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Bien que nous ayons dit d’arrêter et bien que j’avais fantasmé sur une soirée, nous nous sommes revus avec mon maître.

Il était prévu de se voir en tant qu’amis lors d’une soirée en compagnie d’autres.

Comme à l’habitude, dans la journée, nous nous envoyâmes des textos dans lesquels il m’ordonna de ramener mes 2 colliers pour le soir même. Je ne savais pas quoi en penser mais ne sachant dire non et encore moins désobéir à mon maître, j’accédais à sa demande. Je fis bien plus puisque mon kit de BDSM se trouvait dans mon coffre.

Avant de continuer, vous devez savoir que je suis tête en l’air. J’avais mis mon téléphone dans mon sac mais il tomba dans ma voiture. prise par le temps, je le cherchais sans succès. Sans compter qu’arrivée devant le portail de son immeuble, des gens l’avaient ouverts. je sortis en quatrième vitesse pour en profiter.

C’est lorsque je montais les escaliers que je me rendis compte que dans ma précipitation, j’avais oublié les boissons.

A peine rentrée chez mon maître, c’est un peu honteuse et avec humour que j’expliquais les deux problèmes à mon maître. Il enfila un manteau et sortit avec moi de son appartement.

Je descendis un demi étage lorsque je le sentis me pousser contre le mur. Il m’embrassa alors avec fougue tout en me caressant et en regardant ce qu’il y avait sous ma robe. Cela ne dura que quelques secondes mais qu’est ce qu’elles furent douces et agréables.

Nous finîmes de descendre les escaliers pour aller dans ma voiture. Il fit bipper mon téléphone me permettant de le retrouver. Je me saisis des boissons et retournâmes vers son immeuble.

Au retour, entre 2 étages, il ne se priva pas de me pousser de nouveau contre le mur pour m’embrasser avec fougue et me peloter. Je constatais à quel point il me désirait et que la soirée allait être longue avant de pouvoir se retrouver seuls.

Nous remontâmes comme si de rien n’était. La soirée se déroula sans que nous montrâmes rien à nos amis communs. Ils n’étaient pas au courant que nous aimions les jeux de soumission et encore moins que nous les pratiquions ensembles. Il était hors de question qu’ils puissent le découvrir.

Seulement nos amis fumaient. Ils allèrent tous dans la cuisine pour une pause clope. Je décidais de rester dans le salon. Mon maître s’assura que la porte était fermée avant de se rapprocher de moi.

A son regard, je sus ce qu’il allait faire. Il vint vers moi et caressa mes seins avant de mettre sa main sous ma robe. Etant assise, j’écartais naturellement les cuisses pour qu’ils puissent mieux me doigter. Il les retira au bout de quelques secondes avant de me les faire lécher. Nous sachions que nous aurions pu nous faire surprendre et notre petit jeu s’arrêta là.

Je regrettais seulement qu’il n’y en eut pas d’autres ainsi.

Nos amis revinrent dans le salon et nous continuâmes la soirée ainsi. J’étais impatiente qu’elle se termine mais impossible de le faire comprendre. J’aurais eu droit à des questions auxquelles je n’avais aucune envie de répondre.

Lorsqu’enfin nos amis décrétèrent qu’ils étaient fatigués, je fis comme eux. Je dis au revoir à tout le monde y compris à mon maître. Je rejoignis ma voiture tout comme eux. Je fis des choses dans ma voiture pour leur permettre de partir. Je pus observer que seule une d’entre elles n’était pas partie.

Je démarrais et fis un petit tour avant de revenir me garer devant chez mon maître en m’assurant que la dernière était bel et bien parite. Je sortis mon sac contenant le kit de BDSM et revint sonner chez mon maître.

Il m’ouvrit me permettant de poser mes sacs, ma veste et d’enlever mes chaussures. Je le regardais ne sachant s’il souhaitait me déshabiller ou bien si je devais le faire et me mettre à 4 pattes.

Il se décida et me mordit fortement à la joue. Cest sa manière à lui de me signifier que le jeu commence. Il abaissa ma robe ainsi que mon soutif afin de dégager ma poitrine généreuse qu’il s’empressa de caresser et de mettre dans sa bouche.

Il me retourna et me colla au mur. Il commença à me donner des fessées. J’avais l’impression qu’à chaque séance, ses fessées étaient de plus en plus fortes. Je faisais un effort pour subir sans broncher ni bouger.

Quand il jugea m’avoir assez punie bien que j’en ignorais la raison, il m’ordonna :

« – A 4 pattes »

Il souleva ma robe me la mettant par dessus la tête et lui permettant d’accéder à mes fesses et à ma chatte. Il continua à me fesser fortement. Je pris sur moi de ne pas bouger :

« – Tu seras ma chienne jusqu’au jour où je le déciderais. A qui est ce cul ?

– A toi

– Répète ?

– A vous

– A qui est cette chatte ?

– A vous »

Bien sûr, la discussion était ponctuée de fessées. Entre deux, je me débarrassais des vêtements devenus plus qu’inutiles.

Il essaya ensuite de me pénétrer mais mon corps émit de la difficulté. Il est vrai que même si j’en avais envie, j’étais plutôt fatiguée. Après plusieurs essais, il se retira et se mit debout.

Il m’ordonna :

« – A genoux. »

Je m’exécutais mais comme je n’étais pas en face de lui, Il siffla. Je compris que je devais aller à ses pieds.

Je n’étais plus humaine, j’étais une chienne, sa chienne. Il me traitait en tant que tel et j’avoue que cela me faisait bizarre mais c’était mon statut. Je devais l’accepter.

 Je me déplaçais et vint me mettre en face de lui et le regardais la bouche ouverte.

Quand il fut prêt, il me traita de « Face de trou de bite » et il commença le face fucking. A force de le faire, je tenais de plus en plus longtemps mais je trouvais que c’est encore trop court. Il sembla aimer quand même malgré cela. Nous essayâmes pendant quelques minutes avant qu’il ne se retire et me remette à 4 pattes.

Il continua les fessées et finit par me prénétrer. Seulement à force, je ne tenais plus sur mes bras. Je finis par m’allonger à terre et il m’accompagna. Lorsqu’il se retira, je finis par lui avouer :

« – J’ai le kit BDSM »

Il fouilla dans le sac et me balança le bandeau alors j’étais encore allongée à terre :

« – Mets-le. »

Il me lança également le baillon. Avec mes cheveux et dans l’intention de faire vite, j’eus beaucoup de difficulté pour le mettre :

« – Dépêche toi. »

Je n’y arrivais toujours pas. Les coups de fouet finirent par tomber tant que je n’y arrivais pas. Les coups étaient réguliers. Je pris la décision de l’attacher malgré le mou présent. Je ferais attention à ne pas lâcher le baîllon.

Ainsi équipée du bandeau et du baîllon, il m’observa pendant quelques secondes avant de me dire :

« – Avance »

C’est ainsi qu’à 4 pattes, j’avançais doucement. Je ne voyais rien mais connaissant son appartement, je savais qu’il n’y aurait rien devant si ce n’est son canapé si j’avançais trop vite.

Il attrapa mes cheveux et me fit asseoir comme une chienne s’assied. Genoux a terre. main devant entre les jambes, le corps en avant.

Et c’est ainsi qu’en véritable animal, je soulevais mes fesses et me penchait en avant. Il me prit de nouveau. Ne pouvant m’exprimer, il ne cessait de dire que j’étais sa pute, sa salope, sa chienne, combien j’étais bonne.

Même à travers les baîllons, mes gémissements lui parvenaient.  Qu’est ce que c’était bon que d’avoir une queue en moi et d’être aussi avilie. Lorsqu’il se retira, il se releva. Il accrocha la laisse à mon baillon.

Si j’avais des doutes sur le fait que j’étais devenue un animal, avec la laisse, je n’en avais plus.

Traitée en pure animal, il m’emmena à 4 pattes jusqu’à sa chambre. Il tirait sur sa laisse me permettant de comprendre la direction. Quand je sentis le lit proche, je montais naturellement dessus :

« – Qui t’a dit de monter sur le lit ? »

Je redescendis aussi sec. Je sentis quelques secondes d’hésitation chez lui et Il me colla au mur. J’étais à genoux mains collées au mur. Il attacha la laisse au lit et me laissa ainsi.

Selon les bruits me parvenant, je compris qu’il était dans sa cuisine. Je calmais ma respiration et prit du temps pour me reposer. Seulement, je réalisais l’humiliation que je subissais. J’étais là attachée à un lit dans une position plutôt humiliante sans bouger. Bien sûr j’aurais pu me libérer mais quelle punition j’aurais subie ? D’autant que je devais obéissance à mon maître.

Ensuite, vinrent les pensées sur ce dont il avait l’intention de me faire. Mais avec lui, impossible de prévoir d’autant qu’il repoussait à chaque séance nos limites plus loin.

Il revint quelques minutes plus tard pour constater que je n’avais pas bougé. Il me griffa sur chaque côté de mes hanches avant d’aller s’allonger sur son lit. Je n’entendais rien si ce n’est sa respiration calme. Pendant quelques secondes, je pris peur. Allais-je devoir passer la nuit ainsi ? Cela m’étonnait beaucoup. Seulement, qu’allait-il faire de moi ?

Je ne bougeais toujours pas mais l’attente était insupportable et pourtant, je n’avais que cela à faire. J’étais laissée, bandée et baîllonnée. Seules mes mains étaient libre de leur mouvement mais aucune intention de les bouger.

Il finit par se lever et j’entendis un bruit de papier. Qu’était-il en train de faire ? Que me préparait-il ?

Je compris qu’il cherchait quelque chose mais quoi ? Quand il eut trouvé, il vint vers moi, me mordit le cou et installa une pince à linge à chacun de mes tétons.

Je ne comprenais pas pourquoi cela faisait fantasmer autant de maître ce genre de pratique. Après tout, cela ne faisait pas très mal et ne me faisait pas grand chose si ce n’est que de me sentir un peu plus rabaissée. Du moins c’est ce que je pensais selon l’image que je semblais renvoyée.

Il griffa chaque côté de mes hanches et s’allongea de nouveau sur le lit.

Au bruit et à sa respiration, je compris qu’il était en train de se mastruber tout en m’observant. J’ignorais ce dernier point mais j’en étais quasiment certaine. Il le fit durant plusieurs minutes. Je l’écoutais le faire.

De temps à autre, je sentais le fouet à proximité de mon corps. Ignorant ce qu’il ferait avec, j’essayais de ne pas bouger mais j’étais tout de même en alerte, me préparant à recevoir des coups. Seulement, il joua simplement avec moi afin de me chatouiller avec.

Une fois qu’il eut sont plaisir et finit de jouer avec moi, il se releva et revint derrière moi. Je sentais son sexe derrière mon dos. Il finit par libérer mon baîllon de la laisse et m’allongea sur le ventre sur le lit. Je compris la douleur des pinces à linge à ce moment-là. J’essayais de m’installer de manière à être le plus à l’aise possible malgré elles.

Il essaya de me sodomiser mais mon corps n’était pas pour cette pratique. Cela ne l’empêcha pas de le faire avec ses doigts. Mon plaisir fut fulgurant. Bien plus rapidement et puissant que d’autres séances.

Il profitait de mon corps et me traitait comme je le méritais : sa chienne. C’est au bout de quelques instants qu’il me libéra de mon baîllon et me retourna.

Il leva mes jambes et m’écrasa avec son poids pendant qu’il me donnait des coups de reins. Dans cette position, j’avais du mal à exprimer le plaisir que je prenais. D’autant qu’il me donnait son doigt ou me baîllonnait avec sa main. Il finit également par retirer les pinces à linge de manière violente et j’ai pu réaliser que mes seins étaient bien plus sensibles après le pinçage de tétons.

Par moment, il positionnait ses mains autour de mon cou comme s’il allait m’étrangler. Peu importe le plaisir que je prenais, je ne pouvais pas l’exprimer. Il m’en empêchait.

Que de privation de liberté ce soir !

Il me donna plusieurs coups de reins pour ma plus grande jouissance.

Il voulait profiter de sa chienne, il voulait jouer avec moi et c’est ainsi qu’il s’arrêta d’un coup en me rejetant sur le côté avant de m’ordonner de grimper sur lui. Ayant toujours le bandeau, je le touchais avec mes mains pour grimper sur lui au bon endroit.

Je m’empalais sur son sexe tout dur. Lorsqu’il tourna de côté mes tétons avec ses doigts, non seulement ma jouissance s’en trouvait décupler mais le plaisir et la douleur cumulées étaient difficilement supportables. Je compris de nouveau à quoi servait le pincement réalisé avec les pinces à linge. Je faisais des va-et-vient tout en éprouvant la sensation de mes tétons.

J’hallucinais du plaisir que je pouvais prendre. C’était tellement intense que j’avais du mal à le supporter. Et pourtant, j’essayais de tenir bon le plus longtemps possible. Je devais accepter tout ce qu’il me faisait. il avait tous les droits sur moi.

 Au bout d’un moment, j’essayais sans succès de m’échapper de ses mains. Je fis quelques va-et-vient avant de le supplier en vain. Je ne voyais plus que cela pour qu’il arrête avec mes tétons.

Il finit par s’arrêter quelques secondes après me permettant ainsi d’être plus allongée sur lui et de laisser monter un nouvel orgasme. Impossible de les compter mais c’était une certitude, j’en avais eu plusieurs.

Une fois nos plaisirs assouvis dans cette ultime position, je m’allongeais à côté de lui et réalisais la puissance de cette séance. j’avais beaucoup de mal à me rendre compte que nous avions vraiment fait tout cela.

Au bout d’un certain temps, il dit:

« C’est une bonne chienne. Elle vient quans on l’appelle. »

Puis en se tournant vers moi :

« – Habille toi et va-t-en ! »

J’enlevais le bandeau et me saisit des accessoires qui se trouvaient dans la chambre pour les remettre dans mon sac. Il avait éparpillé les autres dans son entrée. Il m’aida à les ranger avant de m’habiller.

Je le quittais un peu déçue de ne pas être restée, assouvie de mon envie de sexe, contente d’avoir pu de nouveau être traitée comme une chienne et hâte de recommencer !

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