jouet

Récit purement fictif

« Ma soumise, je sais que tu ne t’accordes pas le plaisir que ton corps te réclame. Cela fait longtemps que nous nous sommes vus et va falloir un peu patienter. Pour la peine donne moi un jour de la semaine avec tes horaires de réunion pour lequel tu mettras un jouet connecté via application. Mais confirmes-moi que tu es bien en télétravail. »

Oh la la, cette situation est purement nouvelle. Je sais ce que cela veut dire qu’il va vouloir jouer avec moi pendant mes heures de travail. Je choisis le jeudi. C’est le jour où j’ai en général aucune réunion mais aussi une charge de travail plutôt faible en ce moment.

Mais voilà, un jouet dans ma chatte ne lui suffit pas : « Tu mettras en plus un rosebud. Tiens moi informé quand il te gêne. et n’oublie pas que je veux t’entendre. »

Je n’avais pas prévu cette situation. Je me prépare et insère les jouets que je maudis ce jour. L’un dans mon intimité, le second dans mon cul. Bien évidemment, Monsieur voulait une preuve et savoir quand il pouvait commencer.

Je m’installe à ma table, allume mon ordinateur ainsi que la télévision. Elle me tient compagnie.

Le temps passe, si je ne les sentais pas en moi à chaque fois que je bouge, j’aurais pu même les oublier. Mais voilà; sur les coups de 10H30, je sens le jouet vibrer. Cela me fait tout drôle. J’ai beau essayé de me concentrer sur mon taf, impossible. J’allume l’enregistreur de voix, indique l’heure, coupe le son de la télé. Je me laisse guider au gré de la puissance et des vagues décidés par Monsieur, bien loin de moi.

Sans que je ne le contrôle, mon corps bouge tout seul sur ma chaise afin d’avoir un maximum de plaisir. Un gémissement de plainte surgit quand tout s’arrête. Je m’apprêtais à couper l’enregistreur quand les vibrations reprennent de plus belle. Je me laisse aller, mon travail attendra. Cela dure encore quelques minutes avant que tout stoppe.

Je me remets de mes émotions. L’heure du déjeuner arrive. Etant chez moi et vu les chaleurs, je mange peu et rapidement. En général, je m’allonge sur mon canapé et regarde les réseaux sociaux. Mais voilà, les vibrations reprennent. Tout d’abord doucement mais ensuite de plus en plus rapide avec changement de rythme. J’allume vite l’enregistreur de voix. Le plaisir monte, Monsieur joue avec moi et je sais qu’il imagine mes gémissements.

Mais voilà, quand tout s’arrête, mon corps en veut plus. Mon corps n’a pas eu son orgasme. J’envoie un texto à Monsieur car j’ai bien compris que ce jour je ne pourrais rien faire sans lui.

Il m’ordonne de me goder. Si je le sens une vidéo, à défaut l’enregistreur de voix. Il est plus facile pour moi d’enregistrer ma voix. Je rentre dans ma chambre, ouvre le coffre, cherche mon fameux gode rose.

J’enlève ma robe, le rosebud et le jouet connecté. Je m’allonge sur mon lit.

Le gode me pénètre aisément et je joue avec lui. Je le laisse en moi attendant que mon corps réclame. Ce qu’il ne tarde pas à faire. Je le bouge doucement, mon corps accompagne le rythme. J’accélère et j’ai pris l’habitude, les rares fois où je me masturbe d’imiter Monsieur et de tout stopper net. Et ce, avant de reprendre rapidement, desc coups saccadés, violents, un rythme effréné que mon corps accompagne volontiers. Je ne pense plus à rien qu’au plaisir, l’excitation.

Je me dois d’aller au bout, jusqu’à l’orgasme. Ce dernier ne tarde pas à arriver. Mais je me connais, rares sont les fois où un seul me suffise et me comble. Je laisse le gode inséré en moi et attends de voir ce que désire mon corps.

Ce dernier bouge, ce dernier en veut encore. Alors je bouge de nouveau ma main. impossible de vous dire le rythme ou la force des mouvements, je suis dans un autre monde : celui du lâcher prise et du plaisir.

Je laisse mon corps faire, ils ait ce qu’il veut et comment il le veut. Mais comme toujours, les deuxièmes fois sont bien trop rapides… Mais ainsi suis-je constitué. Je sais que cette fois, je suis rassasiée.

Je me lève, me rhabille, prends les jouets, les lave et les range. J’envoie un texto à Monsieur indiquant qu’étant comblée, je ne peux continuer. Je lui envoie les 3 extraits de voix et une chose est sûre, c’est que cela lui plaît.

La seule frustration et qu’il n’a pu qu’imaginer et non voir selon mes gémissements…

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