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En ce 31 décembre, mon maître ne travaille pas. Il prend de mes nouvelles.

Je lui réponds que je ne travaille pas non plus et que je compte ne rien faire avant le soir. La conversation dévie et je comprends qu’il s’ennuie. De ce fait, il a des pensées sexuelles à mon sujet.

C’est ainsi qu’il m’ordonne de venir. Je me hâte de monter en voiture sans même prendre le temps de me changer bien que je n’ai pas de tenue sexy. Mais il m’a donné son accord.

Peu importe puisque de toute façon, en général, quand je rentre chez lui, je suis nue dans les 30 secondes qui suivent.

Je fais le trajet en me demandant les pratiques dont il aurait envie. Je monte l’escalier pour le rejoindre. A peine la porte fermée, il m’embrasse avec fougue et se débarrasse de mon haut libérant ainsi ma poitrine généreuse.

Il est toujours en extase devant elle. Bien que je me demande pourquoi. Elle n’a rien d’exceptionnel selon moi.

Il s’empresse de prendre mes seins un à un dans sa bouche pour les mordiller aussi fort qu’il peut. Il sait combien cela m’excite.

Avec ses mains, il enlève mon pantalon dévoilant ainsi mon intimité. Il m’embrasse tout en me serrant contre lui. Sans crier gare, il m’agenouille, colla ma tête contre le mur et me fait subir la fellation telle qu’il la désire.

C’est lui qui fait les mouvements et donne le rythme, je ne peux que subir les assauts de son sexe pour ma plus grande jouissance.

Quand il juge avoir suffisamment abuser de ma bouche, il m’agenouille telle une chienne. Les fessées tombent une à une. Je crie de surprise à la première mais pousse des gémissements aux suivantes.

Cela me rappelle combien je lui suis soumise, sa chienne, son jouet. Il s’arrête mais ce n’est que pour mieux me pénétrer avec sa longue lance dure.

J’adore, je savoure le plaisir. Et je me demande tout le temps si c’est parce que j’ai un sexe en moi, si c’est parce que je suis aussi avilie ou l’ensemble.

Il fait quelques va-et-vient sauvages avant d’ordonner : « Dans la chambre à quatre pattes. »

Je suis ses instructions et c’est donc à quatre pattes que je me rends dans sa chambre où il m’aide à me relever mais pour mieux me faire poser les mains sur le lit.

Il abuse de nouveau de ma chatte pour mon plus grand plaisir. Mais apparemment, il ne sait pas se décider. A peine le plaisir monte qu’il me fait de nouveau mettre à genoux.

J’ouvre la bouche en grand et je reprends son sexe. Cette fois-ci, c’est moi qui décide du rythme, de jouer avec ma langue. Bien sûr, je m’adapte aux bruits qu’il émets.

Mais à croire que ce jour, il veut jouer avec mon corps en entier. Il se retire, me relève pour m’allonger sur le dos sur son lit.

Il reste debout et abuse de nouveau de ma chatte en chaleur. il prend mes jambes et les relève le temps de faire de nouveau des va-et-vient sauvages. Je ne gémis plus. je crie. Il adore quand je me laisse aller et m’exprime.

Je vois à son regard tout le plaisir qu’il prend. Mais il ne veut jamais au grand jamais que j’oublie que je ne suis qu’un jouet pour lui.

Il se retire, me retourne :

 » Il faut bien s’occuper de ton cul une dernière fois avant de changer d’année « .

Il me pénètre avec douceur. Je sais combien il a envie de rentrer d’un seul coup mais il connaît la douleur que cela peut me procurer et malgré nos pratiques, il prend soin de moi.

Il finit par entrer son sexe dans sa totalité dans mon derrière. Il commence alors à bouger et j’adore le plaisir que je prends par sa sodomie.

Hmm, j’adore et je ne sais pas comment je vais pouvoir m’en passer.

Je crie, je hurle, je laisse la jouissance monter en moi tandis qu’il fait de son mieux pour m’exprimer.

Epuisé, essoufflé, il finit par se retirer et s’allonger sur le dos. mais nous sommes tous deux insatiables et nous n’avons pas terminé.

Après quelques secondes de répit, je grimpe sur lui. Il a compris que cette position est celle qui m’emmène à l’orgasme immanquablement.

Je prends mon temps car j’adore me frotter au sexe. Mais quand je sens le moment, j’accélère. Il me laisse faire et savoure avec ses yeux et ses mains mes seins devant lui.

Le plaisir s’intensifie de plus en plus. Je manque de souffle. Mes gémissements cesse. C’est simplement le signe de mon orgasme. Je continue quelques secondes. Le temps nécessaire pour que lui éjacule.

Nous nous reposons, nous discutons mais là, je n’ai qu’une envie, rentrer chez moi. Je me lève, je pars à la chasse de mes vêtements. Il m’accompagne, me regarde faire et nous nous embrassons pour nous dire au revoir.

Quand je me retrouve chez moi, je me demande si j’ai rêvé ou si cela était une réalité. Il suffit d’interroger mon intimité et mon derrière pour connaître la réponse. Ils ont encore les traces du passage de mon maître.

Et c’est ainsi que je termine l’année 2018 en tant que totale soumise à mon maître.

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