L’histoire avec mon maître est terminée. Du moins, c’est ce que je croyais. il a demandé à passer un soir pour discuter. Pourquoi pas ? Après tout, avant d’être mon maître, il est un ami.
Ne voulant pas l’exciter, je décide de mettre un pantalon plutôt moche totuefois sans culotte et un sweat ultra large.
Comme convenu, il arrive, s’installe à ma table et parlons de choses et d’autres, de sa vie, de la mienne. Nous sommes assis l’un en face de l’autre pour boire une tisane.
Il me demande alors :
« – N’as-tu pas envie de mettre un fond musical ?
– Oui si tu veux. »
Je me lève et prends la télécommande pour allumer ma box. Toujours debout, je mets de la musique style pop rock. Avant que j’ai le temps de m’asseoir :
« – Fais-moi un streap tease !”
Je reste bouche bée et je ne comprends pas de suite son ordre :
« – Aurais-tu oublié à qui tu appartiens ? »
A vrai dire, je réalise à ce moment-là combien je le désire. Je commence alors à danser aussi langoureusement que possible. Je commence à monter mes mains jusqu’à mon cou pour les faire redescendre tout doucement.
Arrivées à hauteur de mes seins, elles prennent le temps de les caresser. Je continue la descente jusqu’au bas de mon sweat que je décide enfin d’enlever.
« Hum. Rien en-dessous. Je m’en doutais. Continue ».
Mes mains jouent avec le haut de mon corps, j’ai envie de le faire durer. Jusqu’à ce que je décide d’arriver à mon pantalon que je fais glisser jusqu’au sol. Mais je ne m’arrête pas pour autant. Je bouge mes mains et les positionne au niveau de ma chatte.
Au moment où j’allais les remonter :
« Allonge toi sur le canapé et donne toi du plaisir. »
Je m’y dirige doucement, sensuellement. Je m’y allonge. Mais un dilemme se pose alors. Je déteste me branler quand je suis seule alors face à un partenaire…
Je fais de mon mieux pour taire cette voix en moment pour me consacrer au moment présent. Je laisse aller ma main jusqu’à mon bas rein. Ma chatte est déjà mouillé. J’y glisse un doigt tandis que je ma deuxième main remonte jusqu’à ma poitrine pour jouer avec.
J’évite de croiser son regard mais ma curiosité est plus forte. Je le vois satisfait de ses ordres, de mon obéissance.
Il me laisse continuer, je me laisse de plus en plus aller. Le plaisir est là ne demandent qu’à s’accroître et à s’exprimer.
Il me demande alors :
« Stop. Descends et à genoux devant ton canapé.
– Mais …
– Obéis. »
Mon corps n’est pas du tout d’accord mais il reste mon maître et moi sa soumise. Je retire mes doigts, me relève et me mets à genoux attendant la suite.
Il se met debout, enlève son pantalon et son caleçon et s’approche de moi avec son sexe tout dur.
Il pénètre ma bouche et je commence à lui faire des vas-et-vient comme il adore. je joue avec ma langue. J’écoute son plaisir et m’adapte à lui.
Il aime mes fellations, c’est indéniable. Mais il adore aussi garder le contrôle. Il décide alors de se retirer et de s’éloigner de ma bouche.
Il me pousse m’obligeant à me positionner en levrette. Il va derrière moi et sans que je comprenne ce qu’il se passe, il me tape les fesses avec sa ceinture. L’effet est étrange comme toujours. Je ressens un mélange de plaisir et de souffrance. Mais le plaisir prend largement le pas :
« – Tu as oublié. Quand je t’ordonne, tu ne discutes pas et tu obéis de suite !»
Ainsi, c’est une punition. Je la subis en bonne chienne obéissante tout en y prenant du plaisir. Quand il juge ma punition suffisante, il me pénètre avec violence.
C’est l’une des positions que nous adorons tous les deux. Il en existe d’autres mais je pense que s’il ne le fait pas, je serais frustrée. Il aime se saisir de mes cheveux et décider si je dois avoir la tête relevée ou baisser.
Mon plaisir s’exprime de nouveau. Le sien aussi. Mais la frustration me gagne lorsqu’il se retire. Sans que j’ai eu le temps de comprendre, je me retrouve allongée sur le ventre sur mon canapé. Aucun doute possible sur la suite.
Il insère doucement son sexe dans mon cul et attends sa dilatation avant de le faire entrer en totalité. J’adore quand il me sodomise. Il va m’être difficile d’adorer cette pratique avec d’autres partenaires s’ils sont incapables de me donner un plaisir similaire.
Il me traite de bonne chienne de bonne salope. Je le reprends toujours en utilisant le pronom personnel « ta ». Il adore quand j’avoue mon appartenance.
Et pourtant, il décide de se retirer deux fois pour mieux me punir de nouveau avec la ceinture avant de posséder de nouveau mon cul me faisant crier de plaisir encore plus fort.
J’adore mon maître et je savoure chaque instant car je me doute que ce soir est peut-être la dernière séance. Il décide enfin de nous emmener tous deux jusqu’à la jouissance ultime : l’orgasme.
Il se retire doucement et prenons le temps de nous ressaisir :
« Nous n’aurions pas dû mais j’ai eu une pulsion et j’ai senti que toi aussi.
– J’en avais très envie également même si je savais que ce n’était pas une bonne idée.
– Je viendrais te voir si tu le veux bien mais je ne veux plus être ton maître.
– Je comprends. Ne t’inquiète pas. Même si la soumission va me manquer. »
En effet, il sors de chez moi et les semaines qui suivent, je suis une soumise sans sexe, sans maître.
La question qui reste en suspend est : est-ce que je vais pouvoir m’en passer ?
Blog de Lili Soumise
Blog de Lili Soumise – Une soumise BDSM raconte sa soumission
Est il possible de savoir pourquoi il a décidé d'arrêter ? Pourquoi abandonner une soumise en si bon chemin?
Il s'agit de raisons personnelles que je ne peux dévoiler