Synopsis
Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.
Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.
Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire
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Cher journal,
Tout d’abord, tu dois savoir que Maître et moi avons édicté des règles pour chaque type de jour. Si je te les listais, cela serait fastidieux, inintéressant et bien trop long. De toute manière, tu découvriras par toi-même au fil des jours.
Je me réveille tranquillement. Maître est allongé à côté de moi. Je le connais trop bien pour savoir que soit il est réveillé soit il est en train de se réveiller. Peu importe, j’ai mes ordres.
Je fais mes besoins aux toilettes, je prends ma douche en 10 minutes. La moindre seconde sera marquée par une punition. Afin d’y veiller, Maître a installé un minuteur. Nue, j’enfile mon collier, mes chaussons et pars à la cuisine.
Je prends un plateau sur lequel je place son café, ma tisane, des tartines de confiture soigneusement préparée par moi. Je l’amène dans notre chambre.
Maître est allongé sur le dos et a les yeux fermés. Dort-il vraiment ou me teste-t-il pour vérifier si je vais respecter les ordres ?
Je pose le plateau sur la petite table. Retire la couverture au niveau de ses jambes et je prends en bouche son sexe. Au début mou, il devient vite dur avec ma bouche.
Une main se pose sur ma tête comme pour dire : « Bon toutou. »
Il me laisse faire jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche. Je descends alors du lit. Prends ma tisane et mes tartines et les pose sur un plateau à terre.
Je prends le plateau principal et le donne à Maître qui me regarde faire avec son regard satisfait, heureux et fier de me voir obéir.
Je me mets à terre et avale ainsi du mieux que je peux mon petit déjeuner. J’utilise mes mains.
Nous parlons de choses et d’autres mais dès qu’il peut me remettre à ma place par des piques, il le fait. Nous prenons le temps, après tout, c’est dimanche.
Une fois terminés, je me relève, prends nos affaires et vais à la cuisine faire la vaisselle et ranger. Maître prend sa douche en attendant.
Je file alors dans mon coussin installé à proximité du canapé. J’y insère le lush en moi et j’attends patiemment mon Maître et ses prochains ordres.
Ce dernier prend tout son temps. il fait des va-et-vient, prend des objets, les déplace avant de les remettre et m’ignore complètement. Je commence à être déçue, moi, qui, ainsi, suis en totale demande, avec des envies, il choisit de m’ignorer.
Jusqu’à ce que le jouet commence à vibrer. Je ferme les yeux afin de mieux ressentir les sensations. Maître daigne enfin s’installer sur le canapé et me donne son pied.
Je le lèche alors avec délectation tandis que mon bas ventre réclame son dû. Alors que je gémissais, qu’un orgasme pointait le bout de son nez. Maître arrête le jouet mais me laisse son pied à lécher :
« Penses-tu mériter jouissance de sitôt ?
J’ignore si c’est une question piège. Si je réponds oui, y aurais-je droit ? Le connaissant, pas du tout certain. Et si je dis non, alors qu’il aurait accepter, j’aurais eu l’air maligne. Je décide de jouer la prudence :
« Ma jouissance tout comme mon être vous appartient Maître, c’est à vous de décider si je vous satisfait suffisamment pour mériter jouissance.
– Es-tu prête à me supplier pour l’obtenir ?
Je réfléchis et sincèrement pas encore :
– Je ne suis pas dans cet état Maître.
– Je te connais bien et je connaissais la réponse. Je voulais vérifier si tu allais être honnête. Tu as quand même mérité une récompense. Tu retires le lush. Je te donne le Wand et t’accorde une seule et unique jouissance. Les autres viendront quand tu seras prête à me supplier. »
Je lui obéis en enlevant le lush et en allumant le Wand que je fais vibrer sur mon clitoris. Bien évidemment la jouissance tellement voulue arrive bien trop vite et je dois dire qu’elle est loin de me satisfaire. Maître, quant à lui m’a bien regardé pendant ce temps.
Je lui tend le Wand qu’il va passer sous l’eau tandis que je remets le lush qui a bien du mal à tenir tellement je suis humide.
Maître revient et nous mets une série. Nous discutons pendant que nous la regardons. Mais bien sûr, le lush s’allume de temps à autre mais s’arrête toujours au pire moment.
C’est à tel point qu’avant l’heure de déjeuner, j’ai bien trop envie :
« Maître, je te supplie de me laisser aller. J’ai besoin d’être satisfaite. Je suis en chaleur.
– Mieux que cela ma chienne.
– Je suis prête à m’humilier si tu m’accordes satisfaction, je le ferais selon ta volonté.
– Grimpe sur mon genou. »
Je sors de mon coussin. Le lush tombe tout seul. Je m’installe sur son genou et me frotte à ce dernier comme jamais en le regardant dans les yeux. Il amplifie mes sensation en tirant sur mes cheveux, en me prenant par le cou ou en jouant avec mes tétons bien durs.
Il me laisse aller jusqu’à la satisfaction ultime ainsi humiliée. Je suis enfin satisfaite et Maître bienheureux de ce qui s’est passé.
Il prend le lush qu’il part nettoyer avant de me rejoindre pour préparer le déjeuner. Comme la quasi totalité de mes repas, ce dernier est mis dans ma gamelle de chienne avec ma gamelle d’eau à proximité au pied de mon Maître qui, lui, est bien installé à table.
J’ai des couverts que j’ai le droit d’utiliser mais la gamelle, je dois laper. Si je triche, j’aurais une punition. Je fais donc bien attention à respecter les règles qui me permettent d’être pleinement à ma place. Et ce, en sachant, que je suis observée.
Une fois terminés, je débarrasse et Maître m’aide à la vaisselle et à ranger.
« Cookie, on va se promener. Viens avec moi dans la chambre. »
Quand il me parle ainsi, je dois me déplacer à quatre pattes. C’est lui qui choisit mes vêtements et vu que nous sommes dimanche, c’est lui qui m’habille. Il a sorti une robe en laine mais décolleté avec un porte jarretelles assez chaud.
Il me met un manteau. Il met le sien tandis que je mets les chaussures qui me sont imposées. il prend la laisse pendu au porte clef à l’entrée. Il me la met depuis la maison et nous voilà partis.
Nous habitons à dix minutes à pied d’une forêt. Le temps de sortir des habitations, j’ai une écharpe qui cache mon collier et ait fermé le manteau. Mais j’avoue que le temps est plutôt doux, j’ai chaud et j’ai envie de l’ouvrir.
Pour les plus observateurs, vous verriez qu’une laisse dépasse à un endroit permettant à Maître de la tenir à la main. Nous nous enfonçons dans la forêt et me libère du manteau tellement j’ai chaud. Maître enlève le sien également et prend les deux. C’est ainsi que nous nous promenons pendant une bonne heure.
Bien évidemment, il y a des pauses où il libère mes seins pour jouer avec. Ou bien, il me fait prendre appui sur un arbre pour remonter ma jupe et me branler pour me faire couler. A un moment, il ira jusqu’à me pénétrer sauvagement sans que mon corps n’ait été préparé. Enfin, je dis cela mais en réalité, je suis tellement humide que son sexe pénètre sans effort.
Je suis à sa merci et je dois le servir nuit et jour comme l’envie lui en prend.
Nous rentrons. Je me mets à genoux et le déchausse avant d’embrasser ses pieds. Il me permet de me relever. Je vais à la chambre pour me dénuder et comme convenu, j’ai droit à deux heures de totale liberté où je peux agir à ma guise, sans autorisation, sans rendre des comptes. Je peux ainsi consulter mon téléphone, jouer, téléphoner, lire comme une vraie femme. Si ce n’est que je suis avec mon collier me permettant de ne jamais oublier ma condition. Comme si c’était possible.
Les deux heures passent bien vite. Mais Maître est tolérant. J’ai droit au canapé afin de jouer avec lui à un jeu vidéo. Il est tellement prenant que nous avons oublié l’heure du dîner. Peu importe, nous commandons et dînons comme avons déjeuné.
Après m’être lavée le dent, je dois me mettre sur cet ordinateur et te raconter ma journée. Toutefois, je peux déjà te raconter la suite. Comme une grosse semaine m’attend et que Maître ne veut en rien contrarier mon travail, il ne se passera pas grand chose. Nous allons regarder un film. Lui, assis dans le canapé, moi dans mon coussin sans jouet sans rien.
Ensuite, nous nous rendrons à la chambre, moi à quatre pattes, lui debout. Il attachera ma cheville au pied du lit avant que je m’installe dans mon coussin. Il a pris une chaîne suffisamment longue pour que je puisse grimper sur le lit pour la gâterie du matin.
Si j’ai des besoins dans la nuit, j’ai le droit de m’en libérer sous condition de me rattacher. Mais à moi de faire en sorte qu’il n’en soit rien car si j’ai le malheur de faire passer une mauvaise nuit à cause de cela, je serais punie. De toute façon quoique je fasse qui puisse le contrarier, je serais punie.
Et c’est ainsi que se déroulera ma première en tant que véritable Cookie. Et je dois dire que même si nous voulons être sage, je suis humide et pas contre d’autres plaisirs.
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