Synopsis

Pour ce calendrier de l’avent, je me suis imaginée ma vie de soumise si je vivais sous le même toit que Maître et que je lui étais dévouée pendant 24 jours.

Afin de faciliter l’histoire, nous vivons donc ensemble et il n’y a la présence d’aucun enfant.

Je précise que Cette histoire est une pure fiction. Toute ressemblance avec un événement réel, un personnage, un groupe ou une entreprise, passés ou présents, serait fortuite et involontaire

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Cher journal,

Le réveil de Maître sonne. Mais vu que je télétravaille et non Maître pas d’ordre le matin. Maître prend le temps de se réveiller avant de libérer ma cheville et me demander comment s’est passé la nuit.

Je rejoins le lit tandis qu’il se prépare, petit déjeune et me fait un bisou avant de partir.

Je ne me rendors pas mais au moins, je me repose avant d’attendre le mien. ni une ni deux, je me lève, je prends une petite douche avant de petit déjeuner.

Après la vaisselle et le lavage des dents, je m’installe devant mon ordinateur dans le coin bureau que je me suis installée. Je reste nue mais j’ai à proximité un t-shirt en cas de réunion en visio. Ce qui ne devrait pas être le cas puisque mes collègues ne sont pas favorables mais sait-on jamais.

Le temps passe vite quand on est concentré sur le travail. A la pause déjeuner, je dois mettre mon rosebud et mes boules de Geisha tout en continuant de travailler. Il me veut chaude comme la braise quand il rentrera.

L’après-midi passe aussi vite que la matinée si ce n’est que j’ai des montées de plaisir que je choisis d’ignorer pour pouvoir travailler. C’est lorsque je ferme l’ordinateur et m’installe sur le canapé que je me laisse aller. Cela ne guère longtemps puisque je dois les retirer, les laver et être prête à l’accueillir.

Lorsque j’entends les clefs de Maître dans la serrure, je suis à genoux, nue, avec mon collier, les yeux baissés. Maître est toujours ravi de me voir ainsi. Il entre et s’approche de moi. Je le déchausse et embrasse ses pieds tandis qu’il tâte mon humidité.

« Dans ton panier. Tu as le droit d’allumer la télévision. »

J’obéis. Maître, se dirige dans la cuisine et prépare notre repas tandis que je me repose devant une série netflix sur mon coussin. J’en ai mis une qu’il n’apprécie guère pour éviter qu’il rate un épisode.

Je l’entends alors siffler. J’éteins la télévision et à quatre pattes, je me dirige vers ma gamelle posée à terre qui n’attends que moi. Lui, s’assied à table tout en m’observant.

C’est une situation humiliante mais qui nous plaît à tous deux. J’avoue que manger ainsi n’est pas forcément aisé mais au moins, je suis à ma place.

Je termine avant Maître et m’assied comme une chienne en attendant que lui termine. Il jette alors des morceaux à terre que je dois m’empresser de manger. Plus animale est impossible. Ce jeu ne dure guère longtemps puisqu’il siffle me donnant l’ordre de débarrasser et faire la vaisselle.

Du moins, j’essaie car il est derrière moi à jouer avec mes tétons, mon intimité et me mordre le haut des épaules. Dès que je suis au bord de la jouissance, ce qui arrive assez vite, il s’arrête.

« Je suis fatigué mais je vois que toi tu es chaude autant que je le désirais, on va laisser une machine t’épuiser. »

Il me laisse terminer la vaisselle et je le rejoins dans le salon où il a installé une sexmachine.

Je me mets en levrette et fais en sorte que le gode installé me pénètre bien profondément. Il la mets en marche et passe devant moi.

Il faudra quelques réglages avant que la machine fasse les va-et-vient à la vitesse désirée. Autrement dit, pas assez vite pour que je puisse jouir de suite mais suffisamment pour que mes plaisirs augmentent au fur et à mesure.

Et je comprends ce qu’il veut. C’est ce que je déteste au plus haut point. Mais si je ne le fais pas, je serais frustrée ou alors je vais rester ainsi bien trop longtemps. Je le regarde dans les yeux et lui dit :

« Maître, sauriez-vous accorder à votre chienne la possibilité de jouir autant que possible s’il vous plaît ? Je vous en supplie de me laisser me soulager.

– Je sais que tu peux mieux faire mais j’ai vu le temps qu’il t’a fallu. Pour ce soir, je te l’accorde ma chienne. »

Maître change les réglages et la succession plus rapide me permets de jouis plusieurs fois et ce, jusqu’à ce que je n’en puisse plus.

Maître l’arrête et me dit : « Tu as droit au canapé ou aller dans la chambre.

– Je vais aller lire. »

Je vais dans la chambre debout, heureuse, sourire aux lèvres d’avoir été soulagée comme il se doit. Je m’installe dans mon coussin, attache ma cheville et me mets à lire.

Maître me rejoint après avoir rangé la machine. Il me regarde ainsi, dans mon lit. Je sais que cela lui plaît de me voir à ma place, dans ce coussin. Même si je me doute que je pourrais avoir droit au lit quand lui voudra me prendre ou une gâterie.

En attendant, je me contente de ce coussin, qui, je dois le dire est bien plus confortable que ce que je pensais.

C’est ainsi que je finis par m’endormir sans m’en rendre compte. Une nouvelle journée de chienne qui s’achève.

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