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Lorsque nous entrons dans la chambre, je retourne aux toilettes. Je n’ai pas de problème à ce niveau là mais j’avais bu une bière et un coca en un temps limité du coup ma vessie a besoin d’être vidée une nouvelle fois. j’enlève mes chaussures et m’allonge sur le lit en travers. J’attends qu’il revienne des toilettes.

Les festivités peuvent commencer. Mes fesses sont alors au bord du lit et lui est debout. il titille mes seins ainsi que mon intimité. Il me répète comme pour la première fois et comme il me le répéterait indéfiniment ; « J’adore tes réactions. » Chose que j’ai du mal à comprendre car pour moi mes réactions sont normales.

Mais il a bien l’intention de me montrer que je suis sa soumise. il me demande de me mettre à l’envers dans le sens où ma tête est au bord du lit, lui toujours debout. Vous pouvez aisément imaginer le dessin suivant : il enfonce sa queue dans ma bouche et y va doucement avec la gorge profonde. Je ne suis pas encore habituée à sa queue et me débrouille du mieux que je peux. Ce qui ne l’empêche pas de se pencher en avant pour un premier cunnilingus. Le hic, c’est que quand il se relève, je ne peux plus respirer.

Il décide alors d’aller de l’autre côté du lit et me demande de m’agenouiller. Il continue l’exercice de la gorge profonde et je fais de mon mieux pour le satisfaire. A lui de vous dire si cela lui a convenu.

Mais depuis le restaurant, il n’a qu’une envie : m’offrir mon cadeau. Il m’ordonne de me mettre à quatre pattes sur le lit. Je dois avouer que je ne me considère pas et je ne suis pas sûre que je me considère aujourd’hui comme sa soumise mais je lui obéis. Et je lui fais la remarque suivante :

 » -Je ne sais pas pourquoi je t’obéis en fait.

– C’est parce que tu sais le plaisir que je vais te donner et tu aimes obéir. »

Il doigte mon intimité et je réagis instantanément. Il fait le nécessaire pour que je mouille. il va chercher le rosebud (mon cadeau) et essaie de l’insérer. Mais mon corps n’est pas encore prêt, alors il le mouille dans mon intimité tout en me faisant réagir ce qui facilité par la suite l’entrée du rosebud dans mon cul.

Il s’allonge ensuite sur le lit et nous nous sommes mis dans la position du 69. Bien évidemment, je prends son sexe dans ma bouche tandis qu’il joue avec mon intimité avec la sienne. Je parle bien dans sa bouche car entre les coups de langue, les morsures et les changements de vitesse, je pense qu’il utilise toute sa bouche. Sans compter les mains qui jouant avec le rosebud ou qui se chargent de me donner des fessées. A chacune, mon plaisir monte d’un cran chose qu’il observe et l’utilisera certainement par la suite.

C’est ainsi que j’enchaîne deux orgasmes. Mais il ne s’arrête pas pour autant. je finis par descendre avec mes pieds à côté de sa tête. Ce qui ne l’empêche pas de continuer pendant quelques temps le cunnilingus.

Cela ne dure pas longtemps car il me retourne et me prend dans ses bras.

Nous nous embrassons et parlons.

Pour la suite, j’avoue que je ne pourrais vous donner les détails. Non pas que je ne m’en souvienne pas mais tellement concentrée sur le plaisir pris que j’ai lâche prise et n’ai pas fait l’effort de mémoriser l’ordre des pratiques.

Je peux juste vous raconter qu’il me pénètre de nombreuses fois avec ses doigts, de tapes sur mon clito, des fessées, des jeux avec le rosebud et ma bouche n’est pas épargnée non plus.

Il y a quand même une nouveauté, je ne me souviens plus des raisons mais allongée sur le ventre sur le lit. Lui est débout. Il continue de me doigter ainsi (il ne sait pas s’arrêter). Puis il m’ordonne « A quatre pattes Salope »

Je lui obéis. Je ne peux pas vous expliquer le plaisir intense qui m’envahit. De par mon passé, je n’y suis pas habituée et pour moi, c’est limite insupportable. Seulement, je n’ose dire stop. Car d’une, je suis soumise et de deux il était fort improbable qu’il s’arrête jusqu’à ce que je devienne fontaine. Pour accélérer l’écoulement, il me tient le cou car il a bien compris que les positions quelque peu humiliantes intensifient mon plaisir. La fontaine arrive donc rapidement.

Entre deux cunnilingus et deux quatre pattes, il me caresse, teste des choses avec mon corps. Il a bien compris que les baisers limite les morsures dans le cou me font démarrer au quart du tour tout comme je suis chatouilleuse. Il me griffe gentiment le dos.

Il finit également par me libérer du rosebud.

Par contre, le point sur lequel je ne veux plus jamais qu’il recommence mais il le refera certainement, c’est que non seulement il a découvert mon point faible mais il en a découvert un autre que j’ignorais : Me mordre le haut des cuisses me fait réagir de manière violente.

Cette caresse me donne un plaisir si intense que je ne sais pas le gérer. il s’avère que la même morsure sur mes fesses me donne la même réaction.

C’est ainsi que plusieurs fois malgré mon désaccord et que mon corps veuille lui échapper à ces moments là, je subis cette torture incommensurable.

Lors des cunnilingus, il lui arrive également de bloquer un ou plusieurs membres de mon corps afin de limiter mes mouvements. Quand il me mord, au vu de mes réactions, il s’arrange pour que je sois bloquée pour bouger le moins possible.

J’ignore comment mais je suis toujours dans de telles positions. Et pourtant, à certaines, je peux aisément m’échapper et d’ailleurs l’idée me vient. Seulement, je me sens incapable de le faire. Je l’interrompis dans ce qu’il est en train de faire pour lui dire :

« Je pensais que tu serais directif comme tu l’avais dit.

– Être directif ce n’est pas forcément donner d’ordre. Combien de fois je t’ai autorisé une pause ?

Je prends conscience ce qu’il est en train de me dire. Et je lui avoue :

– Je réalise que tu me bloques souvent et pourtant quand je peux m’échapper, je n’y arrive pas.

– Tu es soumise, tu aimes le plaisir que cela te procure donc tu subis.

– De toute façon je n’ai pas le choix.

– Non. »

Même à un moment donné, je suis morte de soif, je n’ai eu l’autorisation d’aller boire que lorsqu’il eut fini de jouer avec moi.

J’ignore le temps que dura nos jeux mais cela m’a semblé long et je vous avoue que mon clitoris est devenu hyper sensible à tel point que s’il y va trop fort, j’aurais mal. D’autant qu’à un moment où je suis allée dans la salle de bain, j’ai du mal à marcher.

Il faut bien dormir. Il nous en donne l’autorisation. Comme à l’habitude avec mes amants, il s’endormit en premier, je mets plus de temps que lui.

Et pourtant, il me réveille. Il bouge et caresse mes fesses avant de poser sa main dessus. J’ai le dos tourné. Ignorant s’il est réveillé, je bouge quelque peu et finis par me coller à lui.

Au début, rien ne se passe quand je sens sa trique. Il faut savoir que quand je me colle à lui, mes fesses bougent seules. Je n’ai aucun contrôle sur mon corps. C’est ce que j’ai du faire et qui lui a donné la trique.

Je commence donc à me frotter à lui. Il me laisse faire avant de me mettre sur le dos. il coince une de mes jambes, tient une de mes mains et joue avec mon clitoris. C’est la seule fois où je fais preuve de rébellion. D’une, je veux voir si j’en suis capable et de deux, je veux voir sa réaction voire savoir s’il me donnerait une punition. Avec ma main libre, j’essaie de faire sortir sa main de mon intimité. La conclusion, c’est qu’il me bloque les deux mains et me retrouve une nouvelle fois limitée dans mes mouvements. Mais je sais maintenant qu’il en faut plus pour une punition alors il est possible que je recommence.

Bien évidemment, j’ai droit à plusieurs doigts dans mon intimité ainsi que plusieurs cunnilingus et tout le tralala avant de s’endormir une nouvelle fois.

Le lendemain matin, c’est différent. Je crois que comme moi, il ne sait pas s’arrêter. Il commence à me doigter. Et je ne peux pas empêcher mes fesses de les coller à son sexe et de commencer à me frotter. Il me laisse faire. Mais je sais que c’était une victoire pour lui. Il ne fait rien si ce n’est avoir des doigts en moi et je m’avilis à prendre mon plaisir en me frottant à lui.

Il m’explique alors :

« Ma victoire est bien le fait que tu te frottes toute seule. Mais Surtout que tu fasses ce que j’attende de toi.

– Et durant cette nuit, j’ai fait tout ce que tu attendais de moi.

– Juste une fois tu ne l’as pas fait.

– Quand ?

– Quand je voulais que tu sois à quatre pattes. »

Il me laisse me frotter plusieurs fois à lui et prendre mon pied ainsi. Quand il en sent le besoin, il bouge sa main pour accélérer le mouvement quand ma jambe attrape la sienne pour avoir un meilleur appui sur le frottement.

Il m’a raconté nombre d’anecdotes et je vais me permettre d’en raconter une. Il avait une soumise qui n’avait pas été très obéissante les dernières fois. Il lui fit faire plusieurs gages. Pour le dernier, il lui tendit son pied avec sa chaussure afin qu’elle se frotte contre elle jusqu’à la jouissance.

Si j’en parle, c’est qu’il m’a avoué le fait qu’il envisage de me le faire subir dans le futur. Il m’a parlé d’autres choses mais je dois l’avouer qu’il est possible que j’arrive à m’avilisse à cet exercice. Le pire c’est qu’il va lire cet article et il va le prendre comme un défi.

Avant d’aller prendre sa douche, il prend un malin plaisir à me mordre les fesses sachant que je déteste cela et que je réagis volontiers.

Nous nous lavons, rhabillons, rassemblons nos affaires et reprenons nos vies normales. Dans la mienne, je ne suis plus soumise mais celle qui doit faire face, contrôler, décider à la réalité qu’est la mienne

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