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Avec mon maître, nous nous enfonçons de plus en plus dans le BDSM. Nous en sommes arrivés où je devais répondre aux envies de mon maître quel que soit le jour et  la nuit.

Alors qu’il est minuit, il m’envoie un texto.

Je me dépêche de m’exécuter. Hors de question de le faire attendre. Mon sac est rapidement fait. J’attrape une brosse à dent, de quoi prendre une douche, un pantalon, un T-shirt, des sous-vêtements et une chemise de nuit.

Quant à ma tenue, je prends plus de temps. Quelle robe pourrait lui convenir ? Je finis par choisir une robe rouge la plus provocante que j’avais. Elle a un décolleté plus qu’outrancier qui cache à peine mes seins et qui se termine par une minijupe. Bien évidemment aucun sous vêtement. Cela aurait été une insulte à mon maître.

Je décide de mettre un gilet par-dessus pour que dans la rue, mon décolleté ne soit pas visible. A peine prête qu’il me sonne. Ni une ni deux, je prends mon sac et descends.

Je monte dans la voiture tout en défaisant la fermeture éclair de mon gilet pour vérifier la satisfaction de mon maître concernant ma tenue.

Il me regarde de haut en bas et a l’air content de moi. J’en ai la confirmation lorsque pendant qu’il conduit, il me doigte. Il veut profiter de la situation.  Je remarque qu’il fait des détours pour pouvoir me caresser plus longtemps.

Il s’arrête de temps à autre pour m’embrasser avec fougue tout en révélant mes seins pour mieux les caresser. Il me fait aussi sucer ses doigts. Ceux qui ont mon fluide bien évidemment.

Il a bien remarqué qu’en position passagère, je ne peux guère bouger. Il en profite un maximum jusqu’à ce qu’il décide de me ramener chez lui. J’ignore le temps que nous avons passé dans sa voiture mais je suis déjà folle de désir.

Je sais également que cette nuit, il me voudrait sienne toute entière. Et j’ai bien l’intention de le satisfaire de mon mieux.

Nous descendons de voiture. Il m’ouvre la porte et je monte les escaliers devant lui. Les escaliers sont compliqués pour moi à monter. Il ne cesse de balader sa main entre mes fesses et ma chatte. Seulement, interdiction de m’arrêter, je n’en ai pas reçu l’ordre.

C’est tant bien que mal que j’arrive au niveau de la porte de son appartement attendant impatiemment qu’il ouvre la porte pour que je lui saute dessus.

A peine rentrés, les chaussures sont vite enlevées, mes sacs posés, qu’il me colle dos au mur tandis qu’il m’embrasse avec fougue tout en me caressant avec ses mains. Je suis tellement inondée de plaisir que je ne sais plus ce que je fais. J’ai l’impression de sentir ses mains partout sur et dans mon corps. Il descend sa bouche pour mieux me mordre le cou tel un vampire. Il sait combien j’adore cela et combien cela me rend folle de plaisir. Il abaisse très vite ma robe dévoilant ma nudité qu’il commence à connaître sur le bout des doigts mais dont il ne se lasse pas.

Il appuie sur ma tête pour mieux m’agenouiller. Il abaisse en un éclair son pantalon et son caleçon et me fait mettre en gorge profonde son sexe déjà tout dur. J’adore l’avoir dans ma bouche et connaissant ses goûts en la matière, je m’attelle pour le satisfaire du mieux que je peux.

Bien que cette pratique n’apporte concrètement de plaisir qu’à mon maître, le lui faire me fait mouiller. Cela m’excite de l’entendre prendre du plaisir en me faisant devenir sa chienne. Sans que je m’y attende, il s’arrête et m’ordonne :

« Allonge-toi sur le ventre ! »

Je ne me fais pas prier. Il prend le temps de libérer sa ceinture de son pantalon.

Il me fait patienter quelques secondes. Je sais ce qui m’attend mais j’ignore toujours quand, ce qui m’excite d’autant plus.

Il frappe plusieurs fois chacune sur mes fesses avec grande vigueur. Même si cela fait mal et que mes fesses sont bien rouges, j’adore cette pratique.

Cela ne fait que confirmer qu’une chose : il est mon maître et je suis sa chienne qui doit lui obéir au doigt et à l’œil.

Après les coups, il me fait de nouveau patienter. Il adore prendre son temps et savourer mon avilissement total. Lui debout, moi allongée par terre avec mes fesses quelque peu endolories.

Cette situation ne dure jamais bien longtemps. Cela l’excite bien trop. Je l’entends qui s’agenouille et sens sa queue qui pénètre avec force mon derrière. Je réagis immédiatement avec des gémissements et ma tête qui se relève.

J’adore ses sodomies, j’en suis folle. Réduite à l’humiliation la plus totale, cela m’excite d’autant plus. Cela ne l’empêche pas de me tirer les cheveux pour mieux relever la tête.

Pour me rappeler qui je suis, il s’arrête alors que ma jouissance n’allait pas tarder à arriver. Il se relève. Je n’ose bouger. Je veux être une chienne obéissante. Il me relève en me tirant les cheveux et m’entraîne ainsi dans sa chambre.

C’est sans ménagement qu’il me jette sur le lit et me reprend de suite mon derrière. Il en profite pour m’embrasser ou me mordre le cou. Par moment, il me bâillonne avec sa main. A d’autres moments, il me fait sucer ses doigts.

Quand ma bouche est libre, je ne cesse de lui répéter combien je lui appartiens et combien je veux être une bonne chienne.

Quant à lui, il m’avilis avec ses mots en me traitant de salope, de pute, de chienne. Je rectifie toujours en rajoutant le pronom « Ta »

Cette fois-là, il ne vas pas plus loin en me disant :

« Tu es à moi ! Je t’interdis que d’autres te touchent

– Oui maître. Mon corps n’est qu’à toi et seul toi peut en disposer. »

Il décide pour en terminer de me retourner et de prendre ma chatte. J’ai les pieds relevés comme toujours et nous finissons par prendre une jouissance commune. Je ne compte jamais les orgasmes que je prends avec lui mais c’est certain qu’il y en a plusieurs. Il sait s’y prendre avec moi.

C’est toujours tellement intense que nous avons toujours du mal à reprendre notre souffle. Il est toutefois tard et ce fut exceptionnel que nous nous endormons sans avoir pris la peine de discuter.

Toutefois, je suis à lui pour la nuit. Je me dois être à sa disposition quand il le décide. Je me réveille quelques heures plus tard en sentant sa main sur ventre qui descend lentement vers mon bas ventre. Pour lui faire comprendre qu’il peut disposer de moi, je me rapproche de lui et installe mon corps de manière à ce que son sexe soit le plus près de mes fesses.

Il me doigte d’autant plus jusqu’à ce que les premiers gémissements arrivent. Ni une ni deux, il grimpe sur moi pendant que j’entoure sa taille avec mes jambes. Il me donne de violents coups de reins comme je les aime.

Je vois à son regard que lui aussi prend un grand plaisir. Il aime être sur moi que ce soit dans un sens ou dans un autre. J’adore ses coups de reins qui me font réagir agréablement.

J’adore qu’il prenne mes seins ou qu’il s’appuie sur mes mains. Je m’adapte à lui et à force, nous trouvons nos positions que nous aimons tous les deux et qui, bien évidemment, nous fait amener à nos jouissances ultimes.

Après avoir eu son orgasme, il se retire. Nous nous allongeons l’un à côté de l’autre.

Finalement nous nous rendormons pour quelques heures avant que chacun ne reprenne une vie normale.

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