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Cet article est un pur fantasme mais que je pense ne jamais oser réaliser

En ce samedi soir, vers les 19H, j’ai envie de sortir. Je trouve 2 copines pour m’accompagner.

Seulement, je n’ai aucune envie de rentrer seule. Je mets une jupe longue mais qui est fendue sur quasiment tout le long de ma jambe accompagnée d’un haut mettant en valeur mon décolleté et mes formes. J’espère attirer l’attention.

Mais je ne suis pas la seule. Mes 2 copines s’e sont également mises en valeur. Nous nous retrouvons dans un bar en région parisienne proche de nos domiciles. C’est un bar qui peut donner l’opportunité de danser mais ce n’est pas pour tout de suite. Alors, nous commençons à boire un verre.

Nous n’attendons pas longtemps avant pour qu’on nous remarque. Mais nous savons une chose, si nous restons ensemble, aucun homme n’oserait nous approcher. J’en ai même observé un qui ne me lâche pas du regard. Sa tête me dit quelque chose mais je ne me souviens pas où j’ai pu le rencontrer. Surtout qu’il est plutôt bien constitué, séduisant. Il m’aurait marqué si je l’avais fréquenté.

Alors, nous décidons de nous lever l’une après l’autre pour commander directement au bar. J’y vais la première.

J’attends mon tour au comptoir quand cet homme que je ne connais pas m’aborde :

« Bonsoir Lili ?

– Mais d’où je vous connais ?

– Nous avons échangé il y a quelques mois sur un site libertin. Seulement, nous n’avons pas pu aboutir.

J’essaie de me souvenir mais c’est le genre de site où je suis inondée de messages même si au final, je n’ai parlé qu’avec quelques-uns.

– Ton pseudo m’aiderait.

– Maître J.

Je prends le temps de réfléchir. Et je me souviens. Je recherchais à cette époque un maître. Certains avaient répondu dont lui. je lui avais parlé de mon fantasme d’être dominée par un inconnu. Mais c’était une lubie qui m’était vite passée par peur certainement.

– Je me souviens. Tu es celui a qui tu voulais que j’obéisse pour me faire devenir littéralement une chose. Tu souhaiterais que je sois un repose pied nue avec des clochettes sur mes seins avec interdiction de bouger.

– Tu as une bonne mémoire. En tout cas si tu veux être mienne, je veux dire mon entière esclave, voici ma carte. Dès que tu m’enverras un texto, tu m’appartiendras. »

Il me tend sa carte et se permet de m’offrir le verre.

J’avais été sur des sites libertins en prenant garde de ne jamais donner mon vrai prénom ni informations personnelles. Quelques rares exceptions avaient eu droit à des photos de mon visage. mais jamais au grand jamais, je n’aurais osé imaginé les rencontrer en réel dans un bar lambda.

Je reviens à la table avec mes copines troublée. Je n’arrête pas de réfléchir à sa proposition. J’ai envie d’être dominée, mon envie est présente. J’ai aussi envie de tendresse. Un maître n’en donne pas forcément à sa chienne. Rien qu’à son regard, je sens son envie de me dominer, me maltraiter, me faire devenir sa chose. Et le pire, c’est que plus le temps passe, plus je me sens sienne. Mais oserais-je ? Il est avec des potes à lui et j’ignore s’ils connaissent les pratiques de ce maître.

De toute façon, je me connais. J’ai très envie, je vais me torturer l’esprit alors qu’au fond de moi, je sais que j’aurais perdu du temps., celui pour de la domination et du plaisir.

Alors je prends mon téléphone et je réfléchis au texto que je vais lui envoyer :

 « Maître, j’accepte de vous appartenir pour la nuit. J’obéirais à tous vos ordres et accepterais toute punition avec fierté. Vous serait-il possible de m’accorder de la tendresse en cas de récompense ?

Votre esclave dévouée. »

Je le scrute pour voir son visage en lisant mon message. Je vois un sourire de victoire. Il me répond dans la minute :

« Tu n’as pas le droit de réclamer quoique ce soit ! Tu dois me vouvoyer et m’obéir. Dis tout de suite au revoir à tes copines. Attends-moi devant la porte. Tu as 5 mn chrono ! Si tu dépasses ne serait-ce que d’une seconde, tu seras punie ! »

Je m’exécute promptement. Je dis au revoir à mes copines qui sont en train de draguer. Je sors et attends devant la porte. Je suis à la fois excitée par la décision folle que je viens de prendre. Mais également une once de peur de donner ainsi ma liberté à un homme que je ne connais pas.

Il met peu de temps à arriver :

« C’est bien, esclave. Suis-moi. »

Il me conduit à sa voiture. D’instinct, j’ouvre la porte. Mais j’eus droit à :

« Tu es une esclave. Tu ne dois rien faire ni rien dire sans ordre. Qui t’a permis d’ouvrir la portière ?

– Personne maître.

– Une fois arrivés, tu seras fouettée.

– Avec plaisir maître.

– Installe-toi dans la voiture. »

Je lui obéis. Comme il m’ordonne de soulever ma jupe et de me caresser pendant le trajet. Je dois aller au rythme qu’il me donne et apprécie les gémissements qui me viennent.

On arrive devant une grande maison. Il laisse la voiture devant la porte du garage. Il coupe le moteur et en descend. Je ne bouge pas. J’ai déjà une punition, je n’en veux pas une deuxième.

Il entre dans sa maison et ferme la porte. Je reste dans la voiture sans bouger en me demandant bien ce qu’il traficote. Mais je suis une esclave sans le droit de bouger sans ordre. Plusieurs minutes passent avant qu’il ne ressorte et m’ouvre la portière :

« Je suis fier de toi. Tu n’as pas bougé de la voiture. Je n’étais pas prêt à te recevoir, j’ai dû faire quelques petites choses avant de pouvoir t’accueillir. Voici les ordres. Tu sors de la voiture. Tu rentres dans la maison. Je te veux nue et à quatre pattes. Interdiction de marcher autrement sans que je te le permette.

– Bien maître. »

Je fais ce qu’il attend de moi. Je rentre dans sa maison. Je pose mon sac, me mets nue et à quatre pattes, je le fais sous son observation :

« Tu en as de belles formes. »

Il me mdt une laisse autour de cou. Il m’emmène tel un animal de compagnie dans le salon. Il a sorti des accessoires de sado masochiste. Il me met au milieu du salon et me dit :

« A ton avis, combien de coups de fouets mérites tu pour ta punition ?

Je ne le connais pas et ignore ce qu’il attend comme nombre. Je me hasarde :

– 10, maître.

– Tu en auras 20. »

Il prend le fouet et commença à me fouetter sur les fesses, le dos, les parties intimes. il sent mon plaisir monter car même si cela fait mal, je fais sortir des gémissements de plaisir.

Je n’arrive plus à compter et subis sans broncher.

D’un coup sans crier gare, il m’insère un gode dans mon intimité. Il s’approche de moi et me dit :

« Mets toi à genoux !

Je lui obéis. Il s’agenouille et prit un moment pour caresser mes seins et les lécher jusqu’à ce qu’il les baffe :

– Comment oses-tu m’amadouer ? Ce n’est pas pour tout de suite. Je veux vérifier ta docilité !

Il se lève, va chercher un objet et me mets des pinces tétons avec clochette.

  – A 4 pattes !

J’obéis. il prend la laisse et m’emmène ainsi près de son canapé :

-Ne bouge plus. A partir de maintenant, je ne veux rien entendre !

Il s’installe sur son canapé, alluma le gode vibrant et pose ses pieds sur moi.

C’était intenable ! Le gode me donne du plaisir qui provoque l’envie de bouger et de gémir.

Mais si je me laisse aller, je serais punie ! J’essaie de tenir bon jusqu’à ce qu’une clochette retentit :

– Qu’ai-je dit ?

– De ne pas faire de bruit !

– Et qu’est ce que j’ai entendu ?

– Une clochette, maître, dis-je en gémissant. Veuillez me pardonner.

– Tu crois que je suis indulgent ?

– Je ne sais pas maître !

– Je vais le formuler autrement, mérites-tu une punition ?

– Oui maître !

– Et arrêtes de gémir !

– Oui maître. »

J’essaie de reprendre mon calme et de ne pas bouger. Mais impossible.

Il se lève d’un coup. Il tire sur la laisse. J’en perds le gode que j’avais eu bien du mal à conserver.

Il m’attache les mains de manière qu’elles soient écartées. Il prend un autre gode et me le mit dans le derrière.

Il va chercher un autre objet et commence à me taper les fesses avec. Impossible de bouger. Le gode dans le derrière me procure du plaisir d’autant plus à chaque coup qu’il me donne.

– Alors esclave, tu oses me désobéir !

– Pardon maître !

– A qui appartiens-tu ?

– A vous maître !

Il continue de se délester sur moi pour mon plus grand plaisir. Une fois qu’il en a terminé, il me laisse ainsi. J’ignore le temps qu’il me laisse mais cela me paraît une éternité. Je me sens humiliée d’être traitée et torturée ainsi. Je ne me sens plus femme.

Quand il juge ma punition suffisante, il me détache. Alors je me recroqueville à quatre pattes comme une chienne blessée. Sans rien dire, il prend la laisse et m’emmène cette fois dans sa chambre. Il me ligote de manière que je ne puisse pas bouger. Il me pénètre dans mes 2 trous en alternant l’un et l’autre. Par moment, j’ai un gode et lui dans le 2ème.

Par moment, il se souvient qu’il peut faire de moi ce qu’il veut et pour me rappeler que je ne suis rien, j’ai droit à des coups de fouet ou à des fessées. Il m’insulte et je dois sans cesse dire quelle bonne chienne je suis.

Parfois, il me détache les mains pour les mettre dans mon dos. Par moment, il me retourne pour mieux jouer et martyriser mes seins ou voir mon regard quand il me prend.

Il m’a fait découvrir nombre de sensations mais jamais je n’ai été à ce point humiliée. Ce que j’ignore, c’est qu’il allait pousser le vice plus loin.

Quand il en a terminé, il me dit : « Lèves toi. tu as le droit de marcher debout. »

Il se saisit quand même de la laisse et m’emmène à un étage, dans ce qui semble être une chambre et me dit : « Voici ta chambre. »

Il ouvre la porte et je vis une paillasse à l’intérieur d’une cage.

« Pour cette première je ne vais attacher que la laisse. Entre dans la cage. »

 Pour ce faire, je me mets à 4 pattes et attends à l’intérieur.

« Allonges toi dans la position qui te conviens. »

Je m’allonge en repliant les jambes car elles ne tiennent pas en long. Il attache la laisse à un barreau en me laissant du mou pour que je puisse bouger.

« – Je ne t’attache pas les mains. Mais je t’interdis de te libérer de ta chaîne et de la cage. Bonne nuit esclave.

– Merci maître pour ce doux traitement. Bonne nuit à vous. »

Il me laisse ainsi en ayant pris soin de prendre quelques photos de moi. J’essaie de dormir comme je peux mais la nuit est bien sûr très longue pour moi. Je somnole quand mon maître entre dans ma chambre le lendemain matin.

Il pose soigneusement mes vêtements à terre. Il me libère. Il m’aida à me mettre debout et me dit :

 « Tu es une très bonne esclave. Mais je suis aussi respectueux de ta volonté. J’ai très envie de toi mais seulement si tu en as envie. Et à toi de décider si tu me désires en tant que femme ou esclave.

Il est vrai que j’en ai très envie. il m’a montré ce que c’est qu’une esclave mais j’ai aussi besoin de tendresse alors je réponds :

« – J’ai pris beaucoup de plaisir à être votre esclave mais j’aimerais que vous me preniez en tant que femme.

– J’espèrais que tu dises cela. »

Pour la première fois, il m’embrasse et me prend dans ses bras. il m’emmène comme son égale dans sa chambre. Il me libère des pinces tétons et de mon collier que j’ai fini par oublier. il me caresse comme je le caresse. Je lui offre une fellation pendant qu’il me lèche. Au moment opportun, je me mets sur lui. L’une des positions qui m’aide à l’orgasme.

Quand nous en avons terminé, il me prend dans ses bras le temps de s’en remettre. Ensuite, nous prenons chacun notre tour une douche et je m’habille. Nous parlons de cette expérience inédite.

Il me raccompagne au bar de la veille et me dit :

« Tu es une bonne esclave. Si l’envie te reprend, je suis ton maître. »

Et il redémarre. Il me laisse ainsi et je dois avouer que me retrouver dans cette réalité me fait me demander si cette expérience a réellement eu lieu. Et comme s’il a deviné mes pensées, je reçois plusieurs photos me montrant à quel point j’ai été humiliée.

J’ai bien vécu ce moment (du moins en fantasme) !

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2 commentaire

  1. Moi aussi j ai se fantasme que j aimerai realiser

  2. J’ignore si j’en suis réellement capable. Même si je me suis laissée dominer par 2 hommes que je ne connaissais pas mais pas à ce point par manque de temps et parce que je ne les ai pas revu finalement.

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