Médaille de Cookie

Récit fictif en prévision de samedi soir ==> cela ne veut pas dire que c’est ce dont je m’attend.

Pour ce jour, les ordres sont clairs, mon coussin doit être sorti, je dois être nue avec mes entraves et mon rosebud. Mon collier autour de mon cou également.

Maître arrive et une fois la porte ouverte. J’attends à genoux.

Je le vois arriver qui tient entre ses mains la laisse en chaîne. Je l’avais compris mais ce soir je suis Cookie. Il entre, se baisse pour m’embrasser et accroche ma laisse.

« Enlève mes chaussures Cookie et embrasse mes pieds.

– Waouf »

J’obéis. Jenlève chaussures et chaussettes et embrasse ses pieds tandis qu’il tâte de mon humidité. Il m’emmène dans mon salon, bien évidemment, j’avance à quatre pattes. Il éloigne le coussin de mon canapré. il m’emmène sur mon coussin et me dit :

« En levrette. pas bouger. »

J’obéis et je sens qu’il insère un objet en moi. Je comprendrais plus tard qu’il s’agit d’un Lush télécommandé.

« Tu te reposes dans ton coussin mais si je te siffle ou que le jouet vibre, tu viens à moi, Cookie.

– Waouf »

Il enlève ma laisse et s’installe sur le canapé me regardant et m’observant. Comme vous vous en doutez, je ne resterais guère dans mon coussin puisque sifflement et vibration s’alterneront me faisant venir à Maître, à genoux devant lui, me caressant la tête, me disant bonne chienne alors que je gémis de plaisir.

Lorsque la jouissance pointe le bout de son nez, les vibrations s’arrêtent et je retourne à mon coussin toujours à quatre pattes.

Maître me frustre. C’est le jeu du moment. Lors de la dernière fois, alors que je suis à ganoux devant lui, il me dit :

« Tu ne jouiras pas ici et pas avec moi, Cookie. J’ai un autre programme. Debout, dos vers moi. »

Je me lève. Les vibrations s’arrêtent. Il enlève mes entraves, mon rosebud qu’il emmène dans la salle de bains. Je ne bouge pas. Je n’en ai pas reçu l’ordre.

Maître s’empare de la robe et de l’impair. Il me tend l’impair et est satisfait de sa longueur. Il veille quand même à ce qu’il soit bien fermé. Il met la robe dans son sac.

« Enlève ton collier. Tu le tiens à la main et tu le remettras sur le chemin Cookie.

– Waouf, »

Pour la première fois depuis son arrivée, j’ai le droit de parler comme un être humain. Maître me prend même dans ses bras avant que nous partions. Même s’il est vrai que mon bas ventre ne demande que satisfaction.

Nous sortons et je m’installe dans la voiture une fois que Maître ait ouvert ma portière. Maître s’installe sur le siège conducteur et nous voilà parti :

« Ouvre ton impair et mets ton collier Cookie. Tu refermeras ton impair quand nous serons garés. »

J’obéis et fais en sorte que l’impair soit bien ouvert pour que quiconque daigne me voir puisse constater de ma nudité. Même s’il est vrai que vu les chemins pris, finalement cette vue ne profitera qu’à peu de personnes à moins que je n’ai pas fait attention.

Le jouet vibre de temps à autre me faisant sursauter et exprimer des gémissements plus forts et ce, entre deux conversations.

Maître se gare. Je me détache et ferme l’impair. Il m’ouvre la portière et je le laisse m’emmener à l’endroit qui convient pour mon excitation : le Moon.

Nous y entrons et au vestiaire, il faut dire qu’enlever un impair et un collier cela va vite. C’est Maître qui se charge d’enlever mon Lush.

« A genoux, embrasse mes pieds. Je veux que l’on te voit ainsi à ma merci. »

Je sais qu’il y a quelques personnes autour de nous mais j’obéis. Ai-je vraiment le choix. Il m’autorise à me relever et me donne les règles :

« Si tu veux jouir, à toi de choisir un ou une partenaire. Tu me connais, si, effectivement, personne ne convient, je te soulagerais. »

Nous allons au jacuzzi et je suis sur le qui-vive plus que d’habitude. D’autant que les caresses de Maître ne font qu’accroître mon excitation.

Un homme attire mon attention mais n’ose pas. Bon, si je veux jouir, pas le choix, je dois prendre les devants. D’autant que mon bas ventre hurle famine.

« Bonsoir

– Bonsoir

Est-ce que j’y vais franco ? Je ne sais pas comment on aborde. Surtout dans ce cadre particulier.

– Je m’appelle Paul.

– Je m’appelle Lili et lui c’est Yannick

– Enchanté

– Enchantée

Bon, quand est-ce qu’il met les pieds dans le plat ?

– Est-ce que je peux vous embrasser ?

– Avant toute chose, est-ce que cela ne vous dérange pas si Yannick regarde tout ce que nous faisons?

– Non. »

Je le laisse m’embrasser. Je le laisse me caresser. Je fais de même mais bon sang, je veux ta queue en moi !

– Nous montons ? Il demande.

– Si Yannick peut accompagner.

– Bien sûr. »

Et nous voilà en train de monter. Je le laisse choisir et Yannick parle à cet homme et lui fait comprendre que je suis à sa disposition et à ses ordres.

Cet inconnu demande si nous pouvons aller dans le lieu public. Sans que je n’aie mon mot à dire, Maître accepte. Après tout, qu’en ai-je à faire, je veux jouir moi.

Cet homme m’offre son sexe à manger et je le prends en bouche même si mes attentes sont autres. Comme si cela ne suffisait pas, Maître me pénètre avec ses doigts.

Au bout de quelques minutes, cet homme, ayant compris que c’est Maître qui décide pour moi, lui demande :

« Je peux la sodomiser en levrette ?

– Ma chienne adore. »

Ni une ni deux. Je me mets en levrette. Il pénètre d’abord mon intimité avant de me prendre le cul doucement. Maître me prend par le cou tandis qu’une queue se présente à moi.

Je ne réfléchis pas et la prend en bouche. C’est ainsi que sans réfléchir, sans même penser à la situation, je suis comme tenue en laisse tandis que je me fais humilier par une sodomie et une fellation en même temps.

Maître pour me rappeler ma place resserre de temps à autre son étreinte.

Je gémis comme je peux de la situation et dois stopper de temps à autre la fellation pour m’exprimer.

L’homme finis par se retirer. J’ignore la suite. Est-ce que je peux bouger. Je sens du monde qui me regarde mais je n’ose pas. Je ne peux pas.

La queue devant moi se met à parler :

« Je peux la prendre à mon tour.

– Allez-y !

– Pas de sodomie s’il vous plaît. Je demande. »

Et voilà cette queue qui me pénètre. Tout d’abord doucement puis commence à accélérer. Une autre se présente devant moi. Je n’hésite pas. Je suis morte de faim. Et me voilà de nouveau prise par le cou tandis que mon intimité a enfin ce qu’elle désire depuis quelques heures alors que je dévore littéralement cette bîte.

J’adore, je suis excitée et j’en jouis énormément. Malheureusement la queue ne durera pas bien longtemps me laissant insatisfaite. Je m’écroule quand même et m’allonge sur le dos, voyant le visage des hommes qui se branlent attendant leur tour. Celui que je suçais regarde Maître, ils ont tous compris, et demande :

« Je peux la prendre ?

– C’est à elle de décider.

– Oui mais pas en levrette. »

Il se déplace et vient sur moi manger mes seins qui ont été un peu délaissé ce soir et ce, avant qu’il me prenne sauvagement. Pas d’autres queues ne viendront à ma bouche. Tant mieux, je n’en veux plus. Maître lui titillera mes seins tandis que cet homme se déchaînera pour mon plus grand plaisir en moi.

Jouissance ultime. Plein d’endorphine. Mais pas totalement satisfaite. Il me manque quelque chose : l’orgasme. Celui que je sais comment obtenir. J’ai deux solutions qui s’offrent à moi : m’humilier sur Maître devant ces hommes ou grimper sur un inconnu.

L’homme se retire et je jette un œil aux hommes. J’ignore ce qui me prend. J’en regarde un et lui demande :

« Accepteriez-vous que je grimpe sur vous ?

– Avec plaisir. »

C’est le quatrième et je pense à Amante Lili avec se gang bang. Finalement, je n’en suis pas loin.

Cet homme s’allonge. Je grimpe sur lui. Je me fous de ce qu’il veut. Je sais ce que moi je veux. C’est moi qui décide de la manière, du rythme, de la vitesse. Je le laisse me caresser mes seins. Je le laisse me regarder. Je suis ailleurs, transportée par le plaisir, par l’excitation et cherchant à avoir ce qui me manque : mon orgasme.

Il arrive mais un peut trop vite. Je ralentis. Cela ne satisfait pas mon partenaire. Je réaccélère alors et le voilà qui se pointe. Celui que j’adore, celui qui met un point final à tout. Je l’exprime et c’est une sorte de soulagement car lui qui tardait est enfin venu.

Je ralentis, je reprends mes esprits et je prends conscience que je suis sur un parfait inconnu qui a l’air satisfait.

Je descends et m’allonge sur le dos. Maître me regarde avec un grand sourire. Qu’est-ce qui s’est passé ?

Le regard des hommes me dérangent. Je ne veux plus d’eux, qu’ils aillent se satisfaire ailleurs. Lili a eu son compte. Je me rhabille et Maître me connaissant m’emmène en bas dans le coin bar.

Nous discutons et il me dit qu’il a adoré me voir prendre les devants, qu’il a adoré me voir prendre du plaisir et qu’il recommencera à me frustrer pour me rendre compte à quel point je suis chienne. Une pointe de gêne et de honte, celles dont je n’arrive pas à me débarrasser.

Parce que je vois à quel point je me suis humiliée pour avoir ce que je veux.

La soirée continue mais cette fois, ce ne sera que des jeux à deux. D’ailleurs, quand nous rentrerons même si au départ c’est pour dormir, ils continueront. Surtout que dans la nuit, je me réveillerais pour aller aux toilettes. Sauf que pour cela, je dois réveiller Maître qui m’y emmène à quatre pattes en laisse et me regarde me soulager.

Ce sera la même le lendemain avant qu’il ne parte me laissant toujours dubitative sur le fait de est-ce que cela s’est vraiment passé ?

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5 commentaire

  1. Bonjour madame, je vous souhaite de vivre ces instants avec votre maître de tout cœur ❤️ ❤️ ❤️

  2. Encore une magnifique séance où vous avez fini par trouver ce plaisir que vous attendiez tant.
    Mais après tout, c’est votre histoire et s’il y a de la frustration c’est que vous lavoulez bien, non ?
    Chacun est responsable de ce qu’il raconte et si ce n’est pas toujours satisfaisant, à qui réclamer son dû ?

    1. Relisez ma 1ere phrase. Cette séance n’a jamais eu lieu si ce n’est dans mon imagination.

      1. Je sais bien que c’est de la fiction, mais ne serait-ce pas une envie de la réaliser ?
        Votre imagination est peut-être parfois en avance sur les évènements ?

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