soumise-j

Avant toute chose, sachez que j’expose ici ma vision et seulement ma vision de la Personne Soumise. Il faut savoir que ma vision a été créée par ma propre expérience, des recherches mais aussi du partage avec d’autres.

Soumis(e)
Toutes questions en rapport avec le rôle de Soumis(e)
Qu'est ce qu'une personne soumise ?

Définitions littéraires


Selon le Larousse, la soumission c'est l’acte par lequel une personne est placée sous la dépendance, le pouvoir, la domination de quelqu’un.

Dans cette définition, il n'est aucunement fait notion de BDSM.

Une femme soumise peut donc l’être dans n'importe quel domaine y compris sexuel sans pour autant qu’une quelconque pratique BDSM ne soit exercée.

Intéressons-nous maintenant à la définition de BDSM selon l'internaute :

«  Ensemble de pratiquessexuelles faisant intervenir le bondage, les punitions, le sadisme et le masochisme, ou encore la domination et la soumission »

Ainsi, la soumission fait partie des pratiques du BDSM. Toutefois, tous les pratiquants du BDSM ne l’exercent pas obligatoirement.

Si je résume, selon les définitions littéraires, une soumise BDSM est une femme qui se met sous la domination d'une personne. Cela ne veut pas dire que la femme soumise pratique une autre pratique du BDSM.

Par exemple : le fait d’accepter les positions sexuelles imposées par son dominant est déjà une forme de soumission BDSM.

Il est vrai que dit comme cela, cela sous entendrait que finalement, les personnes pratiquant le BDSM seraient beaucoup plus nombreuses que ce que nous pensons.

Toutefois, il est quand même fréquent dans une relation BDSM de domination et soumission qu’une partie voire la totalité des pratiques citées dans la définition du BDSM soient exercées.

Définition de la soumise BDSM dans la réalité


Ce qu’elle n’est pas : 

Bien souvent, les hommes s’imaginent qu’une femme soumise sera à leurs pieds répondant à leurs moindres désirs et envies. Ce n’est que très réducteur :

  • Il existe tellement de pratique que ce genre de jeux ne convient pas à toutes les soumises

  • Une femme soumise est tellement bien plus. Ce serait dommage que de rater tout ce qu’elle peut vous apporter

  • La réalité est bien différente des scénarios dans des films spécialisés. Il m’est déjà arrivé de ne pas avoir été prise sur une table car elle n’était pas à la bonne hauteur. Il peut arriver qu’une soumise refuse une pratique parce qu’elle ne lui convient pas à l’instant précis


Ce qu’elle est : 

Une femme soumise est avant tout une femme : avec son histoire, son vécu, son quotidien, sa personnalité, ses sentiments. Et malheureusement, bon nombre d'hommes se disant « Dominant » quand ils abordent des soumises notamment dans les réseaux sociaux oublient ce point crucial.

Déjà si un Dominant ne s’intéresse pas à qui est sa soumise, il n'a aucune chance d’établir la moindre relation quelle qu’elle soit.

Une femme possède également des envies et des désirs. Parfois, elle ne les connaît pas encore au début de la relation. Pour les connaître et les satisfaire, il suffit d’échanger avec elle. Ainsi, la personne dominante pourra la diriger vers des pratiques plaisantes et parfois méconnues de la soumise.

Afin d’accomplir son rôle de soumise, des qualités sont présentes :

  • De la force : se soumettre à quelqu'un et lui obéir aveuglément demande une force incroyable. La soumise doit apprendre à revoir voire à détruire des fondements qu'elle a pu acquérir durant son éducation, ses vécus voire même dans ses croyances. Clamer haut et fort que l'on est une soumise sexuelle n'est pas chose évidente au premier abord. Il faut du temps et de l’acceptation.



  • Du caractère : je considère la soumission comme un jeu. Un dominant y trouvera beaucoup de fierté à avoir asservi une femme possédant du caractère plutôt qu'une femme qui ne bouge et ne dit mot que sur ordre. Où se trouve alors le plaisir ?



  • De l'imagination : même si elle obéit et se laisse guider par son Dominant. La jouissance de sa condition vient de beaucoup de sa psychologie. Rien que le fait de revivre les moments où elle est humiliée et/ou bandée et/ou attachée ou toute autre pratique lui procure un plaisir. Et ainsi, l'imagination lui permet de prévoir d’autres scénarios, d'avoir d'autres attitudes, de devancer les désirs de son dominant… L’imagination ne peut que servir au plaisir de la soumise et du dominant.



  • De la prise de conscience : un échange est fait entre le Dominant et la soumise. La soumise pour y prendre du plaisir doit pouvoir réaliser et comprendre ce qui lui arrive. C'est encore une fois sa part psychologique qui le lui permettra. Une femme qui ne réfléchit pas à sa condition ou aux pratiques exercées aura du plaisir uniquement sur le moment (et encore). Alors qu'une soumise réfléchira à son parcours, au comment du pourquoi et pourra en prendre encore plus du plaisir.Des désirs : même si une soumise est à la disposition de son dominant, il ne faut en aucun cas oublier les désirs de la soumise. Si le dominant ne pense qu’à ses désirs, un sentiment de frustration naîtra de la part de la soumise. Bien évidemment, le plaisir ne sera alors plus présent et mettra un terme à la relation.



  • De la communication : si la soumise n'exprime pas ce qu'elle cherche ou la/les pratiques désirées, il va être difficile à son dominant de la guider. Tout comme si elle ne dit pas à son dominant la/les pratiques qui lui ont plu ou déplu, elle risque de subir par la suite des choses qui ne lui procureront pas du plaisir voire considérées comme une agression. Ainsi, il vaut mieux une soumise bavarde (Moi je sais que je le suis beaucoup) qu'une soumise silencieuse.



  • Du respect. Bien entendu, la soumise doit pouvoir montrer un respect beaucoup plus accentué pour son dominant. De ce fait, si la soumise n’en possède pas ou dans une petite mesure, il va lui être difficile de pouvoir en donner à son maitre




Ce ne sont que certaines qualités. Cette liste n’est certainement pas exhaustive. D’autant que chaque femme est différente et bien entendu, il existe autant de soumise qu’il existe de femmes. Tout comme une soumise ne doit pas forcément réunir ces qualités. Encore une fois, c’est ma vision du BDSM et ne prétendrait jamais imposer ma vision à tous.
Qu'est-ce qu'une soumise sous collier ?
Le co.llier est le symbole par excellence dans le cadre d'une relation de Domination / Soumission.

Lorsqu'une soumise est dite sous collier, cela signifie simplement qu'elle apparatient à un Maître ou à une Maîtresse tout simplement
Comment sait-on si l'on est une personne soumise ?
Je vais exclusivement parler de la Soumission sexuelle. Il suffit de savoir comment vous vous comportez lors des actes. Aimez-vous être privé d'un sens ? Aimez-vous être à la merci de l'autre ? Arrivez-vous à prendre des initiatives ?

Si toutes les réponses indiquent que vous préférez que l'autre prenne les décisions et que vous vous laissez aller aux désirs de votre partenaire, il est fort probable que vous soyez une personne soumise.

Si toutes les réponses indiquent que vous aimez de temps en temps avoir le contrôle et dans d'autres vous laissez aller aux désirs de l'autre, vous êtes probablement une personne Switch.
Comment devient-on une personne Soumise ou une personne Dominante ?
Régulièrement, mon maître et moi avons des personnes qui nous demandent Comment devenir une domina ou un dominant ? Comment devenir un ou une soumise ?

Je vais donc y répondre définitivement ici et vous faire cette réponse : "J'en sais rien."

Bon la réponse n'est pas terrible alors si vous avez la flemme de lire l'article en entier, retenez ceci : "Selon ma vision du BDSM, on ne se réveille pas un matin en décidant de devenir maître ou soumise. Il s'agit plutôt d'une réflexion, d'une prise de conscience appuyée sur les expériences sexuelles, les envies, les désirs, les fantasmes... Ensuite, il s'agit d'opportunités permettant de faire cette expérience de manière progressive permettant de confirmer ou non si l'on est fait pour ce rôle."

Si vous voulez rentrer dans le détail, cet article est décomposé en 2 parties :

  • La partie "Théorique" si je puis dire

  • Les témoignages de personnes qui sont acutallement domina(nt) ou soumis(e)


Première question: Avez-vous de l'expérience sexuellement ?


Je suis sérieuse en posant cette question. De mon point de vue, il convient d'avoir une certaine maturité sexuellement pour envisager ce type de relation.

Un homme de 18 ans peut tout à fait avoir cette maturité comme un homme de 40 peut ne pas l'avoir (je vous l'assure c'est une vérité !).

Pour le savoir, posez-vous ces questions :
















































Soumis(e) Domina(nt)
Avez-vous déjà fait une fellation ? Vous a-t-on déjà fait une fellation?
Avez-vous déjà pratiqué plusieurs positions? Avez-vous déjà pratiqué plusieurs positions ?
Vous a-t-on déjà pénétré avec les doigts ? Un sexe ? Un gode ? Avez-vous déjà pénétré une femme avec les doigts ? Un sexe ? Un gode
Vous a-t-on déjà fait un cunilingus ? Avez-vous déjà fait un cunilingus ?
Vous a-t-on déjà fait un anulingus ? Avez-vous déjà fait un anulingus ?
Vous a-t-on déjà attaché ou bandé les yeux ? Avez-vous déjà attaché ou bander les yeux d'une personne ?
Avez-vous déjà donné des fessées que ce soit avec les mains ou un objet ? Avez-vous déjà fessé quelqu'un avec les mains ou un objet ?
Vous a-t-on déjà mordu pendant les préliminaires ou l'acte ? Avez-vous mordu pendant les préliminaires ou l'acte ?
Vous a-t-on déjà tordu les seins ? Avez-vous déjà tordu les seins
Vous êtes-vous déjà exhibé ? En public ? Sur les résaux sociaux? Avez-vous déjà exigé une exhibition de la part de votre partenaire ? En public ? Sur les réseaux ?


Ceci n'est qu'un échantillon et il existe bien d'autres questions. La seule chose à savoir, c'est que si vous répondez non à plus de la moitié des questions, expérimentez-les avec la ou les partenaires qui seront sur votre route. De mon point de vue vous n'êtes pas prêt.

Dans un second temps, aux questions où vous avez répondu oui, il suffit de vous poser la question : "Avez-vous aimé ?"

Si, effectivement, vous avez aimé la majorité des pratiques, alors vous pouvez continuer la lecture de cet article. Pour les autres, vous n'êtes pas prêt pour une relation de Domination / Soumission

Deuxième question : Sommes-nous prêt à le devenir ?


La lecture


Commencez par lire des nouvelles ou des romans dans ce genre. Voyez l'effet que ces lectures ont sur vous. Si vous vous imaginez à la place des personnages dans certaines scènes, c'est que vous êtes prêt à le devenir.

D'autant que cela peut vous donner des idées.

Ex d'ebook gratuit : https://book-gratuit.com/?s=bdsm

Le porno


Personnellement, je n'aime pas les films pornos et j'en ai tellement entendu du mal que je ne le prône pas. Toutefois, cela peut vous aider à savoir si vous aimeriez être à la place des acteurs.

Attention : La réalité n'est pas un film scénarisé. Vous ne pourrez donc pas exiger d'un(e) soumis(e) tout ce qui se fait dans les pornos.

Le Web


Google, les réseaux sociaux, les sites webs spécialisés... regorgent d'image BDSM. Si les images vous font de l'effet et que vous aimeriez reproduire les scènes et êtes prêt à le faire alors il n'y a plus qu'à sauter le pas.

Troisième question : Comment devient-on soumis(e) ou domina(nt) ?


Sincèrement, c'est comme si vous me demandiez comment devient-on amoureux (se) ?

1°) Trouver le ou la partenaire


Comme dans toute relation, trouver un(e) partenaire qui accepte de jouer avec vous n'est pas chose aisée. Si vous avez déjà un(e) partenaire sexuel(le), pourquoi ne pas lui demander simplement ?

Ensuite, il existe des sites spécialisés de rencontre ou les réseaux sociaux. l'important est le feeling que vous aurez avec la personne car la confiance et la communication sont primordiales.

Un autre point important : la vision du BDSM. Soyez sûr que votre vision est similaire, que les envies et les désirs sont similaires.

2°) Il s'agit d'un jeu de rôle


Plusieurs hommes m'indiquent qu'ils aimeraient devenir maître mais sont timides.

La relation Domination / Soumission est un simple jeu de rôle sexuel. C'est a vous, et à vous seul de rentrer dans le personnage.

Pour que la lecture soit plus simple, je vais prendre un homme dominant et une femme soumise.

Un dominant doit avoir un certain charisme. Cela va être à lui de s'imposer, de donner des ordres, d'obtenir de sa soumise ce qu'il souhaite et de faire en sorte que sa soumise accepte de faire la punition.

De ce fait, un dominant se doit d'avoir une autorité et savoir se faire obéir. Car une soumise vous testera et refusera peut être des ordres ou des punitions. Si vous ne vous savez pas vous imposer, oubliez tout de suite.

Une soumise doit accepter les ordres quels qu'ils soient de son maître. Bien sûr, un dialogue aura constamment lieu entre 2 séances afin de connaître la ou les pratiques acceptées, fantasmées ou désirées. Elle doit pouvoir accepter son rôle et réaliser le rôle qu'elle joue.

De ce fait, une soumise doit savoir ce qu'elle désire car c'est elle et elle seule qui mène le jeu de rôle tout comme elle doit accepter d'obéir à tout ordre et toute punition. Si vous n'en êtes pas capable, oubliez tout de suite.

3°) Evolution progressive


Que vous débutiez ou soyez expérimenté, vous n'allez pas dès la première séance obtenir de votre soumise qu'elle ait un collier autour du cou, soit dans un coin en attendant que vous l'appeliez pour satisfaire vos besoins.

Beaucoup ont cette image de soumise, alors si tel est le cas, ne me parlez même pas. La relation Domination / Soumission n'est pas là pour qu'une femme satisfasse tous les désirs de ces messieurs.

Une relation comme toute relation est un échange. Un dominant se doit de donner du plaisir à sa soumise (des cuni, des pénétrations, des sodomies..) tout comme la soumise procure du plaisir à son dominant.

Si vous l'avez compris, c'est déjà un grand pas. Car la réalité est bien loin de ce que vous avez pu voir dans les pornos ou dans votre imagination.

Maintenant, pour découvrir vos talents de dominant ou de soumise, il convient d'y aller progressivement tout en suivant les envies de chacun.

Ce qui va suivre n'est absolument pas une marche à suivre mais un exemple. Vous pouvez commencer par quelques séances où la soumise est humiliée en s'exhibant. Vous pouvez continuer en l'attachant ou en lui bandant les yeux. Vous pouvez par la suite lui mettre un collier et une laisse.

Et seulement là, si tels sont les désirs de chacun, vous pouvez laisser votre soumise dans un coin avec un collier et l'appeler quand vous avez envie d'elle. Mais quand elle s'occupe de vous, n'oubliez pas de lui donner également du plaisir même si elle en prend dans cette position.

Si vous ne vous occupez jamais d'elle, la frustration la gagnera et elle vous quittera.

4°) Imagination


Que ce soit le dominant ou la soumise, l'imagination est quelque chose d'importent (enfin à mon sens).

Le dominant se doit d'imaginer des punitions qui soient vécues en tant que telles par la soumise. Il doit aussi trouver des idées lors des séances afin de réaliser les envies, les désirs et les fantasmes de sa soumise.

Une soumise doit aussi pouvoir inspirer son dominant. Qu'il la prenne en levrette ne va durer qu'un temps. A elle de réfléchir, de voir quelles sont les pratiques ou les fantasmes qu'elle aimerait réaliser.

Dans tous les cas, la communication est primordiale afin de vérifier que les envies, les désirs soient communs et réalisables.

J'en profite pour rappeler que même dans ce jeu de rôle, le consentement reste valable. Imposer sa volonté alors que l'un des deux a dit NON reste une agression sexuelle.

Conclusion


Voici un petit récapitulatif de comment devenir un dominant ou une soumise :

  • Avez-vous une certaine maturité sexuelle ?

  • Est-ce que lorsque vous avez lu ou regardé des images tournant autour des relations Domination / soumission, vous avez envie les vivre ?

  • Parlez-en à votre partenaire actuel et sinon, comme toute relation amoureuse, à vous d'en trouver

  • N'oubliez pas qu'il s'agit d'un jeu de rôle : un dominant doit pouvoir s'imposer, une soumise accepter d'être à cette place

  • C'est la soumise qui mène le jeu

  • Faites évoluer progressivement les pratiques en fonction des envies de chacun

  • Soyez imaginatif


A ne pas oublier :



  • Comme dans toute relation sexuelle : "NON" veut dire non. Sinon, il s'agit d'une agression sexuelle

  • C'est la soumise qui mène le jeu (contrairement à ce que l'on pourrait penser)

  • La confiance et la communication sont primordiales

  • La Domination / soumission est une relation avec des échanges de plaisirs sous le joug du jeu de rôle

Existe-t-il une différence entre une soumise et une esclave ?
Cette question est primordiale car bien souvent les non initiés au BDSM, confondent les 2 statuts.

La meilleure réponse à vous faire est de lire les 9 degrés de soumission.

Une soumise se considère soumise du 1er au 7ème degré.

Une soumise peut se considérer comme esclave au 8ème et 9ème degré
Est-ce la soumise qui choisit son Maître ou est-ce le Maître qui choisit sa soumise ?
Il est traditionnellement indiqué que c'est la personne soumise qui choisit la personne à qui elle veut appartenir.

Mais au vu de notre société, de l'évolution des relations et là, je donne mon avis, en réalité ce sont les deux qui se choissisent mutuellement. Tout simplement parce qu'une personne soumise peut avoir envie d'appartenir à une personne Dominante. Mais si cette dernière n'est pas intéressée, vous vous doutez bien que rien ne peut se faire.

Mais dans tous les cas, que l'on prône la tradition ou ma vision, ce n'est jamais et au grand jamais les personnes Dominantes qui décident seules des personnes qui se soumettront à elles.
Est-ce qu'une soumise aime forcément le sexe ?
Pour rappel, la soumission n'est pas forcément sexuelle.
Pour rappel, une soumise est avant tout une personne !

Donc, en partant de ces deux postulats, la réponse est NON.

Même s'il est courant que la soumission est liée à des actes ou jeux sexuels, cela ne veut pas forcément dire que la soumise est une nymphomane.

Après tout, vous, qui êtes en train de lire, faites-vous du sexe à tout va ? Même si vous aimez cela ?

Une perosnne soumise, c'est la même réponse
Est-ce qu"une soumise ou une personne dite Maître est forcément libertine ou échangiste ?
Le libertinage a la base n'est pas qu'est lié au sexe.

Le libertinage, le vrai, c'est une manière de vivre libre de pensée. Si on part dans l'interprétation et selon moi, c'est une personne qui a envie de suivre ses envies. Et ce, quelque soit le domaine : pro, familial, personnel.

Il est quand même dommageable qu'à ce jour libertinage = sexe. Car c'est bien plus profond
Mais si on reste dans le sexe, pour avoir découvert ce monde. C'est en fait donner et recevoir du plaisir à qui l'on a envie et quand on en a envie. Et ce, libre de le faire même si les personnes sont en couples
.
De ce fait un pratiquants du BDSM n'est pas forcément libertin dans le sens sexuel (multipartenaires...) de même qu'un libertin n'est pas forcément un adepte de BDSM.
Toutefois, on peut facilement combiner les deux sous condition que les 2 partenaires sont consentants.

En conclusion : une relation Domination/Soumission est une relation à 2 mais selon les souhaits peuvent inviter d'autres personnes à participer à leurs séances. Ce n'est en aucun cas une généralité mais une possibilité. Tout dépend de ces deux personnes
Le Partage / prêt de sa soumise est-il courant ?
Il est répandu qu'une soumise se prête ou est partagée avec d'autres partenaires que son Maître.

Je vais en décvoir plus d'un mais non ce n'est pas quelque chose qui fait partie des bases du BDSM.

Il est vrai qu'une soumise se met à la merci d'un Maître qui a, de ce fait, plein pouvoir sur elle. Mais il ne faut pas oublier que la soumise et le Maître sont des personnes.

Autrement dit, tout dépend de ce qui est décidé entre les deux partenaires. S'ils ont plutôt un côté libertins, échangistes et non jaloux, la question du prêt et du partage peut être soulevée.

Par contre, si ce ne sont pas dans leurs tempéraments, le Maître et la soumise joueront uniquement entre eux.

Je voudrais toutefois mettre un point d'attention. Même si le Maître accepte de partager / prêter sa soumise, il en est responsable. C'est donc à lui de veiller à qui il confie sa soumise. Il est même recommandé que le Maître reste à les regarder ou dans une pièce à côté pour garantir la sécruité de la soumise et s'assurer que cet homme ne forcera en rien la soumise.

Si la confiance est là, le Maître peut être complètement absent.

Encore une fois, tout est une question de règles, de confiance, de responsabilités.
Comment trouver une personne Dominante ?
Je vais vous révéler un secret de polichinel. Mais trouver une personne dominante, c'est comme tomber amoureux.

Cela demande du temps, de la patience, du hasard, de la chance...

Alors comment faire ?

En réel :

Une connaissance d'une connaissance d'un copain.

Des munchs ou des soirées axées sur le BDSM

Des clubs BDSM

En virtuel

Les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Netdom.social ==> il existe même des groupes, des pages et des comptes sur ce sujet.

Des sites de rencontre spécialisés comme JALF, Fetlife, BDSM.Org ...

Il existe une multitude de possibilités.

Par l'intermédiaire d'une soumise

Je vous recommande de ne surtout pas le faire. Je vous explique. Bien souvent, j'ai droit à "Bonjour, tu connais une personne dominante."

Voici comment je le comprends "Bonjour, tu peux me donner le numéro de ta pote."

Alors que les hommes qui me le demandent sont de parfaits inconnus. Alors désolée pour vous mais je ne mettrais jamais en relation une personne que j'apprécie avec une personne dont je ne suis pas garantie du respect, de la confiance et du feeling qui pourrait exister entre eux.

De plus, ce n'est pas parce qu'une soumise est soumise qu'elle connaît forcément des personnes dominantes...

Alors laissez les pauvres soumises tranquilles.

Par l'intermédiaire d'une personne Dominante

C'est la même réponse que ci-dessus

Autrement dit, trouver une personne dominante est un long chemin dont la récompense est de trouver la personne exceptionnelle avec qui vous vivrez une belle relation.
Comment trouver une personne Switch ?
Je vais vous révéler un secret de polichinel. Mais trouver une personne switch, c'est comme tomber amoureux.

Cela demande du temps, de la patience, du hasard, de la chance...

Alors comment faire ?

En réel :

Une connaissance d'une connaissance d'un copain.

Des munchs ou des soirées axées sur le BDSM

Des clubs BDSM

En virtuel

Les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Netdom.social ==> il existe même des groupes, des pages et des comptes sur ce sujet.

Des sites de rencontre spécialisés comme JALF, Fetlife, BDSM.Org ...

Il existe une multitude de possibilités.

Par l'intermédiaire d'une soumise

Je vous recommande de ne surtout pas le faire. Je vous explique. Bien souvent, j'ai droit à "Bonjour, tu connais une personne switch."

Voici comment je le comprends "Bonjour, tu peux me donner le numéro de ta pote."

Alors que les hommes qui me le demandent sont de parfaits inconnus. Alors désolée pour vous mais je ne mettrais jamais en relation une personne que j'apprécie avec une personne dont je ne suis pas garantie du respect, de la confiance et du feeling qui pourrait exister entre eux.

De plus, ce n'est pas parce qu'une soumise est soumise qu'elle connaît forcément des personnes switch...

Alors laissez les pauvres soumises tranquilles.

Par l'intermédiaire d'une personne Dominante

C'est la même réponse que ci-dessus

Autrement dit, trouver une personne switch est un long chemin dont la récompense est de trouver la personne exceptionnelle avec qui vous vivrez une belle relation.
Les récompenses et les punitions dans le cadre d'une relation Domination / Soumission ?
Alors, j'ignore totalement d'où cela vient.
Mais je vais faire une hypothèse.

Le mot Maître est issu finalement du milieu scolaire dans le but d'enseigner aux élèves. Auparavant mais pas sur que ce soit le cas aujourd'hui aussi d'éduquer.
A mon époque mais c'est plus vraiment le cas aujourd'hui, il y avait un système de bon et mauvais point. Celui qui était sage faisait ses devoirs avaient des points. Au bout de 10 points une image. Au bout de 10 images = un cadeau donc la récompense.

Dans le cas d'un mauvais élève, mauvaise attitude ... même système mais à l'inverse, le coin voire exclusion = punition.

Un follower m'a dit que cela venait également de la royauté. Du fait que le roi avait le pouvoir de châtier et de récompenser qui il voulait peu importe si la personne méritait ou non et sans à devoir se justifier.

Peut être que finalement, récompenser et punir est dans la nature de l'homme.

mais revenons au BDSM, on parle d'éducation de la soumise qui sous entend ce système de récompense et de punition du milieu scolaire.

Je dois toutefois rappeler qu'il s'agit également d'une relation entre deux personnes.
Si je transpose à une relation amoureuse, allez vous donner une récompense à votre compagne parce qu'elle a fait la cuisine ?
Ou allez-vous la punir parce que justement elle n'a pas fait le dîner ?
Allez vous donner une récompense à votre amie qui arrive à l'heure ?
Allez vous donner une punition parce que votre amie n'a pas été présente à un moment pour vous ?
Je pense que la reponse esr Non.

De ce fait, le système de récompense/punition ne s'applique dans les relations de Domination / Soumission que si c'est en adéquation avec les règles acceptées par l'un et l'autre.
Donc ce n'est pas appliqué dans toutes les relations BDSM.

De plus, il faut savoir qu'une punition doit s'appliquer en cas de manquement de la soumise.
Et la punition doit en être suffisamment conséquente pour qu'elle ne recommence plus.
Alors quand je vois qu'une soumise cherche les punitions de manière régulière, c'est que la punition n'en est plus une. Il faut donc trouver une punition qui implique que la soumise ne doit plus faute.

Un ex, une punition qu'une sado risque de ne pas aimer, c'est de la laisser dans un coin sans la toucher. Elle n'y prendra aucun plaisir et comprendra son erreur.

En conclusion, toutes les relations BDSM ne sont pas basées sur un système de récompense et de punitions. Même si la punition s'applique généralement en cas de manquement de la soumise, elle doit être à la hauteur de la faute pour qu'elle ne se reproduise plus
Qu'est-ce que les 12 règles d'or de la Soumission ?
Il existe dans le BDSM ce que l'on appelle "Les 12 règles d'or de la Soumission."

Pour certains, une soumise qui ne les connaîtrait pas et/ou ne les appliquerait n'est en fait pas une soumise.

Pour d'autres, ce sont les règles de base du BDSM....

Alors avant de vous les donner ces règles, sachez que j'ai pour habitude de chercher à comprendre comment ces règles peuvent être vénérées par certains et ont pu devenir aussi célèbre.

Après maintes recherches (qui demandent un peu de temps mais n'est pas si compliqué), il s'avère que ces règles ont été écrites par un couple pratiquant la relation Domination / Soumission pour leur couple. Lorsqu'internet a émergé, ces règles se sont très vite propagées et beaucoup se les ont appropriées et définies comme les règles de base de toute relation Domination / Soumission. Mais ce couple n'a jamais eu de base cette intention et ils ont même indiqué avoir fait évolué ces règles.

Pour ma part, je fais partie des personnes qui pensent que les règles s'établissent entre les 2 partenaires. A partir du moment où une personne se dit soumise et obéit à la personne dite Maître qui lui donne des ordres, il y a soumission. Je ne connais pas ces 12 règles et ne tient absolument pas à les connaître. Mais il est vrai que pour débuter, vous pouvez vous en inspirer.

Voici ces fameuses 12 règles d'or :
1. Les yeux baissés en ma présence, tu conserveras.

La soumise s'efforcera de ne jamais croiser le regard de son Maître, celle-ci étant indigne de porter le regard sur lui. Les exceptions autorisées par le Maître devront être perçues par la soumise comme une récompense dont elle n'est pas digne. Elle s'imposera donc de conserver les yeux à terre sitôt le Maître en sa présence. Cette disposition aura pour effet de lui rappeler, si besoin en était, son statut intrinsèque de soumise.

2. Jamais mes décisions tu ne contesteras.
La soumise ayant toute confiance en son Maître s'en remet donc intégralement à lui et en son jugement. Ce qu'il fait ou dit est vérité universelle. Dans le cas d'incompréhension d'une intention du Maître, la soumise acceptera sans rechigner ni tergiverser de se prêter aux exigences du Maître. Puisque la soumise a confiance en son Maître, ce qu'il entreprend ne peut l'être que pour le bien de la soumise et son plaisir à lui.

3. Jamais les jambes tu ne croiseras.


De façon à être ouverte en permanence, la soumise s'interdira de se tenir les genoux serrés et à plus forte raison, les jambes croisées. Dans le même esprit, la soumise tiendra son sexe, son anus et ses aisselles, exempts de toute pilosité incongrue, sauf si le Maître apprécie une toison à l'un ou l'autre de ces endroits. De même le port de sous-vêtements sera proscrit sauf si le Maître en exprime le désir. Il pourra à loisir autoriser le port de soutien-gorge et culotte, ou l'un des deux, ou aucun.

4. Une attitude humble et respectueuse tu conserveras.


Pour bien manifester sa soumission, l'esclave adoptera constamment un ton et un comportement respectueux pour s'adresser au Maître. Ainsi les paroles seront judicieusement choisies, ne seront jamais agressives, et encore moins ne manifesteront à aucun moment un quelconque énervement ou signe d'impatience. Il est évident que le mode impératif pour s'adresser au Maître, est proscrit. Dans le même esprit, le port de bijoux se fera de manière non ostentatoire. La soumise s'efforcera de se positionner en permanence en retrait de son Maître. Elle observera aussi d'être toujours à un niveau inférieur à lui, sur le plan physique. Ainsi lorsque le Maître est assis, la soumise s'assoira à ses pieds, et ainsi de suite.

 
5.A chaque infraction, ta punition toi-même tu fixeras.


Bien évidemment le Maître conservera un oeil critique et attentif aux faits et gestes de sa soumise. Il peut arriver qu'une faute ou erreur de comportement liée à son statut soit commise par la soumise. Mais le Maître peut aussi volontairement laisser croire à sa soumise que la faute n'a pas été relevée, afin de vérifier l'intégrité du respect de cette règle. La soumise devra donc dans les plus brefs délais, informer son Maître de toute inconduite dont elle aurait pu se rendre coupable, et en réclamer la juste punition. 

6. Ton temps libre à mon plaisir et mon bien-être tu consacreras.


L'esclave devra consacrer l'essentiel de son temps à se dévouer comme il se doit à son Maître. Elle s'inquiétera en permanence du bien être de son Elu, s'attachant à servir celui-ci comme son statut de servante l'y oblige. Ainsi, à table par exemple, elle devra veiller à ce que le Maître ait toujours son verre plein, du pain à disposition. Elle le servira des meilleurs morceaux, ne conservant pour elle que les restes que celui-ci consent à lui laisser. Si l'envie lui en prend, le Maître fera prendre sa pitance à son esclave, dans une gamelle, à genoux à ses pieds. Voire même lui jeter de temps à autre un os à ronger, le plaisir d'une soumise étant d'être avilie, rabaissée au rang d'animal de compagnie que le Maître peut indifféremment caresser ou repousser d'un coup de pied.

7. Irréprochable et parée toujours tu seras.


L'esclave veillera à être en permanence désirable pour son Maître. De ce fait elle s'abstiendra de se présenter à Lui en tenue négligée, mais au contraire s'efforcera de paraître toujours sous son meilleur jour. Dans le cas où les obligations familiales s'opposent à ce précepte, l'esclave s'en excusera immédiatement auprès du Maître, et fera en sorte de remédier très rapidement à cette situation inacceptable.


8. Par mensonge ou omission, la vérité tu ne travestiras.


Il est hors de question de tolérer tout manquement à cette règle. En aucun cas, la soumise ne devra dissimuler, ou travestir la pure vérité à son Maître. Quelque soit la gravité des faits, ou paroles incriminées, la soumise devra en informer immédiatement son Maître qui jugera en toute équité du bien-fondé et de la dureté de la punition méritée..

9.Toutes tes tenues imposées avec fierté tu porteras.


Le jeu de Domination/Soumission ne se cantonne pas (ou ne devrait pas se cantonner) aux seules soirées organisées. Si la soumise est sincère, elle vivra sa soumission à chaque instant. Elle portera sur elle les marques de son appartenance et de sa condition. Le collier de cuir muni d'un anneau pour accrocher une laisse semble le plus indiqué en la matière. Visible de tous, il peut être suffisamment décoratif tout en étant relativement explicite et laisser planer le doute. Ce qui ajoutera à la confusion de la soumise et la maintiendra en état d'esclavage. Il pourra demander à sa soumise, pour son plus grand plaisir, de sortir court vêtue, et d'arborer un décolleté provoquant afin d'offrir le spectacle de son corps à des inconnus, dans les lieux et circonstances qui plairont au Maître. Il restera en permanence organisateur et bien sûr, garant de la sécurité de la soumise, dans ces jeux d'exhibition.

10. Avec quiconque dans nos jeux même comportement tu adopteras.


Le Maître peut prêter ou louer et à l'extrême, vendre ou donner sa soumise à qui bon lui semble. Dans ce cas, ce que fait ou dit le nouveau bénéficiaire a, aux yeux de l'esclave, exactement la même valeur que si ces gestes et paroles émanaient du Maître. La soumise devra donc exécuter avec le même entrain et la même ferveur, les demandes du nouveau Maître.

11. De ton corps, jamais aucun accès tu ne me refuseras.


Puisqu'une soumise est ravalée au rang d'objet sexuel, le Maître peut se servir d'elle à sa guise, quand bon lui semble. La soumise dormira donc nue. Ce qui facilite l'intromission du Maître pendant la nuit, si l'envie lui en prend. Elle sera de temps à autre attachée dans une position pas trop confortable, mais laissant ses différents orifices à portée de son Maître. L'introduction de divers objets peut être envisagée, pour le plaisir du Maître de savoir son esclave ainsi possédée en permanence. Par contre, il est expressément accepté par la soumise qu'aucun plaisir sexuel, que se soit par la masturbation, par une ou un autre partenaire, n'est acceptable sans le consentement et même plus, sans qu'il ne soit de l'initiative du Maître. Les jours de menstrues de l'esclave, celle-ci en informera son Maître et maintiendra son orifice anal lubrifié par un produit adéquat, de façon à ce que celui-ci soit pénétrable à chaque instant sans effort pour le Maître. Il pourra ainsi disposer indifféremment de la bouche ou de l'anus de sa soumise tant que celle-ci sera indisponible vaginalement. Bien sûr, si le Maître prend plaisir à posséder sa soumise durant cette période il pourra en disposer à sa guise, et cela, même si l'esclave goûte peu les pratiques sexuelles lors de ses jours d'indisposition.


12. De tes punitions, toujours tu me remercieras.


Le Maître disposera intégralement de sa soumise. Il pourra tout à loisir s'amuser avec son corps aussi bien qu'avec son esprit. Ainsi, s'il lui prend l'envie de faire subir un châtiment corporel à la soumise, il n'aura pas à s'en justifier. A plus forte raison, si la soumise a failli à l'une des obligations afférentes à son statut. La soumise s'obligera à remercier le Maître de l'attention qu'il a bien voulu lui porter lors de cette punition. De même il pourra à discrétion la faire dormir dans un lieu de rétention, dans des conditions minimales de confort. Ce dont la soumise remerciera également.
Qu'est-ce que les 9 degrés de la soumission ?
Les 9 degrés de soumission proviennent d'une toute petite partie du livre ecrit par Diane Véra intitulé "The Lesban S/M safety manual" édité par Pat Califia de Lace/Alyson Press, Boston, 1988

J'ai recopié ces règles depuis http://auroraweblog.karmaos.com/post/14

Avant de les citer, sachez que je suis plutôt d'accord avec ces degrés (à peu de choses près).  Toutefois, je tiens à signaler que ce ne sont en aucun cas des étapes à suivre. Si je prends mon exemple, je suis actuellement au 6ème degré et clairement, je n'irais pas vers les degrés suivants. Cela ne m'intéresse pas et ne me plaira pas.

1. La personne carrément masochiste mais non soumise ou le libertinage sensualiste


Pas de servitude, de scènes d’humiliation ou d’échange de pouvoir, mais simplement certaines formes de douleur et/ou une sexualité épicée, genre petites rudesses animales... Plus un trip des sens à ses conditions et pour son plaisir direct que le fait d’être utilisé(e ) pour assouvir le sadisme du-de la partenaire. Pas du genre à allumer sur les jeux de douleur/plaisir en tant que tel ou à être attiré(e) par le sado-masochisme ou des sports plus extrêmes.

2. Pseudo partenaire de jeu


Apprécie la panoplie des jeux de rôles légers (scènes de la petite école, jouer au docteur, jouer aux cow-boys et aux Indiens, l’infantilisme, le travestisme forcé) mais aucune forme de servitude au menu, même une fois dans le rôle. Dirige largement la scène. Cette personne compte généralement plusieurs partenaires de jeux sur une base non permanente ou sans engagement véritable.

3. Pseudo-soumise


Aime jouer la personne soumis(e) pour voir ce que c’est l’état de servitude. Peut à l’occasion aimer se sentir utilisée pour assouvir les pulsions sadiques du-de la partenaire, et même aller jusqu’à le/la servir dans certains cas, mais à ses propres conditions. Dirige largement la scène, parfois fétichiste (adoration des pieds, par ex). N’a pas nécessairement d’engagement émotionnel envers la personne dominante. Ne désire pas être dressée pour la soumission. Ne cède pas beaucoup de contrôle ou sinon pour de brefs moments. Désire une variété de partenaires de jeux. Peut être avec une personne dominante quelque temps, sans être prête à céder réellement le contrôle.

4. Personne soumise dans les jeux de rôles définitivement non esclave


Offre une partie de sa volonté seulement sur des bases temporaires et à l’intérieur de limites spécifiques, et retire sa satisfaction de la soumission autrement que dans l’acte de servir ou d’être utilisée. Le suspense l’allume, tout comme le fait de se sentir vulnérable et de céder ses responsabilités. Ne dirige pas la scène sauf à quelques exceptions, mais recherche surtout son propre plaisir, plutôt que celui de la personne dominante. Joue à fond durant la scène, mais en sort une fois que tout est terminé.

5. Personne soumise-jouet


Lâche rarement prise hormis peut-être sur des bases temporaires, durant de brèves scènes et à l’intérieur de limites bien spécifiques. Retire sa satisfaction dans le fait de servir/d’être utilisée par la personne dominante pour des motifs de plaisir, généralement érotiques. Cherche son propre plaisir avant tout.

6. Soumis(e)


Donne réellement le pouvoir à la personne dominante (généralement à l’intérieur de certaines limites); veut servir, obéir, plaire et être utilisée par la personne dominante; souhaite offrir ses services à des fins érotiques ou non; peut même se glisser dans un rôle d’esclave à temps plein durant quelques jours. A généralement une relation à long terme avec son-sa Maître(esse), relation faisant l’objet d’un contrat et d’un engagement profond. Est beaucoup plus dévouée aux besoins, demandes et désirs de la personne dominante, qu’aux siens propres. Son plaisir provient généralement du besoin viscéral de servir, complaire et obéir à son-sa Maître(esse). Retire une fierté de ce besoin de servir et est généralement bien entraînée. Certaines de ces personnes peuvent vivre avec leur Maître(esse) sur une base partielle ou à temps plein, bien que ce ne soit pas toujours le cas. La majorité des personnes soumises portent le collier de leur Maître(esse)

7. Soumise consensuelle mais réelle soumise, à temps partiel


Dans une relation suivie et se considère la propriété de son-sa Maître(esse) en tout temps. Veut lui obéir et lui plaire sur tous les plans dans la vie, érotiques et non érotiques. Peut dédier une partie de son temps à d’autres engagements mais son sa Maître(esse) a le dernier mot sur ses temps libres. En général, une entente spécifique et écrite lie les parties.

8. Soumise à temps plein sur une base consensuelle


Hormis sur quelques menus aspects et limites, cette personne considère n’exister que pour le bien-être et le plaisir de son-sa Maître (esse) En retour, elle s’attend à être vue comme un cadeau de grand prix (propriété) Un grand nombre d’esclaves cumulent les tâches professionnelles et ménagères, et leur salaire est volontiers remis au-à la Maître(esse) afin qu’il-elle en prenne soin. Vu par le prisme du BDSM, un tel arrangement tient compte du consentement de la personne esclave et reconnaît explicitement les dangers d’un tel statut, par l’échange de pouvoir en cause, ce qui se traduit bien souvent par des pré-arrangements plus clairs et définis que bien des contrats de mariage traditionnels. Un contrat écrit étant de rigueur, dans plusieurs de ceux-ci, on peut lire en toutes lettres que si la personne esclave demande à être libérée et que sa demande lui est refusée, alors elle doit honorer son engagement et rester auprès de son-sa Maître(esse)

9. Soumise entière et sans limites sur une base consensuelle




Un fantasme répandu bien que rarement appliqué dans la vie quotidienne (sauf dans le cas de certains cultes religieux et d’autres situations ou le consentement est induit par lavage de cerveau ou par des pressions sociales ou économiques). Certains puristes insisteront sur le fait que vous n’êtes pas une personne réellement esclave tant que vous n’acceptez pas de faire absolument tout ce que la personne dominante vous demandera. Plusieurs se réclameront de l’esclavagisme total sans limites.... bien que nous ayons tous et toutes nos limites, quelles qu’elles soient. Croire le contraire est illusoire.....