Lili Soumise en nuisette

Récit fictif mais inspiré d’évènements réels

Durant la nuit, il m’arrive de me réveiller. Cette fois-ci, tu es présent. Je suis allongée de côté et je te sens derrière moi.

Naturellement, je me colle à toi. Tu mets ta main sur l’un de mes seins et commence à titiller l’un de mes tétons.

Comprenant que tu es réveillé, je me tortille de plaisir et me frotte volontiers à ton sexe si petit.

Tu pousses mes cheveux sur le côté et commence à m’embrasser dans le dos avant de te plonger dans mon cou. Tu sais très bien que m’embrasser aussi sensuellement à cet endroit ne fait qu’accroître mon excitation et donc le rythme de mon bassin sur ton sexe qui n’est plus si petit et si mou.

Tu tortilles de plus en plus mon téton, tu m’embrasses de plus en plus fougueusement mais j’ai envie de me frotter plus dur, plus sauvagement. Tu me donnes alors ta jambe et m’entortilles autour afin de pouvoir faire mes va-et-vient. Mes gémissements s’expriment. Tu continues à m’exciter en prenant en main l’un de mes seins. Tes baisers sur mon cou se transforment en morsure. Même si je ne te vois pas, je sais l’effet que cela te fait que de me rabaisser à me chauffer sur ta jambe.

Comme tu le sais, mon orgasme arrive bien vite. Mais il ne te suffit jamais, tu penses pouvoir toujours me faire crier plus fort, me faire avoir différents orgasmes. Alors ta main descends jusqu’à mon entrejambe. Tu joues sur mon clitoris jusqu’à ce que je gémisse une complainte. J’ai envie qu’elle soit en moi, j’ai envie qu’elle joue avec mon corps, j’ai envie qu’elle me fasse hurler.

Tu insères uniquement un doigt. Certes, cela me donne du plaisir mais il ne me suffit pas, j’ai besoin de plus. Tu en entres un deuxième et fait en sorte d’appuyer ta jambe sur ta main. Mais tu ne bouges pas, tu restes immobile.
Que tu aimes me rabaisser. Comprenant que je me dois de donner mon propre plaisir, je remue de nouveau. Tes doigts accompagnent mon rythme. Tu débloques ton autre main pour qu’elle se ballade sur mon dos si sensible à ce moment.

Tu alternes entre les baisers et les morsures à tel point que je suis méfiante dès que je sens ta bouche près de moi. Tu aimes ma méfiance même si tu aimerais que je n’appréhende plus. Tu me laisses bouger frénétiquement, tu me laisses hurler de plaisir jusqu’à un deuxième et un troisième orgasme. N’en pouvant plus, je m’arrête.

Tu retires ta jambe mais tes doigts sont encore en moi : « sur le ventre. »

Pas le choix. Je bascule de manière être sur le ventre. Tes doigts encore en moi m’accompagnent. Je sais ce que tu veux, je sais ce que tu attends de moi mais j’ignore si je pourrais te satisfaire.

Tes doigts se remettent à bouger, tes morsures parcourent tout mon corps, je ne tiens plus, le plaisir m’envahit entièrement. J’ai du mal à le supporter mais le moment que tu attends arrive, je le sens. Je ne peux plus m’exprimer, mon souffle est coupé et toi tu es ravi car je suis en train de couler sous tes doigts.

Tu t’arrêtes mais tu les laisses en mois, tu m’embrasses alors partout sur mon dos, sur mes fesses. Mais si tu les laisses, c’est que tu n’en as pas terminé. Tu recommences car tu aimes me refaire couler. Tu aimes me pousser à bout.

J’ouvre les yeux. Il fait jour. Ma main est trempée ainsi que mon lit. Eh mince, non seulement j’ai fait un rêve érotique mais je me suis accordée un plaisir en dormant.

Le sexe me manque et mon corps me fait comprendre qu’il en a besoin et que même sans partenaire, je dois le lui accorder…

Bon ben plus qu’aller à la douche et changer les draps avant de commencer la journée

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