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Ce soir j’ai de nouveau rendez-vous avec Monsieur Yannick. J’ai une tenue exigée : un décolleté largement ouvert (Je n’ai jamais osé le mettre en public), une jupe, pas de sous vêtement et un rosebud. Je comprends que je dois être une chienne attendant son maître. A lui de dire si le pari est réussi.

Je sors ainsi dans la rue avant de rejoindre le restaurant. Je n’ai que 5 minutes à pied et pourtant je me sens gênée.

Même si cela n’est pas la vérité, j’ai l’impression que tout le monde me regarde. Avec ma jupe difficile de savoir ce qu’il y a dessous mais avec le haut, il est aisé de voir que je n’ai pas de soutien-gorge.

Devant le restaurant, Monsieur Yannick vient à peine d’arriver. Je me dirige vers lui avec mon sourire gêné. Hâte de me blottir dans ses bras pour cacher mon décolleté. Mais il ne l’entend pas de cette oreille. Il le regarde, le frôle avec ses doigts : 

« – On va manger.

– Tu es sûr?

– Oh oui. »

Timide, je rentre dans le restaurant. Le serveur nous installe à l’intérieur près d’une fenêtre.

Pendant le repas, Monsieur Yannick n’arrête pas de s’extasier sur mon décolleté. Je suis terriblement gênée parce que j’ai vraiment du mal à comprendre comment les hommes peuvent s’extasier sur mon corps.

A un moment, je tourne la tête vers ma gauche. Dehors à droite de Monsieur, un homme est en train de me mater. Et je peux vous dire que ce ne sont pas mes yeux qu’il regarde.

Quand il se rend compte que je l’ai surpris, il ne me regarde plus mais cela ne l’a pas empêché de jeter des regards furtifs.

J’explique la situation à Monsieur, qui regarde quel est cet homme. Lui est content de la situation, il pense que mon décolleté mérite d’être regardé.  Mais il ne faut pas que cela engendre réflexion, du matage en mode lourd ou encore un abordage irrespectueux.

Mais c’est justement à cause de cette attitude que je mets volontiers des décolletés mais bien plus mesurés. 

Bref, un point de désaccord entre nous qui ne l’empêche pas d’imaginer des situations futures. Que dire si ce n’est que je me sens mal à l’aise face à ces situations et que je ne m’en sens pas du tout capable.

Une fois le restaurant terminé, nous rejoignons tant bien que mal la voiture. Je dis tant bien que mal parce que Monsieur ne cesse pas de s’arrêter en pleine rue pour mettre ses mains dans mon décolleté et/ou sous ma jupe pour vérifier si j’ai obéi à ses ordres.

Je ne cesse de résister car j’ai peur qu’on nous voie. Mais cela n’a pas l’air de le déranger. Moi un peu même si la rue est plutôt tranquille.

Enfin, arrivés à la voiture, les jeux continuent. Il ouvre la porte arrière, pose nos sacs et me demande d’être à genoux sur la banquette arrière. Le cul vers lui bien évidemment.

Il relève ma jupe et se permet une photo

Ensuite, il insère ses doigts dans mon intimité pour me prouver que je ne suis qu’une chienne.

Dans cette position, je ne peux que subir en sachant pertinemment qu’une personne peut nous surprendre même si le parking semble être vide.

Il me donne ensuite une fessée et me dit :

« Debout, chienne. »

Je sors de la voiture. Il ouvre la porte avant et me laisse m’y installer mais j’entends son mécontentement. Je relève instantanément ma jupe. Il en est content.

Il s’installe à sa place et me dit : « Désormais, c’est Monsieur »

Peu à peu mes libertés diminuent hormis celle d’obéir bien évidemment. Il me fait écarter me jambes : « Une femelle doit toujours avoir les jambes écartées. »

Heureusement que nous sommes face à un mur car il libère mes seins de mon haut. il juge utile de faire une nouvelle photo.

Il prend en bouche mes seins, joue un peu avec mon intimité avant de me rendre un aspect respectable pour démarrer et aller à l’hôtel. 

Bien que son GPS voulait nous diriger vers Ibiza (morte de rire), Monsieur ne met que quelques minutes à arriver à l’hôtel. Minutes durant lesquelles il caresse ma jambe voire mon intimité.

Heureusement, il se tient correctement dans l’entrée de l’hôtel et ce, jusqu’à l’arrivée de la chambre. Je pose mes affaires au fond, enlève mes chaussures. Morte de soif, je passe devant lui pour aller dans la salle de bain. Il m’arrête et je dis :

« Mais j’ai soif ?

Il triture mes seins et les pince très fort.

– Qu’as-tu oublié ?

– Monsieur.

– C’est bien mais non.

Il délivre de nouveau mes seins de mon haut :

– Une femelle doit toujours avoir la poitrine en l’air. »

Il me laisse ensuite chercher un verre d’eau et le boire. Quand j’en ai fini, je m’assieds naturellement sur le lit devant lui. A son regard, je comprends que je ne le dois pas et me relève aussitôt.

Il m’explique alors la position de la présentation : debout, nue, mains derrière la tête, jambes écartées.

Il m’ordonne de ne pas bouger. Mais j’avoue que c’est extrêmement difficile lorsqu’il entre ses doigts en moi pour me faire monter une jouissance. Ma mémoire me fait défaut mais je ne crois pas être devenue fontaine à ce moment-là.

Il s’arrête au bout de quelques minutes et me met le bandeau et le bâillon. Au début j’avale ma salive mais il me fait comprendre que je n’en ai pas le droit. Il m’allonge sur le lit. Il me prend ainsi en photo avec les mains sur mes seins.

Ensuite, il tape son sexe proche de mon intimité : « Tu aimes cela chienne ! »

Quand un sexe approche naturellement de mon intimité, je m’attends à une pénétration. Au lieu de cela, il s’allonge sur moi et je vous assure qu’à ce moment-là, je crois avoir affaire à un ours affamé. Il me mord le cou, mes seins et profite ainsi de mon corps sans défense. Il se relève et fouille dans mes affaires.

Il prend mon gode et me pénètre avec.

Il commence à me connaître, il le fait bouger quelques temps en moi avant de s’arrêter et de reprendre. Seulement ce jeu engendre une jouissance puissante que j’avoue avoir encore du mal à gérer. Je me retrouvé sur le côté, jambes serrées et lui qui continue à me pénétrer avec (Rappelez-moi de m’en débarrasser pour qu’il arrête de jouer avec.)

Comme je suis une chienne obéissante, il me fait son fameux cunnilingus en me mordant là où je ne le supporte pas (haut des cuisses) et en jouant avec sa langue et sa bouche. Quand il juge m’avoir suffisamment récompensé, j’ai droit à une courte pause où il me libère du bâillon et du bandeau. J’ai le droit de boire. 

« Quand tu as fini, au mur. »

Je lui obéis. Il me remet le bandeau sur les yeux. Il insère de nouveau ses doigts en moi. Par moment, il me fait asseoir dessus, par moment, je suis debout. Il joue également avec le rosebud qui, en fonction de ses mouvements, augmente d’autant plus ma jouissance.  Il ne faut pas longtemps avant de réveiller la femme fontaine.

Il libère mes yeux du bandeau et me demande de regarder pendant qu’il joue avec mon corps.

Nous faisons à ce moment-là une pause et me libère aussi du rosebud. Nous prenons le temps de discuter. Ce qui ne l’empêche en rien de me caresser, embrasser mes seins ou jouer avec mes tétons ou mon intimité avec ses doigts.

Seulement, après la pause, je me retrouve de nouveau face au mur et il m’insère le rosebud afin que la femme fontaine revienne. Ce qui arrive bien évidemment.

Il m’ordonne ensuite de m’allonger sur le lit. Il vient vers ma tête et je laisse son sexe entrer naturellement dans ma bouche. Cette position ne dure pas longtemps car il veut me sodomiser avec mon gode. Mais comme je ne le sens pas, il essaie mais sans insister.

Il s’allonge de telle façon que son sexe est à hauteur de ma main et me refait un cunnilingus pendant que je le branle du mieux que je peux. Je suis droitière et au vu ma position, je ne suis pas tout à fait à mon aise.

A chaque fois que j’oublie le Monsieur, j’ai droit à un pincement des tétons ou une fessée. Cette fois-ci, j’ai droit à une morsure en haut des cuisses et des fesses.

Mais comme il aime bien me prouver que je suis une chienne (car je ne le revendique pas), Il me fait mettre à 4 pattes sur le lit. Il s’empare du gode, me demande de mettre les mains derrière la tête.

Une jouissance d’une extrême puissance à laquelle je ne suis pas habituée commence à me submerger. C’est telle que mes mains reviennent sur le lit (chut faut pas le dire sinon il me punira). Impossible de ne pas réagir, de ne pas bouger.

Je tiens aussi longtemps que je peux mais je dois le supplier d’arrêter. C’est certes du plaisir mais cela devient une torture pour moi. Je n’arrive pas à supporter une telle jouissance. C’est tellement insupportable.

Il m’explique que je peux le supporter mais n’étant pas habituée, il est normal que j’éprouve des difficultés. Comme j’ai quand même joui, il n’est absolument pas frustré. Et c’est tant mieux.

Après une courte discussion, nous nous rhabillons et il me raccompagne chez moi.

Pour lui, il voudrait me refaire la même chose en forêt. J’avoue que j’ai du mal à l’imaginer parce que je suis plutôt bruyante. Ce qui veut dire que je peux attirer des passants devenant alors des voyeurs voire demandant à participer. Je pense que je serais alors toute gênée.

Déjà que j’ai du mal à comprendre comment tout cela peut me procurer du plaisir.

Et pourtant, la prochaine fois ou une future prochaine fois, il souhaiterait me voir couler à 4 pattes à l’arrière de sa voiture.

Il a aussi dit que je devrais faire attention à mes paroles. En effet, je cherche à esquiver ou bien à jouer sur les mots. Mais apparemment, maintenant cette attitude me vaudra d’être punie. D’autant que j’ai de moins en moins mon mot à dire.

Je crois que je n’ai finalement plus aucune liberté.

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5 commentaire

  1. Comme à son habitude, un billet fort bien écrit où l'on sent le moment vécu.

  2. Merci

  3. Merci pour ces compliments.

  4. Bonjour, une lecture appréciée, une écriture simple ( et non simpliste), accessible et qui permet de bien suivre le déroulement de ces moments intenses. Je ne peux qu'être admiratif, entre autres pour ce qui est vécu au restaurant, dehors, car je ressens une sorte de peur par procuration tellement la soumission hors du cadre privé m'apparaît comme une épreuve. J'apprécie également les photographies, principalement parce qu'elles rendent vos mots plus réels. salutations respectueuses.

  5. Je redécouvre le texte il toujours aussi magnifique a lire et donne terriblement chaud

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