Lili Soumise sous les draps

Après cette première séance (une nuit de soumission – partie 1 ), nous nous remettons en allant nous rafraîchir. Pour ceux qui se poseraient la question, je bois en tant qu’une humaine.

Nous allons ensuite dans sa chambre ( en tant qu’une humaine). Nous avons échangé quelques minutes sur des sujets divers et variés avant que la fatigue nous rattrape nous obligeant à éteindre et à dormir.

Je sais que la nuit ne serait pas que sommeil et qu’elle sera courte. Peu importe, je suis venue en tant qu’esclave et je me dois d’être à sa disposition quand il le souhaite.

Mon intuition me donne raison. Je me réveille d’un demi-sommeil. Je suis allongée sur le dos. Il est tourné vers moi et vient de poser une main sur mon ventre.

Je n’arrive pas à savoir s’il est réveillé ou non et j’ignore si il a l’intention de monter ou de descendre sa main.

Seulement, je ne peux me rendormir sachant que peut-être il a envie de disposer de moi.

Je décide alors de me mettre sur le côté de telle manière que mon dos est face à son profil et j’attends de voir s’il se passe quelque chose.

Sa main monte jusqu’à l’un de mes seins. Il le titille comme un petit garçon titillerait un doudou.  J’ignore toujours s’il est réveillé ou non.

Je décide alors de rapprocher mon corps du sien. Gagné, il insère son doigt dans ma bouche. Je comprends ce qu’il attend de moi et suce son doigt.

Cela dure plusieurs minutes mais si c’est ce qu’il veut alors je le fais. Sans crier gare, il rapproche alors son sexe dur de mon intimité et commence à se frotter à moi. Mes premiers gémissements arrivent. Il pousse le haut de mon corps en avant et le bas vers lui avant que sa bite ne rentre en moi.

Je suis dans une position où il m’est impossible de bouger, je ne peux que subir l’assaut sexuel de mon maître.  Je ne me suis jamais sentie autant jouet sexuel qu’à ce moment-là. D’autant qu’il s’amuse avec ma bouche en continuant la fellation avec son doigt ou bien en me bâillonnant avec sa main.

Je le laisse faire et je n’en prends pas moins mon plaisir.  Il finit par se retirer mais me met violemment sur le dos. Il me pénètre de nouveau. Je serre mes cuisses autour de sa taille. Par moment il se relève pour mieux me donner quelques baffes, caresser mes seins ou les taper.

Il ne cesse de dire :  «  Tu n’es qu’une salope et tu es à moi ».

Et je ne cesse de lui dire “Je suis à toi. Je suis ta chose, ton jouet.”

Sans prévenir, il se retire, s’installe sur le dos et me dit toujours sur un ton autoritaire : “Viens sur moi. Dépêche-toi.”

Le temps que je comprenne ses ordres, il se répète une nouvelle fois. Je grimpe sur lui m’empalant sur sa lance dure et droite. Au début, je reste droite, faisant des va-et-vient pendant qu’il me fesse ou joue avec mes seins. Par moment, je me mets plus en arrière. Et à d’autres semi-allongée sur lui. Je bouge mon bassin selon les ordres de mon corps. Mon maître joue avec le reste de mon corps.

Il sait que cette position me provoque forcément un orgasme. Je fais mon possible pour qu’il vienne le plus tard possible. J’aimerais que nors orgasmes se déclenchent simultanément.

Mais par force des choses, je ne peux me retenir longtemps, un cri de jouissance est poussé par ma bouche. Je continue de bouger mais il est difficile pour moi de continuer après l’avoir obtenu.

Je me retire et m’allonge à côté de lui pendant qu’il me prend dans ses bras.

Avec l’autre main, il se masturbe car malheureusement, le sien n’est pas venu. J’imite sa respiration pour l’aider à ce que sa jouissance vienne rapidement et facilement. Au moment fatidique, il pousse ma tête vers le bas. Je prends alors son sexe dans ma bouche et avale son jus.

Cette fois-ci, je m’allonge à côté de lui et nous nous endormons de nouveau.

Lors de mon réveil définitif, j’aurais aimé continuer à dormir et rester dans le lit jusqu’à ce que mon maître se réveille. Seulement ma vessie réclame d’être vidée.

Je me lève pour me soulager et revient me coucher. Je me mets sur le côté face à lui. Sans que je m’y attende, il me prend dans ses bras et m’embrasse avec fougue.

Il se saisit ensuite de mes seins en me disant combien il les aime et combien je suis bonne. Et c’est reparti pour assouvir ses envies (même si je l’avoue les miennes aussi). Il m’allonge rapidement sur le dos et grimpe sur moi. Je connais les positions qu’il aime et mes jambes se placent automatiquement comme il aime. Nous restons dans cette position jusqu’à ce qu’il exige que je monte sur lui. Je joue alors mon rôle de cavalière pendant que je reçois des fessées ou qu’il joue avec mes seins.

Ayant peu dormi, je suis moins performante que la nuit et m’installe à côté de lui plus rapidement. Il continue à se masturber et sans qu’il m’en donne l’ordre, je lui fais une fellation.

Mais très vite son sexe se ramollit et reprend sa taille normale. Je reviens à côté de lui.

Nous échangeons sur la veille et la nuit pendant qu’il continue de jouer avec son sexe.

J’avoue qu’il aime bien me surprendre. Sans que je m’y attende, je me retrouve allongée sur le dos. Il grimpe sur moi et pénètre mon intimité. Il veut essayer de me sodomiser mais je sens que mon corps lui résistera alors il abandonne très vite. Et malheureusement, pour nous 2, mon maître abandonne ses envies lorsque mon corps rejette pour la troisième fois son sexe.

Il s’allonge sur le ventre en faisant mine de bouder. Je fais mon possible pour me faire pardonner. Nous parlons alors de choses et d’autres avant de décider qu’il était grand temps de nous lever.

Je me rhabilles, rassemble mes affaires éparpillées dans l’entrée. La matinée est déjà bien avancée et ma vie normale doit reprendre son cours. Nous nous disons au revoir et je pars le laissant à sa table en train de petit déjeuner.

Cette soirée et cette nuit a été longue, surprenante et j’apprends que même si je prétends lui appartenir, il me reste encore une once de rébellion et de liberté. Mais au fur et à mesure de nos expériences, il franchit la limite et me pousse à ce que cette liberté s’amoindrit de plus en plus jusqu’à ce que je sois à 100% à lui.

D’ailleurs après plusieurs échanges, lui et moi, nous nous sommes dit que nous avions tous deux l’envie qu’il m’avilisse et m’humilie encore plus. J’ignore quand, j’ignore comment mais s’il y a une prochaine fois, je sais qu’il voudra me traiter comme un animal, sa chienne docile et obéissante qu’il peut ignorer si tel est son souhait, jouer avec ou en disposer comme il le souhaite.

Est-ce que sera vraiment le cas ? Seul l’avenir nous le dira

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