Nous avons enfin trouvé un moment pour nous voir : début d’après midi en ce samedi caniculaire.
Je reçois l’ordre de prendre les pince tétons et de mettre l’œuf télécommandé dans mon cul.
Il me laisse le choix de la tenue et connaissant sa prédilection pour ma robe à boutons (légère au vu des températures). C’est acté sous condition que je défasse 2 boutons en haut et 2 boutons en bas.
Je peux si je m’en sens capable d’avoir une envie pressante.
L’heure arrive, mais le temps de rejoindre Maître, je ne défais qu’un seul bouton. On voit déjà largement mes seins au fil de mes pas. Ce n’est qu’à hauteur de sa voiture que je défais le deuxième. Il est dans la voiture et me demande si je dois rentrer. Mais je me souviens qu’une chienne n’a pas le droit d’ouvrir la portière. Alors j’attends.
Il sort et je comprends que j’ai pris la bonne décision. Il m’embrasse me caresse et apprécie visiblement la vue que je lui offre. Il n’hésite pas à mordre le cou sachant l’effet que cela a sur moi.
Il ouvre la portière, soulève ma robe et me mets en position comme il me l’a appris afin qu’en conduisant, il peut s’il le souhaite atteindre ma chatte. Il allume l’œuf vibrant qui ne sera éteint qu’à mon retour chez moi.
Nous voilà partis, serait-ce la fameuse balade en forêt tant fantasmée ? Lui et moi en avons envie. Seulement, ce serait un lieu prisé notamment par les familles et nous ne voulons choquer personne. Alors Maître improvise.
Ce qui ne l’empêche pas de dévoiler ma poitrine et d’exiger que je mette les pince-tétons. J’ignore vraiment pourquoi, mais il adore.
Il finit par nous emmener à un parking ouvert près d’un terrain de foot. Bien qu’il y ait quelques voitures, personne en vue. Entre la clim de la voiture et la chaleur de dehors, Maître décide de nous laisser nous installer à l’arrière avant de défaire les deux derniers boutons de ma robe.
Il me prend dans ses bras et me caresse. Nous discutons de choses et d’autres. Il joue avec mes seins et mon intimité. Il adore l’humidité que je lui offre.
Jusqu’à ce qu’il me dise :
» Tu as réclamé quelque chose sur Twitter. Alors sur mes genoux. »
Je commence à regretter quand, une fois mes fesses à sa hauteur, les premières tapes tombent. Elles ne sont pas faibles même si je sais qu’il peut y aller plus fort. J’ose à peine gémir, car comment peut-on ressentir du plaisir en étant aussi humiliée ?
Toutefois, c’est difficilement supportable alors je bouge. Il me fait comprendre que si je ne reste pas immobile, les fessées seront plus fortes. Je prends sur moi, mais j’avoue que cela m’est bien difficile.
Il s’arrête par moment juste pour me pénétrer avec ses doigts et me laisser gémir. Ne les ayant pas comptées, j’ignore le nombre de fessées reçues. Je sais juste que mes fesses sont rouges et sensibles.
Avant de revenir dans ses bras, je retire mes chaussures. Nous discutons et ses caresses sont comme des massages. Si ce n’est que je demande à retirer les pince tétons qui deviennent douloureux et je crie « Aïe » quand il m’en libère.
Mais voilà Maître aime aussi me donner du plaisir et jouer avec. Il joue de nouveau avec mes seins, les tortillant, les mordant, les caressant. Comme remuer l’œuf vibrant dans mon anus ou jouer avec mon intimité.
Il finit par m’ordonner de m’allonger, ma tête sur ses genoux, sur le dos. Mes seins sont à sa disposition. Mes jambes sont écartées, lui laissant libre de faire ce qu’il souhaite.
« J’aime que ma chienne soit offerte à moi. »
Et c’est ce que je fais. Il peut et s’autorise à abuser de mon corps comme il le souhaite me faisant gémir, crier et hurler de plaisir comme il sait si bien le faire. Je sens par moment que je suis sur le point de couler. Il s’arrête, car il le comprend également.
Ce qui ne l’empêche pas de glisser son pouce en moi, sur mon point G. Je serre les cuisses pour enfermer son bras. Il fait des va-et-vient, mais s’arrête toujours au moment où ma jouissance est sur le point d’exploser. Alors mon corps bouge tout seul, mais cela est loin de suffire. Il adore que mon corps réclame.
Et ce qu’il adore depuis quelque temps, c’est que je le supplie :
» S’il te plaît, laisse-moi aller au bout. Laisse-moi avoir ma jouissance. S’il te plaît.
– Tu te rends compte à quel point tu aimes t’avilir pour ton plaisir ?
– Mais c’est toi qui me pousses à cela.
– Parce que cela t’excite. »
Alors il bouge de nouveau accompagné de mon corps demandeur. Mais il s’arrête de nouveau avant de recommencer et cette fois me laisser à l’explosion.
« Allez dehors, il est temps de te faire couler. »
Il m’appuie contre la vitre de sa voiture, relève ma robe afin qu’elle ne soit pas touchée et me branle. Je crois qu’il faut à peine deux secondes avant que je devienne fontaine. Maître s’empare des mouchoirs, mais comme d’habitude, je le provoque. Mais cette fois, il m’indique que si je vais trop loin, il va devoir me punir. Au vu des lieux et des possibles et connaissant les punitions qu’il peut me donner. Je me ravise.
Mais il me recolle à sa voiture et me donne une forte tape sur ma fesse droite pour me faire retenir la leçon. Vu que je ne me souviens plus du sujet, oups, la leçon n’est pas apprise. Si ce n’est que dorénavant, les provocations sont possibles, mais elles peuvent désormais avoir de réelles conséquences. Alors que jusqu’à présent, ce n’était que des mots qui me faisaient arrêter. Et que maintenant, ce ne seront plus des mots, mais des actes.
Nous remontons à l’arrière pour de nouveau un câlin. Mais nous sommes arrêtés par un appel interminable et désagréable. Si j’avais su, je n’aurais pas répondu. Des jeunes sont arrivés durant mon appel et au vu de l’heure, il est quand même temps de rentrer.
Quelques heures après, je ressens encore la forte tape sur ma fesse droite. Bon, je crois que je ne dois plus jouer à la provocation avec Maître Yannick…
Très beau récit très passionnant
Merci