Lili en Bonne

Pour ce samedi après midi, j’ai reçu les ordres suivants concernant ma tenue :

  • la tenue de soubrette sexy
  • les entraves aux poignets
  • le collier bitch
  • le rosebud qui se termine par une queue
  • le gode noir à disposition
  • le wand à disposition

Monsieur arrive et comme à son habitude, il me prend dans ses bras avant d’accrocher la laisse à mon collier.

 » Vas chercher un coussin »

Il me laisse aller chercher un coussin avant de revenir à lui. Monsieur tient la laisse fermement et m’emmène dans mon salon. A son regard, je comprends que je dois poser le coussin à terre près d »une chaise et je dois m’agenouiller.

Monsieur s’installe sur la chaise. Il me regarde et je crois que me voir ainsi lui plaît énormément. il libère mes seins, tire sur la laisse pour m’embrasse. Il caresse mes tétons à l’air. Il me fait écarter les jambes et glisse un doigt et constate combien je suis humide. Il me demande d’aller faire chauffer de l’eau.

Je me relève, vais dans ma cuisine, remplis la bouilloire et reviens à ma place. Il me fait de nouveau écarter les jambes et me demande de mettre les mains derrière la tête. Il me branle un petit peu et est satisfait.

Il s’arrête et m’ordonne alors de lui enlever ses chaussures et ses chaussettes. Vient ensuite les baisers sur son pied tandis que je sens des fessées quand ses doigts ne sont pas en moi. Il me demande d’embrasser le deuxième et m’applique du mieux que je peux.

L’eau est prête. Je me relève, sors une tasse, vais chercher l’eau et lui remplis sa tasse. Je reviens à ma place, à genoux sur le coussin à côté de Monsieur.

Je crois que la situation le dépasse, il a trop envie de moi. Il prend la laisse et m’emmène dans ma chambre où la wand et le gode noir sont présents et bien visibles.

Monsieur me demande de m’installer confortablement. il m’embrasse, prend en bouche mes seins et descends jusqu’à mon intimité qu’il s’empresse de dévorer. Je sens sa langue au fond de moi, quand elle ne bouge pas vite de bas en haut ou de gauche à droite. J’inore comment il s’y prend mais je sais qu’il change de technique pour me donner du plaisir. Car bien évidemment, je ne gémis pas, je crie. Ces derniers sont puissants intenses et correspondent à la jouissance qui m’accompagne. Car bien évidemment quand une vient, Monsieur ralentit mais continue jusqu’à ce que mon plaisir s’exprime de nouveau. Je le sens au plus profond de moi.

Mais bien évidemment, cela ne suffit pas, Monsieur me mord le haut de la cuisse, mes lèvres avant de me dévorer toute crue. Bien sûr, j’aimerais ne pas réagir car c’est une vraie torture de plaisir pour moi. Je sais que je ne dois pas bouger mais par moment, je suis obligée de bouger mes mains. Car quand le plaisir devient trop puissant, trop intense, j’ai envie de lui échapper mais je résiste, je prends sur moi.

Monsieur s’arrête de nouveau mais bien sûr cela ne s’arrête pas à cela. Monsieur s’empare du wand, ce jouet infernal que je n’aurais jamais dû me procurer. Il le met sur le haut de mes cuisses et fait le tour de mon intimité. Bien sûr quand il s’approche de mon clitoris, je hurle à la fois de surprise et de plaisir.

Mais bien sûr, tout cela avant qu’il le pose sur mon clitoris. Pas de doute, je suis clitoridienne. D’autant que je sens la chaleur de ce jouet qui n’arrange rien à ma situation de soumise. J’ai beau ne pas essayer de bouger, je sens que cela va devenir insupportable. Je commence à répéter sans cesse :  » Je ne peux pas. » mais Monsieur ne m’écoute pas. Alors j’essaie de fuir. Monsieur s’arrête.

Mais bien évidemment, c’est pour mieux bloquer mes jambes et rejouer avec le wand. Je bouge quand même en demandant à ce que cela s’arrête. Monsieur finit par m’écouter avant de venir à côté de moi et de me prendre dans ses bras.

Que c’est agréable, nous parlons de choses et d’autres, avant que Monsieur ne veuille rejouer avec moi. Il recommence sauf que cette fois, il titille et sensibilise drôlement mes tétons. il tape sur ma chatte devenue sensible. Et ce, à tel point que rien le fait qu’il souffle dessus, cela me fait effet.

Lui vient alors une idée que j’ai détesté. Il me bloque les jambes. Ce qui n’est jamais bon signe et cette fois, Monsieur joue avec le gode noir. La pénétration me manque, aucun doute là-dessus et je l’accueille volontiers.

Seulement, Monsieur a une autre idée. Je rappelle que j’ai toujour le rosebud en forme de queue dans mon cul, j’ai le gode dans ma chatte, comme cela ne suffit pas. Monsieur y ajoute le wand. Impossible. Au départ, je reste immobile mais au bout de quelques secondes, je ne tiens plus. j’essaie d’échapper, je demande à ce que cela s’arrête. Monsieur, comme toujours continue quelques secondes avant d’arrêter.

Je sais pourquoi il le fait, il veut que je dépasse mes limites. Il me laisse reprendre mes esprits car j’avoue que dans ces moments, j’ignore où part mon esprit mais il n’est plus là, je suis ailleurs.

Nous retournons au salon et il m’autorise à enlever ma queue. Cette fois, j’ai le droit de m’asseoir sur une chaise. Comprenant que nous discutons et que nous ne reprendrons pas nos jeux, je me libère peu à peu de mes accessoires…

C’est aussi un moment que j’apprécie, nos discussions. Je peux parler de tout avec lui et il a du répondant, son avis, ses goûts mais jamais au grand jamais il ne me juge. Ces moments-là, cela me rappelle combien je me sens seule dans les autres moments de ma vie. J ‘ai un ami qui m’appelle quasiment tous les soirs mais ce n’est pas pareil que d’avoir quelqu’un en face de soi avec qui partager des moments en réel.

Monsieur part et je décide de faire une sieste car j’ai une soirée le soir. Oui, je continue car pour une fois, j’ai envie de vous raconter comment la vie peut être surprenante. A cette soirée, se trouve un homme intéressé par moi mais cela n’est pas réciproque. Il y en a un autre dont je me demande si je ne l’intéresse pas et je ne serais pas contre. 2 autres personnes avec qui j’ai bien rigolé. Cela a été une soirée sympa et à mon grand dam mais ce qui arrive tout le temps, je rentre seule.

Mais voilà, mon sexfriend me contacte. Bien qu’il connaisse l’existence de Monsieur (Monsieur connaît également son existence), il n’est pas au courant de ce qui s’est passé l’après midi. A la base, nous ne devons que dormir ensemble. mais voilà, je ne peux jamais rester sage avec lui. Alors nous voilà partis pour essayer plusieurs positions du kamasutra comme la levrette, moi en cavalière sur lui, lui sur moi mais il me relève une jambe voire le deux autour de son cou. On a essayé la sodomie mais mon corps a refusé. Ce que lui ne sait pas, c’est que dès qu’il touche mes tétons oudè qu’il me pénètre ou que je sens ses couilles me cogner en levrette, c’est que je hurle de plaisir car mon corps entier est hypra sensible. Monsieur le rend toujours sensible et il me faut plusieurs heures avant de me remettre.

Par contre, c’est clair mes cris, mes hurlements n’ont plus rien à voir avec ceux que j’exprimais au début de notre relation sexuelle. Mais le remarque-t-il ? Dans tous les cas, c’est toujours agréable quand un homme éjacule en moi.

Nous pouvons nous reposer. Bien que d’habitude, nous recommençons la nuit ou le matin, cela n’a pas été le cas.

Mais qui aurait pu croire que en une journée, je verrais Monsieur, un homme à qui j’ai mis un vent, un homme qui, je pense, s’intéresse à moi et je finis avec mon sexfriend ?

Alors, bien sûr des journées comme celles-ci sont rares mais agréables…

4.8/5 - (5 votes)

Vous pourriez aussi aimer...

1 commentaire

Répondre à Lili SoumiseAnnuler la réponse.