Etant donné le déroulé de la dernière séance, je ne sais pas trop à quoi m’attendre.
Il m’a fallu du temps mais je m’en suis remise et bien que Maître m’ait promis beaucoup de tendresse, j’ai envie de lui être soumise. Peut être pas de manière aussi poussée que certaines fois ou pas en tant que Cookie mais quand même un petit peu.
J’enfile simplement mon haut rose et ma jupe en cuir. J’attache mon collier autour de mon cou avant de me mettre en mode attente. j’ai également rangé dans mon sac le gode noir, la laisse en chaîne et le rosebud qui se termine par ma queue.
Je me doute qu’une petite promenade se profile. Maîs voilà quand je sors, après que Maître m’est (sifflé) bippé, il pleuviote.
Je suis une nouvelle fois déçue car cette promenade est devenue presqu’une nécessité d’accomplissement mais à chaque fois, un élément vient perturber.
Peu importe, j’embrasse Maître qui finit par me prendre dans ses bras. Mais vu le temps, il ouvre rapidement ma portière afin que je m’y assieds avant que lui reoigne sa place de conducteur.
Il m’emmène dans notre petit endroit secret à l’orée d’une forêt. Pour information, nous resterons dans la voiture.
Il m’ouvre la portière avant pour me laisse sortir avant de m’ouvrir celle de l’arrière afin de m’y engouffrer. Je retire mes chaussures.
Une fois que lui est semi allongé, j’en fais de même sur lui. Il libère rapidement mes seins.
Je comprends à sa discussion et à sa manière d’agir que la séance sera sur le ton « soft ».
Même s’il me caresse, joue avec mes tétons, la tendresse est l’adjectif qui définit la séance.
Je suis un peu déçue mais au vu de la dernière séance, cela n’est guère étonnant. c’est l’une des raisons qui fait qu’il est mon Maître depuis des années.
Il y a un petit souci avec la voiture. je suis appuyée sur mes jambes posées à l’arrière de la voiture tandis que je me penche en avant pour appuyer sur un bouton.
Maître en profite alors pour me donner des légères fessées et me doigter. Même s’il me frustre quelque fois, il me laisse aller à la jouissance rapidement.
Nous nous rallongeons dans la voiture et continuons de discuter. Ce qui est surprenant c’est lorsqu’il imagine des situations, cela n’a rien à voir avec ma soumission. J’ignore comment traiter cette information. Mais je sais qu’il est très fatigué.
A un moment, bien qu’il vous dira le contraire, j’entends des ronflements. Ce qui me vaudra le fait de me retrouver comme précédemment, debout, posées sur mes jambes à l’arrière, mon buste penchée en avant.
Maître glisse sa main entre mes lèvres intimes m’obligeant à remuer pour avoir mon plaisir. Mais un seul n’est jamais suffisant, il commence alors à pénétrer un de ses doigts dans mon anus ayant pour effet, en plus de la surprise, des gémissements de ma part.
Il mepénètre avec un ou des doigts (impossible de dire le nombre, j’était trop concentrée sur les émotions qui m’envahissent) . Résultat, il provoque une double pénétration qui me fait hurler de plaisir.
Quand il s’arrête, j’émets des plaintes comme une chienne (l’animal) le ferait. il se permet même de se moquer de moi sur cet état de fait.
Et ce, avant qu’il me provoque jouissance, orgasme, gémissement afin que moi, sa soumise, soit assouvie de plaisir.
Il retire tous ses doigts, me laisse reprendre respiration avant de revenir m’allonger sur lui. Cette fois, il l’admettra, le sommeil le gagne et a envie de se coucher.
Direction ma maison. Une fois garé, j’ai toujours ce maudit réflexe, j’ouvre ma portière. Je la referme mais Maître l’a vu. Autant, partout, je n’oublie mais dès que l’on est devant chez moi, c’est un réflexe que très souvent j’arrive à retenir mais pas ce soir.
Maître ne parle pas de punition. Je sais que la dernière séance le travaille certainement encore. j’espère que cela sera derrière nous pour vivre d’autres expériences.
Pour information, je m’endors avec mon cllier pour sentir sa présence avec moi.
