Bizarrement, pour ce jour, pas d’ordres si ce n’est que de préparer des jouets mais sans préciser lesquels (cf photo du dessus).
En l’attendant, je trouve la situation ironique car je travaille sur mon pc en tenue prête pour accueillir Monsieur.
C’est la tenue suivante avec le collier « Bitch » et le rosebud :
Monsieur arrive et apprécie ma tenue puisqu’il m’indique qu’elle me va bien. Il m’embrasse, me prend dans ses bras et apprécie encore plus la vue quand nous allons sur le canapé.
Nous discutons de choses et d’autres, ce qui ne l’empêche pas d’ouvrir le soutien gorge ou de glisser sa main entre mes cuisses ouvertes à souhait. Ou encore de prendre en bouche mes seins.
C’est quand il décide d’aller dans la chambre que ma « torture » commence. Je m’installe sur le dos au milieu du lit afin qu’il commence un cunnilingus. Je démarre instantanément. Il est content et satisfait mais est curieux de l’effet que les jouets peuvent avoir sur moi.
Il commence par le satisfyer. Il le met sur mon clitoris et comment dire, j’ai bien du mal à rester en place. Le plaisir monte en moi, mes gémissements vont en puissance par l’effet des vibrations sur moi. Aucun doute, je suis bien une clitoridienne. Mais seulement voilà, il sait qu’un autre jouet a arrive à me faire jouir : le wand chauffant.
J’appréhende les sensations. Cela est instantané, à peine posé sur mon clitoris, je hurle de plaisir tellement c’est puissant. Je lâche prise, ne maîtrise rien, essaie de rester immobile. Mais comment dire, je n’y arrive pas. Il le balade tout le long de l’intimité et apprécie l’effet de ce jouet sur moi puisque je hurle mes gémissements. Mais j’essaie sans succès de le fuir. Monsieur me bloque les mains. C’est du plaisir mais un plaisir insoutenable et insupportable.
Je n’en peux plus, je ne tiens plus et Monsieur s’arrête finalement. Il me laisse une courte pause pour reprendre mon souffle et m’apaiser mais ce n’est que pour mieux insérer le gode noir. Je gémis mais clairement, c’est beaucoup moins puissant. Comme cela ne satisfait pas Monsieur, en plus du gode noir, il me remet le Wand. Je ne tiens plus; je bouge bien que je doive rester immobile. Je hurle, je ne contrôle plus rien, le plaisir est partout, comment je peux le contrôler ? impossible. Et Monsieur m’observe, apprécie le spectacle jusqu’à ce que je le supplie d’arrêter.
Il obéit mais m’ordonne de me mettre à 4 pattes. Il retire mon rosebud, me traite de chienne et s’aperçoit que ce mot ne fait que m’humidifier. Il en profite pour me donner quelques fessées. Il insère ses doigts en moi et s’arrête juste avant de couler. Il ne veut pas salir mes draps.
Il décide alors de me faire jouir par sa bouche. Je dois me rallonger sur le dos. Dire qu’il insère sa langue serait faux. Il me mange littéralement, me mord ma chatte ou mes cuisses ou mon bas ventre. Je subis et il continue, me faisant hurler de plus belle jusqu’à ce qu’il est obtenu ce qu’il souhaite la plus grande jouissance que je puisse lui accorder. Dit ainsi, on a la sensation que cela ne dure que deux lignes mais il alterne le rythme, la violence de ses morsures, et dans la réalité cela ure plusieurs minutes et peut être même plus. Mais je perds la notion du temps dans ces moments-là. Je souhaite que cela s’arrête quand le plaisir est trop puissant mais en redemande rapidement car trop accroc au plaisir.
Une pause dans ses bras est la bienvenue. Nous discutons de choses et d’autres mais comme d’habitue, il ne cesse de balader ses mains sur moi.
Il m’indique alors qu’il voudrait m’attacher à la croix de Sainte André avec le wand. Ouh la la.
Il m’indique qu’il connaît un homme respectueux, qu’il connaît très bien et à qui il aimerait m’offrir mais dans un club libertin. Ouh la la. Il me précise qu’il ne ferait que ce que j’accepte.
Il m’indique que mon récit sur le restaurant risque de se réaliser très prochainement. Ouh la la.
Bref que des choses que j’imagine, que je fantasme mais de là, à les vivre réellement, l’appréhension m’envahit.
Et une nouvelle règle arrive : « Nous allons reprendre mais si tu fuis le plaisir,ce sera une fessée constituée de 10 coups qui seront à faire rougir tes fesses. Bien évidemment sur mes genoux »
Je m’attends au pire. Mais voilà, il m’installe sur le dos et s’évertue à manger ma chatte. Même si c’est difficile, j’arrive à rester immobile. Je ne bouge pas. mais je sens bien qu’il fait son possible pour qu’il me punisse. Même si je suis concentrée sur le fait e lui obéir, ma bouche exprime le plaisir ressenti. Mes gémissements me semblent inconnus. Mais c’est toujours le cas quand je suis avec Monsieur.
Il finit par se retirer mais je me doute de la suite. Eh oui, le wand arrive sur mon clitoris en un clin d’oeil.
Je tiens, je gémis, je gère le plaisir mais je n’ai qu’une envie, de bouger. Je tiens encore mais cela devient dur. Je ne peux pas échapper à mon instinct. D’autant que pour me pousser, il joue aussi avec mes tétons. Mais comment ne pas bouger ?
Je commence à dire à Monsieur que je ne tiens plus, qu’il faut que je bouge. Et je comprends que j’ai raison, il veut me punir. Il continue et n’en tenant plu, je lui désobéi et fuis le plaisir. Je lui demande quand aura lieu la punition : ce jour.
Bon, on verra après. Il arrête le wand et nous faisons une nouvelle pause. Elle dure beaucoup moins de temps que la première car il me demande rapidement une fellation. A peine que je prends en bouche son sexe qu’il réclame un 69.
Nous nous mettons en position. Il me donne des fessées, me mord les fesses, me mets un doigt dans mon intimité. Je gémis de plus en plus fort. J’ai même du mal à me concentrer sur la fellation. Il exige que je m’occupe de ses couilles. Je lâche son sexe et prend en bouche ses couilles comme il me l’a appris. Il continue de s’occuper de moi. Je perds le fil. Je laisse faire mon corps faire. C’est fou tout le plaisir qui peut m’envahir. Il me fait alors reprendre son sexe. Il prend mes bras et me les fait mettre dans mon dos. Je ne comprends pas trop pourquoi mais je lui appartiens et me dois de lui obéir. Je reste concentrée sur le plaisir et sur son sexe. Je m’applique du mieux que je peux et espère qu’il en est satisfait.
C’est là qu’il nous fait basculer. Je me retrouve dessous et lui au-dessus de moi. mes bras bloqués sous mon dos, lui, me mangeant ma chatte et moi ne pouvant me libérer de son sexe dans ma bouche.
Avec ses bras, il bloque mes jambes et ce que je crains arrive. Retour du wand chauffant. Sauf que cette fois, je ne peux ni crier stop, ni bouger. Il joue avec mais je ne tiens plus, je veux qu’il me libère. Je veux qu’il arrête. je ne peux pas gérer ce plaisir. Et pourtant, la jouissance s’exprime. Pendant quelques secondes, plus de plaisir, plus de gémissements, le wand ne fait plus effet. Mais Monsieur le laisse sur mon clitoris, joue avec. Et c’est là que je redémarre, une deuxième puis une troisième.
C’est alors qu’il me libère enfin et je lui avoue que c’était insupportable. Lui, est convaincu que je peux aller plus rien et que je l’arrête trop tôt. Non, je ne peux pas supporter.
Nouveau câlin avant qu’il ne reparte chez lui et moi reprendre une tenue confortable avant de laver et ranger tout ce bazar.
Je savais que je ne devais pas lui donner le wand. Mais j’ai échappé à la punition. Enfin, vu qu’il va lire….
Bien que j’écrive ce texte des heures après son départ, mon clitoris est encore en feu…
Je sais qu’il y a des envieux, que certains veulent me rencontrer et espérer me faire jouir. Mais n’oubliez jamais une chose, cela se passe ainsi parce que c’est lui et que c’est moi. Rien ne garantit que j’aurais le même plaisir, les mêmes réactions, les mêmes envies si c’était vous.
Je sais qu’il a parlé de m’offrir. Mais c’est un homme qu’il connaît très bien et dont je sais que je ne risque rien. Alors je sais que certains d’entre vous voudraient avoir ce privilège. Il n’y a qu’une solution, convaincre Monsieur.
Car de mon côté, je vois quasiment personne à qui il pourrait m’offrir ainsi. Et quand bien, ceux auxquels je pense, il faudrait approfondir… Donc ce n’est pas gagné loin de là.
Blog de Lili Soumise
Blog de Lili Soumise – Une soumise BDSM raconte sa soumission