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Ce récit est fictif et je ne suis pas sûre de vouloir le vivre en réel

Monsieur comme a son habitude vient me chercher. Il me dit bonjour en m’embrassant, me prenant dans ses bras et en me caressant.

Je le sens plus pressé que d’habitude, il me hâte à monter dans sa voiture et m’emmène à l’hôtel.

Nous discutons de choses et d’autres.

Arrivés à la chambre, nous nous débarrassons des sacs, des manteaux et des chaussures.

Néanmoins, une chose change, Monsieur me met en mode présentation et commence à fouiller dans nos sacs et à tout poser sur la table.

D’habitude, il ne sort les accessoires que quand il en a besoin. Puis, il me fait mettre nue avant de me mettre mon collier attaché à la laisse ainsi qu’un bandeau sur les yeux.

Il me dit alors : « assieds-toi sur tes genoux et attends. »

Je lui obéis sauf que je m’inquiète car j’ai entendu Monsieur sortir de la chambre. Cette soirée est vraiment inhabituelle. Je ne comprends pas tout ce qu’il se passe.

Cependant, je n’ose bouger ne sachant quand la porte s’ouvre. Ce qui arriva de longues minutes plus tard.

Monsieur me dit : « Tu n’as pas bougé, c’est bien. »

Avec la laisse, il me fait baiser ses pieds, tâter mon intimité. J’ai la sensation que nous ne sommes pas seuls mais je préfère ignorer cette information et me concentrer sur les ordres.

Il me fait m’allonger sur lit sur le dos et commence un cunnilingus jouant avec ses doigts, sa langue et malheureusement les morsures.

Il se relève, je l’entends s’approcher de la table. Quand je sens le gode en moi, j’ai compris. Je sais que j’ai des spectateurs, j’ai quand même des difficultés à lâcher prise.

Monsieur connaît l’emprise de cet horrible objet de torture et fait tout pour qu’une seule pensée soit dans ma tête : le plaisir.

Quand mes gémissements correspondent à ceux attendus, il me fait mettre debout face au mur et me fait couler. Seulement, une fois.

Il me dit alors : « la chienne est réveillée et je veux que tu agisses en tant que tel maintenant. »

Il me fait mettre à 4 pattes sur le lit. Je sens alors des caresses sur mes jambes. Je sens la pression de la laisse sur le côté et les caresses ne sont pas habituelles à celles de Monsieur.

Pas le temps de réfléchir, un inconnu commence à me doigter avant de me pénétrer avec son sexe bien dur. Il est doux, ses coups de reins sont doux et lents.

Monsieur me murmure à l’oreille : « Dis lui qu’une chienne mérite d’être traitée en tant que telle. »

Je le dis mais pas assez bien pour Monsieur vu que je reçois des fessées. La deuxième fut la bonne.

Pendant qu’un inconnu me baise gentiment, un deuxième vient devant moi. Je m’empare alors de son sexe avec ma bouche couvrant les gémissements que cette scène produisait.

Un homme derrière moi, un homme devant moi et Monsieur qui tenait la laisse.

L’homme qui me pénétrait et ce fut le tour d’un troisième. Lui agit avec plus de bestialité, ses coups de reins étaient plus violents. Mes gémissements n’avaient plus rien à voir avec ceux précédemment émis. J’avais même du mal à me concentrer sur la succion.

Je n’agissais plus en tant que femme ou en tant que soumise mais en tant que chienne.

Les deux hommes s’arrêtèrent, je n’avais qu’une envie m’écrouler sur le lit pour m’en remettre. Au lieu de cela, Monsieur m’allongea sur le dos au bord du lit.

Un sexe entra dans ma bouche, tandis qu’un second entra dans ma timidité et des mains et une bouche parcouraient mes seins.

Ma tête ne savait plus où elle en était. Des plaisirs venaient de partout. Je ne contrôle plus mon corps, ni mes gémissements.

Ma jouissance fut d’une telle puissance…

Les hommes s’arrêtèrent les uns après les autres. Monsieur m’autorisa à m’allonger dans le lit tandis que j’entendais que ces messieurs se rhabillaient pour quitter la chambre.

Monsieur m rejoignit alors dans le lit et me libéra de mon collier et de mon bandeau.

Il m’expliqua que non seulement, il avait profité du spectacle mais qu’en plus, il avait fait des photos et des courtes vidéos. Il a vu aussi le plaisir que j’en ai pris.

C’est à ce moment-là quand il me montra tout cela que je sentis une gêne montée en moi. Oui, j’avais pris du plaisir, oui, cela avait été excitant.

Mais j’ai été humiliée, avilie. Certes avec mon consentement. Mais j’ai toujours cette raison en moi qui se dit : Mais comment peux-tu t’humilier ainsi ?

Monsieur m’explique qu’il avait choisi les hommes et que s’il avait senti que cela ne me plairait pas, il les aurait arrêtés. Il avait juste planifié le fait qu’ils soient des spectateurs passifs. Le reste ne s’est fait que parce qu’il m’a senti prête.

Je lui partage néanmoins ma gêne. Il m’explique que je ne devrais pas puisque c’est ainsi que ma jouissance est décuplée.

De toute façon, pas le temps de reprendre la conversation comme Monsieur rejoue avec mon intimité et finit par m’allonger sur le ventre pour me faire couler 2 fois.

C’est ainsi que fatiguée et repue de plaisir, Monsieur me laissa me rhabiller, ranger les accessoires et me raccompagna à mon domicile pour une bonne nuit de sommeil.

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4 commentaire

  1. J’adore ! Dommage que ce ne soit qu’un rêve. Mais du rêve à la réalité parfois il n’y a qu’un pas

    1. Tout dépend du pas. Celui-là est énorme pour ma part. Un jour, peut-être…

  2. Très jolie récit Lili peut être un jour ce rêve ce réalisera avec votre maître pour votre plaisir mutuel

Répondre à Jorand Jean JacquesAnnuler la réponse.