Médaille de Cookie

En ce jour, je suis seule. J’ai bien compris que Maître a envie de sa Cookie. C’est la raison pour laquelle dès le vendredi soir, j’ai sorti mon coussin de chienne pour le mettre dans le salon. J’ai anticipé en sortant entraves, rosebud queue animal, gode noir, Wand, collier. Je rajoute les pince-tétons.

Le matin, je me lève de bonne heure. Normal quand on a un rendez-vous chez le coiffeur et que j’y reste une bonne heure et demie. Petit plaisir du midi avec un japonais à emporter.

Je rentre pour manger puis direction le bain. J’en ai bien besoin au vu de ma semaine et que je souhaite être détendue pour Maître le soir.

Les premiers ordres tombent. Dès la sortie du bain, je dois mettre entraves, collier et rester nue. J’obéis sans broncher, je m’installe ainsi sur mon canapé et je comate devant Big Bang Theory. Je prends une couverture, car il ne fait pas chaud.

Le temps passe, nouvel ordre : je dois ajouter le rosebud queue animal et aller dans mon coussin pour le restant de l’après midi.

L’obéis de nouveau sans broncher en embarquant ma couverture. Ce qui devait arriver arrive. Le fait d’être dans mon coussin, le fait d’avoir un plug anal, mon intimité est jalouse. Elle veut aussi son dû et comment dire, j’arrête de suivre l’épisode de Big Bang Theory car mes pensées imaginent différents scénarios pour le soir. Ce qui n’aide en rien mon excitation.

J’ai le droit de me frotter contre le gode noir, mais pas le droit de jouir. Les heures passent, mes pensées restent les mêmes bien que j’essaie de suivre l’épisode et mon bas ventre s’exprime de plus en plus.

Ne tenant plus, j’envoie ce texto à Maître Yannick : « Maître je te supplie à genoux, a quatre pattes, de bien vouloir me laisser à la jouissance. une seule s’il te plaît, Maître vénéré. En échange, je te promets d’être docile ou d’avoir un coup de cravache au moindre écart ou si l’envie t’en prend. »

Maître accepte, mais bien sûr en me faisant promettre que je serais quand même une chienne en chaleur à son arrivée et de me filmer.

Je cours chercher ma barre à selfie, m’empare du Wand. Je m’assieds comme une chienne dessus et me voilà à jouir comme une bonne Cookie à son Maître.

J’envoie la vidéo à Maître et la donne en accès à mes abonnés de Mym : cliquez ici

Mais voilà, bien que j’aie eu une jouissance, qui, mine de rien, me calme, je n’en suis pas satisfaite, j’ai envie d’une autre. Je n’en ai pas eu assez.

Tout comme je sais que si je déroge aux ordres, je ne serais plus une chienne en chaleur à l’arrivée de Maître alors j’essaie de me calmer et de faire revenir mes pensées à des choses beaucoup moins excitantes.

Mais c’est compliqué lorsque l’on est dans un jeu de petplay même quand le Maître est à distance.

Je regarde trop souvent mon téléphone pour regarder l’heure et suis dépitée parce que le temps est long, ne passe pas et que mon bas ventre en veut encore même s’il est moins dans l’urgence qu’avant la jouissance.

Maître arrive enfin. J’ouvre la porte d’entrée et l’attend à genoux comme Cookie doit le faire.

Je me suis demandée toute l’après midi si je ne devrais pas frotter ma tête contre ses jambes comme un animal content de voir son Maître. Mais finalement, je m’abstiens de le faire.

Je me suis aussi demandée s’il caresserait ma tête, mais il ne le fait pas.

Il se contente d’attacher la laisse en chaîne à mon collier et m’ordonne d’enlever chaussures et chaussettes et d’embrasser ses pieds.

J’enlève les premières et passe à la seconde, mais non, il voulait que j’embrasse tout de suite. J’ai droit à une forte fessée en me rappelant ma promesse de l’après-midi.

J’embrasse son pied avant de passer au second tout en faisant de même. C’est à quatre pattes que Maître m’emmène dans le salon en m’installant dans mon coussin. Me libérant de ma laisse. Il s’installe sur le canapé pose son pied sur mon coussin proche de ma tête. Je lui explique la télécommande et nous passons un moment ainsi.

Je ne sais trop ce que je ressens. Je suis bien. Vous dire si je me sens à ma place, je ne sais pas trop. Je suis juste détendue, contente que Maître soit là à passer un moment ainsi. Même si j’ai hâte qu’il soulage mes envies. Ce qui ne semble pas sa priorité.

Le temps passe jusqu’à ce que Maître me permette de monter sur le canapé et me prenne dans ses bras. J’apprécie énormément surtout quand il me caresse et s’approche de mon bas-ventre.

Mais voilà, Maître me veut en chaleur alors il s’arrête sitôt la jouissance qui pointe le bout de son nez. Une complainte sort de ma bouche, mais lui est ravi de me voir dans cet état.

Une idée me vient, celle qui ne peut plus m’échapper, que j’exprime, mais qui montre à quel point c’est moi qui demande à être humiliée :

« Puis-je me soulager en me frottant contre ton genou Maître ?

  • Cette après-midi, tu m’as supplié mieux que cela !
  • Maître vénéré, m’accorderais-tu l’honneur de m’humilier sur ton genou ? (en vrai, je ne sais plus ce que j’ai dit, mais j’ai supplié Maître).
  • Tu le peux ma chienne. »

Me voilà en train de grimper sur le genou de Maître et de me frotter tandis qu’il fait pression sur mon cou ou me donne la fessée.

Je dois dire que cela fait du bien. D’autant qu’il m’accorde plusieurs avant que je m’arrête de moi-même.

Il m’informe que la prochaine fois, je n’aurais droit à aucune car nous allons sortir pour aller au Moon et qu’il est curieux de voir comment je peux me comporter en étant dans cet état.

Il m’autorise alors à aller dans ma chambre, enlever tous les accessoires, mettre une robe, mon collier dans mon sac et nous voilà parti pour le Moon.

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1 commentaire

  1. En voilà une belle mise en condition pour sortir !
    Vous avez rêvé et la réalité était presque conforme à vos attentes.
    Il ne vous restait plus qu’à espérer combler vos désirs lorsque votre maître vous sortirait au Moon.
    J’espère que vos attentes je sont pas trop intenses sinon vous allez finir par en vouloir de plus en plus et ne plus pouvoir contrôler ce qui risque de vous arriver !

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