Médaille de Cookie

Pour ce soir, Maître a exigé que je porte les pince tétons sous un haut sexy, un rosebud sous une jupe et bien évidemment un collier. Celui en dentelle

Toutefois, je ne vais pas tout à fait respecter cette exigence. Mon imagination m’a donné une idée. Mais est-ce que je serais capable d’aller au bout ? Même si cette idée est excitante, je m’en sens un tantinet honteuse. Cela va à l’encontre de la bonne image que je dois donner et de mon éducation.

Dans le même temps, mon côté soumise me pousse à m’humilier. Je me rends compte que cela m’excite.

Je suis dans mes pensées quand mon téléphone vibre. Cela ne peut être que Monsieur Yannick annonçant son arrivée en bas de chez moi. Je me précipite pour prendre mes sacs afin d’éviter de le faire attendre.

J’avoue que la punition ne me tente guère. Pour l’instant, il n’en est pas question mais autant éviter, n’est-ce pas ?

A peine la porte franchie qu’il me prend dans ses bras. Je dois avouer que c’est pour mieux me caresser mes fesses. Quelque chose le trouble. Il ne peut s’empêcher de relever ma minijupe et de constater que je n’ai pas mis le rosebud simple mais celui se terminant par une queue de chat. Afin de rester discrète, j’ai fait en sorte de le coincer dans mon bas jarretelle.

Je le laisse constater mais j’aimerais qu’il s’intéresse à une autre partie de mon corps. Ne tenant plus, je fais ce que j’aurais tant désirer qu’il fasse : je déboutonne mon manteau.

Il est d’abord surpris par ce geste mais quand il constate la surprise, il n’en est que ravi. Mes seins sont à l’air avec les pince-tétons exigés.

Finalement, il n’est pas déçu que je n’ai pas totalement respecté ses ordres du fait de mon initiative. Mais tellement concentrée sur la surprise que j’en ai oublié le plus important. L’accessoire qui prouve mon appartenance : mon collier en dentelle.

Et mince, moi qui voulais tant éviter la punition, j’en récolte une. Reste à savoir laquelle.

Cela ne l’empêche pas de se mettre derrière moi tandis que mes seins sont visibles à tout ceux qui voudraient entrer dans mon immeuble ni de jouer avec mon clitoris. Vu l’heure, il n’y a guère de monde mais une peur prend naissance quand je m’aperçois que deux personnes ont l’air de se diriger vers nous.

J’en fais part à Monsieur, qui, lui s’en fiche puisqu’il répond : « Et ? »

Qu’est-ce que je peux détester ce mot ? Que peut-on répondre à ce foutu mot ? Et il continue comme si de rien n’était. Enfin, jusqu’à ce que les personnes s’approchent de trop prêt. Je referme mon manteau tandis qu’il dépose mes sacs à l’arrière. Il m’ouvre la portière afin de m’installer à l’avant en prenant soin de relever ma jupe.

L’a-t-il fait exprès ? Je ne le pense pas. Mais une sensation de chaleur se dégage de sa voiture. Tellement qu’après de longues minutes d’hésitation, je finis par ouvrir mon manteau mais légèrement.

Bien évidemment, cela ne convient pas à Monsieur qui en profite pour l’élargir dévoilant ma poitrine à qui veut. En fait pas vraiment, la nuit, l’autoroute, les gens étant auto-centrés.. Qui finalement m’a vu ? Je crains fort personne. Enfin, plutôt heureusement car comment réagir face à une personne qui découvre la partie intime d’une inconnue sur une route ?

Monsieur Yannick ne se contente pas de mon exhibition, il joue avec mon clito quand ce n’est pas mon sein. Enfin par moment car il a parfois besoin de ses deux mains pour conduire. Je prends plaisir à être à sa disposition, qu’il joue avec moi uniquement quand il l’a décidé. Je trouve cela grisant. Enfin, sous condition d’avoir la jouissance. Hors de question d’avoir de la frustration.

Une fois arrivé à l’hôtel, Monsieur me fait sortir de la voiture en ayant toujours le manteau ouvert et en profite pour faire une photo. Cette dernière est accessible en cliquant ici

Une pensée me traverse l’esprit. Connaissant son envie et la mienne, je me dis qu’il va profiter de ce moment à l’extérieur pour jouer avec moi.

Il s’approche de moi tandis que je me tiens prête à m’offrir à ses doigts mais il se contente de prendre en main mes seins qu’il affectionne et de m’embrasser. Il m’invite à remonter en voiture pour se garer devant l’hôtel.

Ce qui m’oblige à refermer le manteau avant de rejoindre la réception. Nous récupérons rapidement la clef avant de nous diriger vers l’ascenseur. Nombre d’idées traverse l’esprit de Monsieur avant qu’un ordre n’arrive en général : « Tu vas libérer ta queue et relever ta jupe dans le couloir. »

J’obéis et marche devant lui jusqu’à la chambre. J’attends sagement qu’il ouvre la porte avant d’aller au fond de la pièce afin de me libérer de mon manteau, mon écharpe et mes chaussures.

L’ordre qui suit est instantané : « A poil salope. »

J’avoue qu’il ne me faut guère de temps pour me retrouver nue vu qu’il me suffit de me débarrasser de ma jupe.

Monsieur aime prendre son temps quand il se déshabille. Je commence à comprendre que c’est pour mieux apprécier ma nudité mais aussi me montrer que c’est lui qui décide du moment et du comment. Néanmoins, il garde son caleçon.

Il se déshabille également et garde uniquement son caleçon. Il me fait m’approcher de lui pour l’embrasser avant qu’il prenne l’initiative de m’enlever les pince-tétons. Il est ravi de les voir aussi sensible.

Il fait pression sur ma tête afin de me faire agenouiller pour mieux embrasser ses pieds. Il aime m’humilier. Il aime me voir me rabaisser. Je dois avouer que c’est loin de me déplaire.

La suite ne peut être que meilleure même si j’appréhende quand je le vois se saisir de la cravache. Toujours agenouillée, cette dernière caresse mes fesses quand elle ne donne pas des petites tapes.

Satisfait de mes réactions, il finit par me relever de manière à ce que ma tête soit face à son caleçon. L’ordre me surprend mais ce n’est pas la première fois : « Joue ».

Je frotte alors ma tête contre son caleçon comme une bonne chienne. Tiens le mot chienne sort de mon écrit. Sûrement que j’en devienne une. Est-ce une bonne ou mauvaise chose ? Pas sûre que ce soit le moment de penser à cela. Un autre ordre s’ensuit :

« Enlève-le. »

Attention, enlever ne signifie pas déshabiller Monsieur comme une femme le ferait. Après tout, il me prend pour une chienne et qu’utiliserait un animal pour enlever un caleçon ?

Mes dents s’approchent du caleçon. J’y vais prudemment. Hors de question de le mordre par mégarde. Je descends un côté puis deuxième. J’alterne ainsi jusqu’à ce qu’il tombe seul à ses pieds. Il s’en saisit pour le mettre de côté et me pousse à m’emparer de son sexe avec ma bouche.

Je ne le réaliserais que plus tard mais devrais-je considérer ce geste comme une récompense pour mon attitude, ma docilité ?

Peu importe, j’adore l’avoir en bouche, j’adore lui donner du plaisir. Peut-être que vous ne me croirez pas, mais lui donner du plaisir en étant humiliée ne fait qu’accroître mon propre plaisir.

Satisfait mais souhaitant aller plus loin, il me fait arrêter et m’ordonne de monter sur le lit tel un animal. N’ayant aucun ordre, je reste en levrette.

Quand je sens son sexe en moi, j’adore. J’attends tellement cela mais comme il le sait et souhaite me faire comprendre que la pénétration doit se mériter, malgré mon désir, il s’arrête au bout de quelques secondes.

Et ce, pour mieux m’ordonner de m’allonger sur le dos.

Etonnement, il me pénètre de nouveau. Va-t-il aller jusqu’au bout ? Ce serait une bonne chose et surtout une première. Mais non, il se retire pour mon grand désespoir. Mais c’est pour mieux me pénétrer avec sa langue.

Mais c’est trop facile selon lui. Il s’écarte de moi, prend dans son sac, les entraves et me les mets aux poignets et aux chevilles. Je dois que je ressens le poids. Pas seulement physique mais psychologique. Jusqu’à présent j’ai l’impression qu’il me voyait comme une chienne. ce symbole signifierait il que je suis une esclave ? En vrai, je ne sais plus qui je suis ni dans quel rôle je suis.

Tout ce que je sais, c’est que je lui appartiens, je lui dois obéissance et en échange subir le plaisir qu’il souhaite m’accorder.

Pour le moment c’est toujours via un cunnilingus qui ne dure que trop peu de temps. Visiblement, me mettre les entraves n’est pas suffisant.

Je suis toujours allongée sur le dos, attache mes mains et mes chevilles à une croix. J’ai donc mes 4 membres en l’air sans pouvoir bouger. Il tâte mon humidité par sa bouche et en profite même pour effleurer ses dents contre ma peau bien qu’il sache que c’est une vraie torture.

Il me retourne pour me mettre en levrette avant de continuer à jouer avec mon intimité avec sa langue mais surtout ses dents. Je ne peux pas me débattre, je ne peux pas bouger, je ne peux que subir la volonté de me torturer. Les effleurements me font donner une poussée de plaisir. Mais elle est tellement puissante que j’ai bien du mal à la supporter. Bien que lui dise me fasse mouiller.

De toute façon, on n’est jamais d’accord sur ce point. Lui, joue avec mon corps, mon plaisir et mon immobilité.

Il finit par libérer mes chevilles et installe mes mains au-dessus de ma tête. Je subis le cunni avec plaisir et délice. Cette fois-ci, il le fait avec douceur et j’apprécie. Même s’il en profite pour me mordiller de temps à autre. J’essaie de rester immobile mais dur quand c’est un réflexe.

Je me dis alors : « Si c’est cela la punition pour ne pas avoir mis le collier, je recommencerais. »

Mais je sais que si je l’exprime, la punition, la vraie va tomber. Je saurais dans le futur que j’ai raison.

Il profite de ce moment pour jouer avec mes seins, mon intimité, ma queue. Eh oui, je suis une anale et il ne le sait que trop bien. A peine qu’il joue avec que des gémissements en sorte.

Mais pourquoi ne pas essayer de me donner encore plus de plaisir. Il suffit de me libérer de cet accessoire et de faire en sorte qu’avec ses doigts, il pénètrent à la fois mon intimité et mon anus.

Un immense plaisir m’envahit que pour mon plus grand bonheur. je bouge en conséquence, je profite et je prends tout ce qu’il me donne. Il sait me branler, il connaît mes réactions et je dois dire qu’il aime obtenir une chose de moi.

Il me libère les mains, m’ordonne de me mettre debout face au miroir. Il m’oblige à me regarder bien qu’il sait O combien je déteste cela. ne serait-ce que le matin, je dois être en mode automatique pour le faire ou laisser mes pensées vagabondées.

Alors me regarder alors que j’ai des entraves et que je sais qu’il va me faire couler…

Il me pousse, me tient par le cou et me branle avec son autre main pour obtenir de moi ce qu’il souhaite. j’avoue que je fais tout pour fuir mon propre regard dans le miroir mais quand vient le moment, il m’est bien difficile de ne pas fermer les yeux.

Je ne le fais pas pour désobéir mais c’est pour mieux ressentir les sensations qui s’emparent de moi dans ces moments.

Il me laisse quelques secondes pour me remettre avant de me retourner et m’ordonner de m’agenouiller afin de le prendre de nouveau en bouche et de lui donner du plaisir comme il m’en a donné.

Malheureusement, il finit par rapetisser et je le libère de ma bouche.

Nous finissons par nous allonger sur le lit et profiter de ses câlins. J’adore car j’en ai besoin et cela m’apporte beaucoup.

Toutefois, je sais que cette nuit sera pleine de coquinerie. Il ne cesse de me caresser avant de me tendre sa jambe. Et devinez quoi ? Je me frotte bien sûr contre elle. Et nous voilà reparti. Au début, il commence par un cunni tout en m’immobilisant en me mettant sur moi sur le côté.

Il finit par réclamer un 69 qu’il obtient facilement vu que je suis à ses ordres. Et je dois avouer que c’est pour mon propre plaisir que je le fais.

Il en profite pour insérer des doigts dans mon intimité ou dans mon cul. Peu importe, je laisse mon corps bouger. Il sait très bien comment obtenir ce qu’il veut.

Monsieur Yannicke semble sataisfait puisqu’il ne cesse de dire que je suis une bonne chienne, comment je bouge, que je sois docile…

Il me donne de nouveau cet ordre : « Allez, devant la glace. »

Je ne le dis pas mais le pense fort : « Encore ».

Mais je n’ai pas le droit de discuter, je suis là pour obéir. Je me lève et me retrouve une nouvelle fois face au miroir.

J’ignore comment mais à force de me branler, je me retrouve presque assise sur ses doigts lorsqu’il m’ordonne : « Supplie moi. »

C’est quelque chose que je n’arrive pas à faire. Mais je suis coincée car mon corps réclame son dû. Je le supplie deux fois mais j’ai bien conscience que mes supplications ne sont pas à la hauteur de celles attendues.

Peu importe, il accède à ma demande et me fait couler une nouvelle fois. Finalement, c’est le principal.

Il me laisse quelques secondes de répit avant de m’annoncer : « Je t’ai dit que tu serais punie. Alors monte sur le lit comme une chienne.

J’obéis simplement.

– Je vais te donner des coups de cravache. A chaque coup, tu vas les compter et tu vas dire Merci maître.

– Bien Monsieur.

Il me donne 2 petits coups mais le merci Maître est dit sur un ton trop neutre et trop faible.

– Je vais y aller plus fort. »

Il me donne un autre coup plus fort et le merci maître est dit sur un ton de supplique, qui, cette fois, le satisfait. Je sens les coups de cravache qui tombe les uns après les autres :

– 3 Merci maître

– 4 Merci Maître

– 5 Merci Maître

– 6 Merci Maître

– 7 Merci Maître

– 7 Merci Maître

« Deux fois 7 ? Allez, tu recommences. »

Au 8ème coup, je ne supporte plus la douleur des coups littéralement, ce n’est plus un jeu. Et mon plaisir n’est plus vraiment présent. Le mot d’arrêt arrive dans mes pensées. Mais le prononcer ferait tout stopper. Or, je veux seulement que les coups s’arrêtent. Je décide alors de le supplier d’arrêter.

En réponse, il considère que le nombre obtenu n’est pas suffisant mais il va y aller plus doucement.

Finalement, j’arrive à compter jusqu’à 8 en ayant subi des coups plus ou moins forts.

Je prends conscience que la punition n’est pas vraiment plaisante et donc à éviter. Je serais docile dorénavant et respecterait stricto census les consignes.

Lui, ravi de voir mes fesses rougies, il s’empresse d’une photo.

Il juge mon humidité et malheureusement, je ne peux pas contrôler mon corps qui lui en redemande puisqu’il est bien humide. Il me laisse aller à la jouissance en guise de récompense.

Il se prend alors pour un photographe et scénarise plusieurs positions avec la fameuse casquette de facteur.

Il me libère pour redevenir une simple femme nue. Et ce, afin de pouvoir dormir.

Il faut savoir que Monsieur Yannick est inarrêtable et vu que mon corps réponds favorablement, comment voulez-vous que je dorme quand il me donne des coups de reins pour que je sente son sexe sur mes fesses. Lui, prétendra toujours que c’est moi qui le cherche.

Un second point de désaccord. Ce qui ne l’empêche pas de s’arrête me permettant de m’endormir. car mine de rien, ma journée de demain sera longue et il faut bien que je me repose.

Et pourtant, le sommeil mets du temps à arriver vu qu’il s’endort alors que je suis encore réveillée. Je finis toutefois par dormir mais ayant un sommeil léger, le moindre mouvement de monsieur me fait réveiller.

J’avoue que l’envie présente, je colle volontairement mes fesses contre son sexe. Il m’a fallu plusieurs tentatives mais cela a fini par fonctionner. il me caresse et descends rapidement sur mon clitoris.

Il m’immobilise et je sens à ce moment-là que je lui appartiens. je suis à lui. Il y a dû avoir télépathie car il me demande : « Dis que tu m’appartiens. »

Je le dit et lui dit que c’est la sensation que je ressentais. Il me confirme que c’est en fait une réalité.

Monsieur ordonne de nouveau un 69 avant de se lever, me faisant mettre ma tête au bord du lit, bouche grande ouverte pour accueillir son sexe pendant qu’il joue avec mon clitoris avec sa langue ou avec ses dents. Quelque part, heureusement que j’ai quelque chose en bouche pour étouffer mes gémissements voire mes cris de jouissance.

C’est l’apothéose de cette séance, son jus coule dans ma bouche et je l’avale avec plaisir et fierté. Je sais que c’est une récompense et que je n’aurais pas droit à avaler son sperme en tout temps et heure.

Nous nous recouchons pour nous endormir. Et ce, que pour quelques heures, car le réveil sonne et j’avoue que c’est loin d’être facile. j’aurais bien dormi plus longtemps.

A peine réveillée, je vois Maître se précipiter sur mes seins pour les prendre en bouche avant de faire de même avec mes lèvres intimes. Il arrive toujours à coincer mon corps pour subir ses coups de langue et ses coups de temps.

Sans que je m’y attende, il me fait rouler afin d’être allongée sur mon ventre. Mais pensez-vous que je puisse me lever ? Non. il s’empresse de me mordre les fesses.

Ce ne sont plus des gémissements de plaisirs mais des cris. Je les étouffe dans un coussin. Et bien entendu, il insère ces doigts et c’est ainsi que pour la première fois avec Monsieur Yannick et peut être la deuxième ou troisième fois de ma vie, j’inonde le lit.

Seulement, mon corps en redemande, alors, nous revoilà pour une deuxième inondation de lit. Il faut savoir que couler prend beaucoup d’énergie. Il me faut toujours quelques secondes pour m’en remettre.

Et pourtant, voilà que sa main se pose sur mes fesses.

Non pas que je ne veuille plus prendre de plaisir mais le timing étant serré, je me libère en me levant d’un bond. Ce qui mettra un point final à ma soumission pour ce jour.

Et nous voilà en train de nous rhabiller et de ranger nos affaires.

La contradiction avec moi, c’est qu’il me regarde m’habiller et je ne le supporte pas. je me sens hyper gênée alors qu’il a vu mon corps dans différentes positions, qu’il a pu le voir sous toutes ses coutures mais j’éprouve des difficultés lorsqu’un homme me regarde m’habiller.

Nous descendîmes prendre le petit déjeuner avant que l’on puisse reprendre une vie normale. Une vie où je n’ai aucune entrave et libre de mes mouvements.

Le reste de nos occupations étant banal, je vais vous expliquer 2 hantises que j’ai : l’idée du sauna et l’idée qu’il coquine de nouveau avec une femme.

Je me suis toujours dit que j’aimerais beaucoup réitérer l’expérience du sauna. mais avec une personne de confiance et qui puisse me guider. Seulement, Monsieur Yannick m’a raconté ses différentes expériences et j’avoue que cela m’effraie quelque peu. Même si j’ai bien conscience qu’avec lui, cela ne peut que bien se passer. Peut être pas les scénarios imaginés mais toujours du plaisir.

Toutefois, je sais que j’aurais probablement du mal à le voir coquiner avec une autre femme devant moi. Mais je sais qu’il ne le fera pas bien que j’aurais peur qu’ainsi je risque de le frustrer. Et donc qu’il ne puisse pas en profiter comme il aimerait. J’ai la sensation d’être face à un blocage.

Tout comme je sais qu’il aimerait couiner avec une femme que j’apprécie également. Bien que je sache que cela pourrait apporter beaucoup à cette femme, au vu de comment j’ai réagi la fois précédente, rien ne se fera. Mais qui suis-je pour empêcher un liberté de prendre et donner du plaisir ? D’autant que je n’en suis pas amoureuse.

Dilemme Dilemme. On verra bien ce que l’avenir me réserve.

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4 commentaire

  1. Joli récit et te prends pas la tête ni pence pas 😘😘

  2. J aime lire ce récit erotique c est bien écrit c est émouvant et de plus excitant pour moi c est nouveau je lis de tant en tant les récits d une maîtresse qui écrit très bien . Mais toi on voit cette adoration pour ton maître c est fascinant . Pour ce que fait ton maître malheureusement tu ne peux aller contre. C est de là perversion pour peut être te rendre jalouse qui sait merci pour ce bon moment lillie

    1. Bonsoir,
      Merci à vous de me lire et de me faire partager votre avis

      Lill

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