Ni une ni deux, je partis en prenant des affaires pour la nuit. J’étais sa chienne, je devais rappliquer quand mon maître me sifflait.
A peine rentrée chez lui, il m’embrassa à pleine bouche. Je sentis à ses caresses qu’il y mettait plus de violence que d’habitude. Je comprenais que ma punition serait plus sévère que ce





