La séance précédente que j’avais eu m’avait donné du plaisir mais je suis toujours en chaleur.
Ma volonté n’est pas que ce soit du one shot ou de multiplier les maîtres, seulement un 2ème potentiel maître m’a convaincu et je suis donc allée chez lui.
Il me retrouve à ma voiture où il a pu constater ma mini jupe ainsi qu’un haut bien décolleté camouflé par un gilet pour éviter les regards des autres dans la rue. Nous marchons jusqu’à chez lui.
Dans l’ascenseur, il s’approche, déboutonne mon gilet pour admirer le décolleté qui dévoile une bonne partie de ma poitrine.
Il me fait entrer. A peine rentrée et déposée les affaires, il me met un collier autour du cou :
« A partir de maintenant, tu es ma chienne.
– Bien monsieur
– A genoux.
J’obéis sans hésitation.
– Je veux vérifier que si tu es bonne suceuse et une bonne chienne.
Je prends en bouche sa queue qui est délicieuse. J’adore l’avoir en bouche. Je fais des va-et-vient quand je le sens, j’essaie de faire des gorges profondes. Quand elle est bien enfoncée, je le laisse définir son rythme. Je veux qu’il soit fier et satisfait de moi. Je continue ainsi jusqu’à son éjaculation.
Pour la suite, malheureusement, nous n’avons que peu de temps mais il est hors de question que la séance se termine sans qu’il me goûte. Il me fait mettre les mains sur son lit, j’écarte les jambes. C’est ainsi qu’avec un fouet, ses mains et une cravache, il commence à me fesser. Tout en me traitant de chienne, que je ne mérite que cela…
A chaque fessée, je gémis de plaisir. D’autant qu’il caresse chacune de mes fesses ainsi que mon intimité avant chaque coup, je ne peux jamais savoir quand il va le faire ni l’objet qu’il utilisera. Par moment, je le suce tout en étant ainsi punie.
J’ignorais que cela soit possible mais s’il avait continué plus longtemps, je pense que j’aurais pu avoir un orgasme.
Il s’arrête lorsqu’il juge que mes fesses sont suffisamment rouges pour lui.
Mais hHors de question de s’arrêter là, sans crier gare, il me doigte. Je réagis instantanément. Un plaisir immense me submerge à ce moment-là.
J’ai un collier à mon cou, je suis à ses ordres et il a le droit de faire ce qu’il veut de moi. Que demander de plus ?
Il continue jusqu’à ce que l’orgasme n’arrive. En général quand ce dernier s’approche, je demande une pause car j’ai du mal à continuer mais je me doute que cela déplairait à mon maître, je le laisse continuer. Sentant que j’y reprendrais moins de plaisirs, la séance de fessées reprend pour mon plus grand plaisir.
Sans que je m’y attende il s’arrête et décide d’ insérer son sexe dur dans mon intimité. Je sens sa volonté via ses coups de rein de vouloir me faire hurler de plaisir. Je ne veux plus que cela s’arrête. Je veux encore être à sa merci, je veux encore du plaisir. Seulement, nos deux corps décident du moment de l’orgasme mettant fin à la séance.
Je me rhabille et me dépêche de rentrer à cause d’un impératif que j’ai.
Toutefois, je meurs de chaud, j’ai le sourire qui en dit long sur le plaisir que je viens de prendre. J’ai bien du mal à m’en remettre.
Mais au moins mon corps a eu ce qu’il réclame depuis des jours. La chienne en chaleur que je suis peut enfin se calmer.
