chienne

Ce soir, j’ai envie de sortir et de rencontrer de nouvelles personnes. C’est ainsi que je me retrouve dans un bar diffusant de la musique rock avec un groupe de personnes que je ne connais pas. C’est une belle occasion.

Je me suis vitre rapprochée d’un homme D…Je me rends compte que nous avons des affinités. Et j’ignore comment, nous voilà en train de parler de pratiques sexuelles. Il me dit clairement qu’il est un libertin et a très peu de limites dans ce domaine.

Je n’ose lui avouer mon côté BDSM mais j’essaie de lui faire comprendre que moi aussi j’ai peu de limite mais dans un autre sens que le libertinage.

Je comprends vite à ses gestes, à notre discussion qu’il n’est pas impossible que je rentre avec lui. Toutefois, si tel est le cas, ce serait certainement pour une nuit. Seulement, la musique nous emporte et je retrouve des connaissances. Lui aussi part de son côté et semble connaître des personnes.

Je profite ainsi de la soirée jusqu’à la fin du concert. Je retrouve les personnes avec qui je suis arrivée sauf D…. Nous décidons alors de partir, Au moment de passer derrière D…, je lui tapote l’épaule et lui fait comprendre que nous partons. J’ignore s’il me fera la proposition que j’attend ou si finalement il va me rejoindre. Mais rien, il nous dit simplement au revoir.

Me voilà dans ma voiture à rentrer chez moi seule un peu dépitée. Je me dis que peut être je ne lui ai pas assez fait comprendre que j’en avais envie.

A peine rentrée, je reçois un texto. C’est mon ex-maître qui vient prendre de mes nouvelles. Mais je le connais bien surtout quand le message arrive aussi tardivement. La conversation dévie sur le sujet sexuel et la domination. Je comprends qu’il a envie, je ne lui cache pas les miennes. Et même si nous l’avons refait une fois, je suis persuadée que cela ne se reproduira pas. Il ne vaut mieux pas pour nous deux.

Cela ne m’a bien sûr pas empêché de lui écrire : « M’ordonnes-tu de venir ? »

Je m’attends à une réponse négative connaissant sa situation. Ce fut tout le contraire, j’ai droit à :

 » Oui et dépêche-toi. Ne me fais pas attendre. »

Ni une ni deux, je me déshabille pour enfiler une simple robe sexy en-dessous de mon manteau et me revoilà dans ma voiture pour rejoindre mon maître.

D’une manière rationnelle, cela a un côté fou et irraisonnable. Dans le même temps, qu’y a-t-il de mal à assouvir ses envies si cela ne porte en aucun cas un préjudice à personne ?

J’arrête de réfléchir et essaie de préparer mon corps à ce qu’il va subir. Je monte rapidement jusqu’à son appartement. A peine entrée, j’enlève le manteau et pose mon sac. Il ne me laisse pas le temps d’enlever mes chaussures qu’il m’embrasse avec fougue. Je sens déjà son envie qu’il a de moi mais également de me posséder.

Comme il en a pris l’habitude, il me mord fortement dans le cou avant de déchirer ma robe et me retrouver nue devant lui. Il enlève son caleçon et me fait agenouiller. Je prends son sexe avec ma bouche et essaie de temps à autre la gorge profonde.

Avec douceur, il pousse ma tête contre le mur. Il me bloque par son corps, je ne suis plus maîtresse de la fellation, c’est lui qui fait les mouvements ou décide de la gorge profonde. Il me montre une nouvelle fois à quel point je lui suis sienne.

Je savoure son sexe dans ma bouche. Elle est si délicieuse. Je le lui fais comprendre par mes gémissements. D’un coup, sans crier gare, me voilà à quatre pattes recevant plusieurs fessées sur chacune de mes fesses.

Il aime le faire. C’est pour préparer mon corps à une pénétration. Cette fois-ci, il entre dans mon intimité. C’est ainsi que réduite comme une chienne, il me donne des violents coups de reins tout en tirant sur mes cheveux. Bien sûr, je lui dis combien je suis sa chienne, sa pute, sa salope, son jouet. Je lui appartiens. cela l’excite tout comme moi de dire ces mots.

Il continue, il accélère mais nos envies sont trop pressantes, trop intenses. Nos orgasmes arrivent malheureusement bien trop vite.

Nous mettons quelques minutes avant de nous remettre. Je connais les règles. Je sors de mon sac des vêtements et me rhabille de manière plus convenable. Nous nous disons au revoir avec fougue sans savoir s’il y aurait une prochaine fois.

Qui saurait le dire ?

Moi qui suis partie dans un bar pour m’amuser et pourquoi pas faire une rencontre plus sérieuse, j’ai été déçue de ne pas avoir passé la nuit avec un homme, je me suis alors retrouvée chienne prise par mon maître.

Qui aurait pu le prévoir ?

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