Récit fictif issu du thème de fetlife

On est vendredi, je m’ennuie depuis le matin tellement il n’y a pas de boulot. Normal en plein mois d’août où la plupart de nos clients et fournisseurs sont soit fermés soit tournent de manière réduite du fait des congés. D’ailleurs comme nous, nous ne sommes que quatre y compris le chef.

Après nous avoir invité à déjeuner, il nous a libéré pour l’après-midi. Tant mieux !

Je prends ma voiture, je m’arrête à un fleuriste. Cela fait tellement longtemps que je n’en ai pas acheté à ma femme, elle n’en sera qu’heureuse. Je choisis un magnifique bouquet avec ses fleurs préférées.

Je reprends la route, il ne faut guère de temps avant que je n’arrive chez nous. Sa voiture est là. Pas étonnant, elle m’a dit qu’elle télétravaillait. Je vais lui faire la surprise.

Désireux d’être discret, je fais le tour de notre maison. Elle laisse toujours la porte vitrée du jardin ouverte. Tiens, elle est fermée. Bizarre vu que ce n’est pas dans ses habitudes.

Je la pousse et heureusement, s’ouvre sans problème. Cool, je vais pouvoir me faire discret. J’enlève mes chaussures et vais à la cuisine. Je prends un vase et y dépose le bouquet après avoir coupé les tiges.

Je vais jusqu’à son bureau. Personne. Encore une fois, étrange. Après tout, elle est peut être aux toilettes mais je ne pense pas avoir entendu de bruits. Je reprends mon pauvre vase, déçu de ne pas avoir agréablement surpris ma femme. Je le dépose sur la petite table du salon.

Il me semble avoir entendu du bruit à l’étage. Je monte discrètement les escaliers. La porte de notre chambre est entrouverte. Ma femme est en train de faire une fellation à un homme.

Oh punaise ! Ma femme est en train de sucer un inconnu dans notre chambre !

(Continuez de lire, la suite devrait vous surprendre !)

J’ai dû mal à me contenir. Je redescends quatre à quatre les escaliers en prenant soin de ne pas faire de bruit. Je vais vite chercher ce dont j’ai besoin. Je remonte aussi vite les marches.

C’est ainsi que j’ouvre plus grand la porte en prenant soin de faire du bruit. Ma femme, allongée sur le lit, en train de se faire manger le minou, se relève et me regarde surprise.

Il lui faudra quelques secondes avant de réaliser ce qui se passe :

« C’est bien Médor, tu as mis ton collier. Déshabille toi et assieds toi sur ton coussin. Interdiction de te caresser. Tu dois regarder. Simplement regarder sans rien faire et sans faire de bruit. Sinon, tu sais que tu seras puni. »

J’abois. J’enlève ma chemise, mon pantalon et mes chaussettes. Je les mets en boule dans un coin de la chambre. Je m’en occuperais plus tard. Je suis beaucoup trop excité pour m’en préoccuper pour l’instant. Je ne veux plus perdre une miette de ce qui se passe. Je m’assieds tranquillement dans mon coussin pour assister au spectacle.

L’inconnu m’observe le temps de mon installation. Cela ne semble pas le choquer outre mesure :

« C’est ton mari ?

  • Non mon chien. Il doit obéir à tous mes ordres. Et là, il va nous regarder. Sauf si tu y vois une objection ?
  • On en a déjà parlé. Trop envie de le cocufier sous ses yeux. »

Ils continuent leurs jeux devant moi. Il ne faut guère de temps pour que je bande, heureux et excité de les voir ainsi. L’inconnu fait comme si je n’existais pas. Ma femme, quant à elle me regarde de temps à autre. A la fois pour me montrer combien la situation l’excite mais aussi pour être sûre que moi aussi, je prends du plaisir.

Je la rassure du regard avant qu’elle se laisse aller aux gémissements.

Elle informe l’inconnu qu’elle va se mettre en levrette. Je sais ce que cela veut dire pour m’avoir raconté ses ébats avec lui : l’apothéose.

Elle s’installe :

 » Médor, tu as mérité ta récompense. Viens que je te suce pendant que lui me démonte. »

Je ne me fais pas prier. Je marche à quatre pattes jusqu’au lit. j’y grimpe et me mets à genoux devant elle, mon sexe dur devant sa bouche.

Elle s’empresse de le prendre tandis que je vois l’inconnu la pénétrer sauvagement. Je dois dire que quand je la pénètre, j’y vais plus doucement. Pourtant, quand je sens sa langue sur ma queue, la manière dont elle me sure, je comprends le plaisir qu’elle prend à être prise ainsi. Elle avait déjà essayé de me l’expliquer mais le voir, pire le vivre est plus évident.

J’essaie de penser à autre chose pour ne pas éjaculer trop vite mais j’avoue que me retenir est bien trop difficile. Elle avale mon jus au moment même où lui en termine avec elle. Je le sens à sa façon de bouger, je le sens à sa façon à elle de gémir.

Une fois terminé, elle me libère de sa bouche et m’ordonne d’aller de nouveau dans mon coussin. j’obéis tandis que tous deux s’allongent, elle dans ses bras. Ils se mettent à parler de moi comme si je n’étais pas dans la pièce. Combien tous deux ont apprécié de me cocufier devant mes yeux, le plaisir que je semble avoir pris et mon obéissance même maintenant juste à les regarder parler.

Mais voilà, ma femme n’aime pas me délaisser trop longtemps. Ce qu’elle lui explique et il semble parfaitement le comprendre :

« Un chien a besoin d’attention de sa maîtresse. C’est normal. De toute façon, je t’avais dit que je ne pouvais pas traîner. »

Ils se rhabillent tous les deux devant moi mais j’ai l’impression qu’ils prennent tout leur temps. Si cela ne tenait qu’à moi, ma femme serait tout le temps nue ou en petite lingerie tellement j’adore admirer son corps et ses formes.

Elle le raccompagne jusqu’à la porte. J’ignore comment ils se disent au revoir mais d’après ce qu’elle m’a raconté, ils s’embrassent, s’enlacent un long moment avant un dernier baiser.

J’entends juste la porte se refermer avec l’autorisation pour moi de redescendre avant de ranger correctement mes vêtements et de me vêtir. Je sais ce qu’elle aime quand je suis Médor : torse nu avec un bas de jogging.

Après lui avoir obéi, je la rejoins en bas. Elle est assise sur notre canapé et a découvert les fleurs :

« Redeviens Jean et prends moi dans tes bras. C’est ta récompense pour m’avoir offert un si beau bouquet ! Merci beaucoup. »

Je retire mon collier que je dépose sur la table basse. Je sais qu’elle me demandera de le remettre plus tard. Je m’installe à côté d’elle et je la prends dans mes bras. Quel moment agréable !

Depuis le temps que nous fantasmions sur le fait que je la surprenne, nous en sommes ravis et après avoir échangé nos plaisirs respectifs, il est convenu de recommencer. Du moins dans la mesure du possible !