Dans ma salle de bains, j’ai 2 lumières. Seulement, les 2 se sont mises à ne plus fonctionner. Pour l’une, un fil a été déconnecté. Pour la seconde, en enlevant l’ampoule, j’ai malencontreusement cassé quelque chose. Ne connaissant rien à l’électricité et vu que pour la 2ème, je suis trop petite, j’ai demandé de l’aide à mon dominant. Ce dernier disponible en ce samedi accepte volontiers.
Avec sa venue, je dois régler un problème de taille : Ma tenue. J’opte pour une robe noire avec un décolleté plongeant et bien évidemment aucun sous vêtement.
Lorsqu’il arrive, il apprécie ma tenue. Il m’embrasse et me prend dans ses bras. Il est très câlin comme moi. Il sait combien j’en ai besoin en ce moment et j’adore quand il me prend dans ses bras.
Je l’emmène dans ma salle de bain. Il regarde les 2 ampoules. Comme mon blog n’a pas vocation de parler d’électricité, je vous passe les détails si ce n’est qu’il m’a donné les solutions.
Nous sommes alors revenus dans mon salon. Ce que vous devrez savoir, c’est qu’ayant aussi un problème de rideau (j’attends la solution des lumières avant d’aller dans un magasin de bricolage) et vu que ma fenêtre est ouverte, tous les jeux suivants ont pu être vus et entendus par mes voisins. J’en ai parfaitement conscience et le dit à mon dominant qui trouve cela particulièrement amusant.
Debout face à lui, il joue avec mes tétons avant de me prendre dans ses bras. Quand il le fait et qu’il me cherche, il en profite pour tâter mon cul et est satisfait de constater qu’il est à l’air libre sous ma robe.
Il dévore mon cou sachant l’effet que cela me fait. Il m’éloigne de quelques centimètres de lui mais c’est pour mieux libérer mes seins de ma robe.
Il joue avec eux avant de me retourner et d’allonger le haut de mon corps sur ma table. Il me pénètre avec ses doigts. La jouissance monte rapidement et dans ces cas-là, j’ai tendance à me relever. Je me retrouve debout devant lui en femme fontaine. Pour lui, je ne suis plus une chienne mais sa chienne à lui et rien qu’à lui.
Il m’allonge de nouveau sur la table. Il maintient mon cou sur la table pendant qu’avec l’autre, il fait tout pour que je coule de nouveau. Cette fois-ci, la jouissance est plus puissante et je mords la manche de ma robe pour atténuer mes gémissements (la fenêtre est ouverte pour rappel et n’importe qui peut m’entendre).
Il me laisse me relever après ma 2ème jouissance. Cela ne l’empêche pas de mordre mon cou, de triturer mon intimité et mes seins. Néanmoins, il nous accorde une pause durant laquelle je peux ranger mes seins en les mettant sous ma robe.
Nous nous asseyons à ma table et buvons un verre d’eau. Je n’ai qu’une envie, prendre ma chaise et m’asseoir à côté de lui pour avoir des câlins. Et pourtant, je ne le fais pas et je pense qu’il le découvrira en lisant cet article. Je n’ose pas en fait car j’ai peur de me prendre un refus et me faire rejeter est quelque chose que je peux mal vivre.
Sans intention de ma part, je lui pose une question sur mon appartement qui nous oblige à nous relever. Je crois que nous en avons conscience mais nous revenons à la table. Je suis collée à elle et lui est en face de moi. Une deuxième envie que j’ai aussi cachée me vint : m’asseoir sur ma table devant lui.
Je ne l’ai pas fait parce que je me doute que je réveillerais le démon qui sommeille en lui. Je crois que quand il devient mon maître, mon monsieur, il est en réalité un démon. Ce que j’entends par démon, c’est un homme qui ne réfléchit plus, qui suit son plaisir et ses envies. Et vu que je suis sa soumise, je dois m’y plier sans rien à dire (Pas exactement vu que je peux toujours dire non et le mot de sécurité). Ce démon fait tout pour me faire explorer des jouissances inconnues. Mais jusqu’où ?
Toutefois, je suis contente parce j’ai oublié de l’appeler Monsieur et ne m’a aucunement puni pour cela. Enfin, peut-être qu’après avoir lu…
Il finit par s’asseoir sur sa chaise. Je reste debout et il m’attire à lui, face à lui. Il libère de nouveau mes seins de ma robe pour jouer avec. Il me fait m’approcher de lui et commence à me pénétrer de nouveau avec ses doigts. Naturellement, ou plutôt comme une chienne le ferait naturellement, je passe ma jambe par-dessus la sienne pour qu’il ait une meilleure emprise et me faire jouir.
Il stoppe net et me dit : « Va chercher le gode. »
Vous savez, celui que je vous ai demandé de me rappeler de me débarrasser lors du dernier article.
Pour m’encourager, j’ai droit en plus à une fessée. Quand je le ramène, c’est pour mieux m’allonger sur la table avec une main qui m’enserre le cou tandis qu’avec l’autre, il me pénètre avec mon gode. Quand il arrête les va-et-vient, j’ai droit à des morsures dans mon cou tout comme il répète le fait que je suis sa chienne. Il le fait car ce sont des pratiques qui me font monter dans l’excitation.
De ce fait, à la première jouissance avec le gode, je me relève. Mais il n’en a pas fini avec moi. il m’avoue que vu que je redémarre après une jouissance, il ne se lasse jamais de jouer avec moi.
Il m’allonge de nouveau sur la table, ventouse le gode sur sa jambe et me pénètre de nouveau avec. Une nouvelle jouissance ne tarde pas à arriver, m’obligeant à mordre une nouvelle fois la manche de ma robe.
Il continue quelque peu et me libère de cette étreinte après que la jouissance se soit exprimée. Il m’ordonne alors de le raccompagner à ma porte seins à l’air. Mais en discutant avec lui, mon réflexe a été de remettre mes seins dans ma robe. Bien que j’arrête le geste avant qu’un de mes seins ne soient remis en place, il s’en aperçoit. Ce qui me vaut 2 bonnes grosses claques sur chaque fesse.
Je le remercie pour toutes ses jouissances mais plus je passe de temps avec lui, plus je suis demandeuse. Comme si mon corps ne pourra jamais être satisfait et en continuelle demande. Je ne l’avais jamais ressenti auparavant. La question que je me pose, c’est où est-ce que cela va me mener ?