voiture

Et si je vous dis que ce jour-là, Monsieur ( je ne vais plus l’appeler dominant) est venu me chercher pour qu’on aille dans une supérette afin de manger quelque chose à l’hôtel en regardant la télévision, me croiriez-vous ?

Et pourtant, vous auriez raison.

Ce jour-là, j’ai mis une jupe avec une culotte, un soutien gorge noir (la couleur est importante, vous verrez), un débardeur et un chemisier transparent.

Avant de partir de mon travail, j’exécute l’ordre qui m’a été donné la veille. J’enlève ma culotte, prends une photo et l’ai mise sur Twitter en public.

Je défais mon chemisier, qui, je le rappelle, est transparent afin de retirer mon débardeur. Je remets ensuite mon chemisier en prenant soin de ne pas reboutonner 2 boutons.

Je range simplement mon débardeur et ma culotte dans mon sac avant  de quitter le travail. Afin de me rendre au point de rendez-vous, je dois prendre le métro. Ce dernier, comme coup du sort, ne fonctionne pas. Me voilà, ainsi habillée, à marcher dans les rues pendant 15 minutes.

Je regarde les gens et me rend compte que peu observent ma tenue et encore moins me regarde. Ce qui ne me dérange pas de sentir mon humidité en haut de mes cuisses. Je n’ai qu’une envie : m’essuyer.  Mais comment faire en pleine rue quand il n’y a pas d’endroit discret.

Je décide de rester ainsi et d’assumer. Je m’installe sur un banc. En attendant l’arrivée de Monsieur, j’envoie des textos à une amie. Il arrive bien plus vite que je ne l’aurais cru. Je me lève et il peut admirer la tenue que j’ai mise pour lui. A son regard, je sais que j’ai bien choisi. Nous nous embrassons avant de quitter le parc avec sa main autour de mon cou. J’y suis habituée maintenant. D’autant qu’il en rajoute en me disant que je suis sa chienne, sa salope.

Il me conduit à sa voiture. Arrivée devant, j’ai pris l’habitude d’attendre.  Il me dit alors :

« On va le mettre ici.

– Il y a un gars là-bas.

– Et ?

Qu’est ce que je peux le détester ce « Et ». Il ouvre la portière en me disant :

– Donne-le moi. »

Je farfouille dans mon sac et sort le fameux rosebud. Je m’installe naturellement à 4 pattes sur la banquette arrière. Il relève ma jupe. Je m’attendes à ce qu’il m’installe le rosebud et qu’on pourrait y aller. Enfin, c’est ce que j’espére. Monsieur aime beaucoup trop jouer. Il s’extasie d’abord sur ma chatte bien humide avant d’humidifier le rosebud en l’insérant dans mon intimité. Il prend le temps d’insérer le rosebud.

Je crois qu’il adore que je puisse être visible dans une situation plutôt humiliante. Il joue un peu avec mon intimité et le rosebud avant de me donner une fessée signifiant que nous partons.

Je m’installe à l’avant tandis qu’il prend la place du chauffeur. Bien évidemment, jambes écartées et jupe relevée.

Il m’embrasse, joue un peu avec mes seins avant d’indiquer l’adresse au son GPS. Pendant ce temps, le monsieur qui n’est plus aussi loin, passe au moins 2 fois près de ma portière, l’air de rien.

Monsieur m’explique que c’est mon soutien gorge qui l’a attiré. Enfin, nous pouvons partir afin de rejoindre le sexshop BDSM.

Sur le trajet, j’ai droit bien sur à des caresses sur ma jambe, dans mon intimité ou sur mes seins. Ne pouvant bouger, je subis non sans un certain plaisir. Lui, savoure le fait qu’à chaque fois qu’il me doigte, je suis toujours humide comme une bonne chienne.

Nous pouvons aussi observer 2 ou 3 chauffeurs qui ont pu me mater.

Arrivés au sexshop, nous sortons de la voiture. Ce qui n’empêche pas Monsieur de me prendre dans ses bras tout en caressant mes fesses et jouant avec le rosebud. Pour annoncer le rosebud, j’ai droit à 2 petites fessées et même quand nous marchons. Nous y entrons avec sa main autour de mon cou.

Il faut dire que c’est la première fois que je mets les pieds dans un sexshop d’autant que celui-ci est axé sur le BDSM.

Je m’étonne moi-même, je ne me sens pas aussi gênée que j’aurais pu le croire. Dire que je suis parfaitement à l’aise serait également un mensonge. La plupart de ce que je vois, j’ai pu le voir sur des sites lorsque je cherchais à acheter des accessoires ou lorsque j’ai créé mes wishlist.

.Je ne dis pas grand chose et je me laisse guider par Monsieur sans savoir ce qu’il va réellement acheter. Il m’a parlé des pince-tétons mais va-t-il vraiment les acheter ?

Nous faisons tranquillement le tour et il m’explique certains objets que je ne connais pas comme cette roulette.

Il me la passe tranquillement sur mon bras. Quand je ressens l’effet, je sais qu’il ne faudrait pas que Monsieur se la procure. Tout simplement parce que je me vois excitée et j’imagine tout à fait l’effet que pourrait avoir cette roulette sur moi. D’autant que la veille, j’ai découvert ma sensibilité lorsque je suis excitée alors s’il la promène sur mon corps, quel plaisir intense m’envahirait. Seulement, n’étant pas habituée, c’est presqu’une torture. Si jamais, vous souhaitez me faire un cadeau pour pimenter mes séances, trouvez autre chose que cet objet, je vous en conjure.

Nous continuons notre aventure dans le sexshop. il finit par acheter un collier en dentelle et des pince-tétons en chaîne.

Nous repartons à la voiture toujours avec la main autour de mon cou. Il ouvre son coffre, pose son sac ainsi que le sac contenant les achats. Il sort le collier en dentelle de son emballage et me le pose :

« Par ce geste, je te fais officiellement ma soumise. Tu l’as largement mérité.

Je suis toujours gênée quand il me dit ce genre de choses. Certes, je suis obéissante mais cela me gêne qu’on me rappelle que je suis une chienne et que j’appartiens à quelqu’un.

– Ce collier est discret, tu peux le mettre quand tu le souhaites. Je t’autorise aussi à le mettre avec ton maître si tu le souhaites.

– Merci Monsieur. »

Il ferme son coffre et me prend dans ses bras. Il en profite pour relever ma jupe. J’ai bien entendu que 2 femmes s’approchent de nous. Et pourtant, je ne dis rien et ne fais rien. A quoi bon, mes résistances n’ont aucun effet alors autant assumer quand Monsieur décide de m’exhiber. Il rabaisse ma jupe de lui-même.

Nous nous installons dans la voiture. Des messieurs passent non loin de ma portière mais j’ai bien remarqué qu’il ne me regarde pas. Monsieur m’explique :

«  L’homme de tout à l’heure n’a rien vu mais a compris ce que nous faisions. La plupart des gens ne regardent plus les autres et ne voient rien. A moins que tu te balades nue, peu ont vu ta tenue. Il y a également une différence entre ce que les gens voient et comprennent.

– Bien Monsieur. »

Nous voilà partis pour rejoindre le restaurant. Mais sortir de la ville où nous sommes ne fut pas une mince affaire. Beaucoup de feux, beaucoup de voitures et beaucoup de piétons qui traversent y compris quand il ne le faudrait pas. Nous parlons de choses et d’autres quand il ne me doigte pas. Certains chauffeurs mais finalement peu m’ont observé. 

Je le sais, j‘en suis gênée mais j’ai l’impression que cette gêne diminue avec le temps.

Quand nous rejoignons l’autoroute, je vois 2 camions et je me suis mise à rigoler.

Monsieur a cru que je rigolais pour une autre raison. Mais il le découvrira en le lisant (et j’espère qu’il ne me punira pas), je rigole parce que je repense à ce que j’ai écrit plus tôt dans la journée : qu’il roule à côté d’un camion afin que les chauffeurs puissent me mater.

J’ignore s’il y a pensé mais il ne m’en a pas parlé et ne s’est jamais mis à côté d’eux. Nous continuons d’avancer.

Ce moment, je dois vous le raconter sous la contrainte. Quand je ne fais pas quelques chose, Monsieur me promet une punition que je n’ai absolument pas envie de subir. Il a exigé que je vous parle de ce passage car d’après lui, vous devriez adorer. Pour moi, je ne vois pas en quoi mais bon, allons-y.

Depuis que je suis sortie du travail, je n’ai pas été aux toilettes et ayant eu soif, j’ai pu boire un peu. Une envie se manifeste. Comme je me doute que Monsieur souhaiterait jouer avec moi avant le restaurant, je lui en fais part.

Il s’arrête alors à une station essence qui est sur le chemin. Malheureusement, cette dernière est fermée. Je dois donc soulager mon envie dans la nature. Nous apercevons une butte.

Maladroite comme je suis, je ne me sens pas de la monter. C’est donc naturellement, que je suis Monsieur et je m’accroche à sa main pour la monter.

A moitié cachée, je prends soin d’enlever le rosebud. J’ai toujours peur qu’en faisant pipi, ce dernier ne s’enlève. Je préfère donc prendre des précautions. Et c’est ainsi que, agenouillée, je pisse devant Monsieur.

Je peux vous assurer que sur le moment, concentrée sur le vidage de ma vessie, je trouve cela presque normal et pas dérangeant.

C’est après coup et lorsque nous en parlons au restaurant que je réalise que j’avais fait pipi devant lui. Monsieur m’explique qu’il a pris plaisir à me voir ainsi. Il regrette juste de ne pas m’avoir filmé ou de ne pas avoir fait de photo. Plus il en parle avec plaisir et excitation, plus je suis gênée et me sent mal à l’aise.

Certes, ce n’était pas prévu mais il m’a indiqué que je recommencerais. Je referais pipi devant lui dans la nature. Je n’en suis pas convaincue et essaierait dorénavant de prendre toutes les précautions possibles pour ne pas ressentir ce besoin dans un lieu sans toilettes. Même si je suis sûre que Monsieur peut exiger que je le fasse dans la nature malgré la présence des toilettes.

Sur ce, il faut bien redescendre de cette butte. Rebelote, j’ai peur de tomber et c’est grâce à Monsieur que je peux descendre sans me faire mal.

Nous reprenons notre route jusqu’au parking où il a pris l’habitude de se garer. La suite, dans Une sortie avec Monsieur (mon dominant) – Partie 2 sur 2

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7 commentaire

  1. Très belle première partie, vite la suite.

  2. Elle arrive très vite. Un peu de patience

  3. Belle histoire j’attends la 2 partir avec plaisir n

    1. Merci. Le 2 est déjà présent

  4. […] nous entamâmes nos 3 sujets de conversation favoris :– Revenir sur l’épisode pipi (Une sortie avec Monsieur (mon dominant) – Partie 1 sur 2)– Parler des futures pratiques qu’il envisage– […]

  5. La roulette de Wartenberg est presque plus efficace avec une seule roulette… Qu’en pensez vous?

    1. Je ne connais pas la roulette Wartenberg. Il faudrait que j’essaie

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