’est que je sois obligée de stopper mon maître parce que physiquement, je ne pourrais pas suivre. Dans le même temps, s’il m’excite et me fait ce que j’aime, la fatigue serait vite oubliée.

C’est ainsi que j’entre chez lui. Je pose mes sacs, j’enlève mon manteau et j’attends.

Il me colle au mur et commence à m’embrasser sur la bouche. Je souhaite répondre à ses baisers mais avec un coup de langue, il me fait comprendre que je dois subir, seulement subir.

Pourtant tactile, je ne peux m’empêcher de lever ma main pour le toucher. Il m’arrête en la tapant. C’est la première fois que je dois contrôler mes faits et gestes. Ce n’est pas chose aisée surtout lorsque je me laisse aller au plaisir.

Il descend ses baisers jusqu’à mon cou avant de me mordiller. Pas une simple et petite morsure, mais celle qui indique qu’il veut me manger. C’est difficile de ne pas bouger lorsqu’il remonte jusqu’à ma joue.

Il enlève mon gilet et soulève mon t-shirt, laissant découvrir ma poitrine généreuse. Même si je n’en ai pas l’ordre, je me débarrasse de mes chaussures et de mes chaussettes comme je le peux. Car il me bloque et le laisse me bloquer.

Il caresse et presse fortement mes seins. Il sens mes gémissements et le plaisir que j’en prends. Je pense que c’est pour cette raison qu’il s’arrête. Il me retourne violemment, retire mon haut, abaisse mon pantalon et mon string.

Je me retrouve nue, face collée au mur alors que lui est encore totalement habillé. Il me tripote de partout et je le laisse faire. De toute façon, je n’ai pas d’autre choix. Si je bouge, j’aurais une punition.

Il s’arrête d’un coup. Je n’ose nullement faire le moindre mouvement mais je me demande ce qu’il fait quand je sens les fessées tomber. Quand je parle de fessées, ce ne sont pas de simples tapes amicales mais bien celles qui font rougir. Celles où mon corps souhaite se dérober.

Comme je suis à lui, si tel est son désir, je dois le subir. Il profite entre chaque fessée d’alterner entre morsure et baiser dans mon dos. Moi qui suis sensible, je n’ose vous dire la torture que c’était de rester immobile.

Les fessées qui tombèrent ensuite ne furent pas par ses mains mais par sa ceinture. Il m’en donna facilement 3 sur chacune des fesses. Il prenait un malin plaisir à me punir. J’ignorais de quoi et vu que j’avais interdiction de parler librement, je subissais avec plaisir la punition infligée.

Il s’arrêta et me dit : « A 4 pattes et dépêche-toi. »

J’obéis alors qu’il continue à me fesser et à jouer avec mon intimité. Pour l’instant, tout est à peu près comme d’habitude. Certes, il a été plus violent dans ses morsures et ses fessées mais je ne vois pas d’autre changement jusqu’à ce qu’il s’arrête, aille dans son salon et me dise :

« Viens

Je me prépare à me lever :

« A 4 pattes, tu es une chienne. »

J’obéis et arrive vers lui à sa hauteur comme une chienne. Ignorant ce qu’il attend de moi, je me mets à genoux, le regarde et attend mes ordres. Il me contemple ainsi quelques secondes, fier de me voir aussi soumise.

Il m’ordonne : « Suce »

Je prends avec plaisir son sexe dont je ne me lasserais jamais. Je connais ses préférences dans cette pratique. Je m’applique du mieux que je peux.

Afin de ne pas oublier ma place, quand il en a assez, sans prévenir, il me rejette brutalement. Il m’aide à me relever et me pousse ventre sur sa table. Il reprend les fessées :

« C’est parce que tu as envie de baiser que tu es sortie.

    –  Non. Juste par vous.

    –  Ne me mens pas.

    –  Je ne mens pas, il était prévu que je passe la nuit avec vous. »

Bien sûr la discussion s’accompagne de fessée. Une fois satisfait de ma nouvelle punition, il décide enfin de me pénétrer.

Je dois dire que dans les films, tout est idéal, tout se passe bien et il n’y a pas de problème d’accessoires. Seulement, je suis plus petite que lui et visiblement de sa table. Pour qu’il puisse me donner des coups de reins, mes pieds doivent lâcher terre.

Même si j’apprécie d’être prise ainsi, je me doute que mon maître n’est pas à son aise non plus.

Il me retourne et tout en m’embrassant, il me fait monter sur la table face contre lui. Il me fait semi-allongée sur cette dernière et mordille chacun de mes seins. Je ne contrôle aucun de mes gémissements, je subis l’alternance entre punition et récompense.

Je suis en lâcher prise totale même si j’essaie de mémoriser la succession des événements pour mieux vous le raconter.

Mon maître me fait rarement de cunnilingus. C’est donc avec délice que lorsqu’il m’allonge entièrement sur la table et qu’il m’en fait un, j’en profite grandement.  Seulement, cela ne dure pas longtemps. Je suis là pour son plaisir et non pour le mien.

Il me pénétre ainsi mais comme dans la première position, il n’est pas à son aise. Il se contente de quelques coups de reins avant de me faire redescendre et de jeter le haut de mon corps avec violence sur son canapé. Je me retrouvais debout mais courbée sur son canapé.

Ni une ni deux, il met un doigt dans mon anus. Bien que j’aie l’habitude d’être sodomisée, je suis surprise par le plaisir et les gémissements que j’exprime avec seulement un doigt. D’autant que je sais que dans les secondes qui vont suivre, je n’aurais plus un doigt mais son sexe entier. Ce qui arrive effectivement.

Il s’empare de mes cheveux et tire dessus lorsqu’il souhaite que je relève la tête. Je ne me suis jamais sentie aussi animale qu’à ce moment. J’ai l’impression d’être une chienne qu’il tient avec des rênes dont il peut disposer à sa guise.

J’ai déjà conscience que je lui appartiens mais plus nous avançons dans nos jeux, plus je me rends compte que son contrôle sur moi est de plus en plus poussé.

Peu importe, autant se concentrer sur le plaisir. Mais il a bien l’intention de m’humilier davantage. Il me fait allonger à même le sol et finit sa sodomie en moi ainsi.

Il aime que je sache que je ne suis rien et que je ne mérite que le sol. Mais il faut dire que si je n’aimais pas cela, aurais-je seulement été sa soumise ?

Voici la première partie de la nuit. La seconde arrive dans un autre post….

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