Lili Soumise avec collier bitch

Vendredi soir arrive, j’ai bien reçu les ordres : Un haut décolleté, une jupe, pas de sous-vêtement, mon collier « Bitch » et le rosebud en place.

L’heure s’approche et pourtant l’appréhension pointe le bout de son nez. Je sais que Monsieur souhaite m’emmener à l’extérieur pour jouer avec moi et qui sait, avec un voyeur.

J’essaie de ne rien imaginer, de me concentrer sur ma préparation. Je fais en sorte que cela soit de la dernière minute pour justement éviter de vouloir faire machine arrière ou que la peur ne s’installe.

Peu importe, à peine prête, un message de Monsieur tombe : « Je suis en bas de chez toi dans 5 mn. »

J’ai le temps de filer une dernière fois aux toilettes (chaque séance me donne un coup de stress et j’y vais une bonne dizaine de fois avantt), je prends un foulard pour cacher mon collier, mes sacs (mon sac à main et mon sac à malices) et me voilà en bas.

Monsieur est déjà là dans la voiture en train d’attendre. Quand il me voit, il sort précipitamment de sa voiture.

Je crois que je ne m’y ferais jamais à sa galanterie. C’est devenue une valeur tellement rare et que j’ai rencontré trop peu souvent même avec des hommes avec lesquels j’ai pu avoir une histoire.

Il s’approche de moi et me prends dans ses bras. Il m’écarte, prend mes sacs pour les mettre à l’arrière et savoure le décolleté que je lui offre.

Pour une fois, ce n’est pas le fameux haut rose. Ayant la possibilité, j’ai fait un peu de shopping.

Il n’hésite pas non plus à les caresser avec un doigt ou même écarter mon haut pour mieux profiter de mes seins.

« Dommage qu’il y ait trop de monde. »

Je sais qu’il adore me voir à 4 pattes sur sa banquette arrière. Mais il est vrai que je le considère comme une victoire personnelle quand l’occasion ne peut se faire.

Il m’ouvre la portière. Seulement, est-ce qu’il se contente de me voir m’installer avec la jupe relevée ? Ce serait très mal le connaître. Il m’embrasse et mets un doigt dans mon intimité pour vérifier ce dont il était sûr : ma chatte est humide.

Ayant profité du spectacle, il est temps de nous rendre dans le premier lieu : les étangs dans lesquels il m’avait déjà emmené et où se rendaient les gays mais aussi apparemment des couples échangistes.

Pendant le trajet, comme à notre habitude, nous parlons de choses et d’autres mais j’avoue que Twitter est un sujet qui revient assez régulièrement. Bien que nous parlons des pseudos qui nous dérangent, nous parlons aussi de ceux que nous apprécions. En général, nous sommes plutôt d’accord.

Notre discussion va beau train lorsque Monsieur me it :

« – Regarde devant.

Nous sommes alors sur la file de gauche sur une route parsemée de feux tricolores. Pas très loin devant nous, sur la file de droite, se trouve un camion. Je comprends de suite l’idée de Monsieur.

– Il est loin devant.

– Ne t’inquiète pas, je vais le doubler. »

Lorsque le feu passe au vert, Monsieur rattrape effectivement le camion. En étant au niveau du camion, Monsieur ralentit et prends le temps de me doigter. Ma curiosité l’emporte, je lève la tête. Le camionneur baisse la tête et voit le spectacle qui s’offre à lui.

Au feu suivant, devenu rouge sinon ce ne serait pas drôle, le camion s’arrête légèrement derrière nous. Pourtant, Monsieur s’en donne à cœur joie de me doigter mais pour moi, le camionneur ne voit rien.

Au feu vert, Monsieur récupère sa main et avance, s’éloignant alors du camionneur :

« – Le camion était en arrière, il n’a rien dû voir.

– En réalité, il s’est mis exactement là ou il le devait pour tout voir. »

Il m’explique alors qu’il a connu des camionneurs qui l’ont informé de la constituion d’un camion et de la manière dont ils se positionnaient pour profiter de la vue qu’ils pouvaient obtenir de la part de certaines passagères. C’est vrai que je dis dit passagères mais il peut aussi s’agir de passager vu qu’il existe des camionneurs femmes. Et de nos jours, les camionneurs peuvent aussi être gays.

Dès lors que Monsieur me disait qu’un voyeur nous avait vu, la gêne monta. Seulement, vu que cela était déjà dans le passé, cette gêne était amoindrie.

Peu importe, le parking des étangs était devant nous. Lorsque nous sommes arrivés, un cycliste vint à contre sens. Lorsqu’il vit mon décolleté, avec Monsieur, nous avons compris qu’il faisait le tour du parking pour nous attendre.

Ma timidité reprit le dessus. D’autant que sur le parking, nous étions bien loin d’être les seuls à être présents dans cette forêt.

Monsieur me fait comprendre qu’il a la laisse sur lui, prend ma main et nous dirige vers les étangs :

« – Monsieur, il est l’heure de manger. Nous devrions peut être aller dîner.

– Nous avons le temps. Nous irons après.

– Je suis sûre que ton estomac dit le contraire.

– Oserais-tu prétendre que je mens ?

– Non Monsieur.

– Tu sais ce qui t’attends si tu insistes ?

– Oui Monsieur. »

Je sais que Monsieur aime quand j’essaie de me défiler même si c’est peine perdue. Je sais aussi qu’il ne faut pas que j’insiste de trop au risque de casser le jeu. Sur ce, je n’ose plus trop rien dire.

De toute façon, je m’aperçois que nous nous approchons du fameux banc de la dernière fois. J’ignore ce qu’il m’attend. Et pourtant, quand mon dos est face au banc, je m’attends à ce qu’il me fasse m’asseoir.

« – Il est temps que je te mette la laisse.

C’est en me regardant droit dans les yeux qu’il écarte mon foulard et installe ladite laisse.

– Allez viens chienne. Nous allons nous éloigner. »

Nous sortons alors du sentier principal pour nous enfoncer dans la forêt. Enfoncer est un bien grand mot car nous sommes largement visibles et si je gémis comme je le fais à l’hôtel, un passant ne pourra que trop bien l’entendre.

Il m’installe devant l’arbre. Mille pensées me traversent. Je mets une main dessus mais n’arrivant pas à me résoudre de m’appuyer dessus, non pas par envie mais parce qu’une part de moi ne le voulait pas. J’attendais.

Il me retourne, pince fortement mes tétons et me retourne :

« -Appuies toi sur l’arbre. »

J’obéis sans hésitation, il me fait cambrer. il soulève ma jupe et commence à me fesser avec la laisse. J’y prends beaucoup de plaisir mais je ne peux m’empêcher de scruter le sentier principal pour savoir si je pouvais gémir et surtout pour vérifier que personne n’était présent.

Au bout de quelques minutes, Monsieur me doigte. Je sens la jouissance qui monte. Une lutte intérieure commence alors : « J’ai envie de gémir. mon corps ne réclame que cela. Mais un voyeur peut nous voir. Essaie de résister. Mais si je résiste, Monsieur m’a expliqué que cela pouvait faire mal. Allez, laisse-toi faire. De toute façon Monsieur ne s’arrêtera pas tant que cela ne sera pas fait. »

Je me laisse aller mais je contrôle mes gémissements même si je n’ai pas pu m’empêcher d’en laisser sortir un ou 2. Monsieur me fait couler une première fois.

Vous l’ai-je dit que mon corps est insatiable ? A peine coulée que mon corps en redemandait. Monsieur adore mon corps entre autre pour cela. Il continue alors. J’ose un coup d’œil sur le sentier et je m’aperçois qu’un homme s’y trouve.

Au premier abord, je suis rassurée, il continue son chemin. Seulement, il hésite, il s’arrête au niveau du banc avant de s’approcher de nous. Je le fais remarquer à Monsieur, bien que je sache que lui aussi scrutait le sentier.

Cela n’empêche absolument pas Monsieur de continuer de me branler bien au contraire.

Lorsque cet homme commence à s’approcher de nous, Monsieur lui dit :

« Que mater. »

Il hoche de la tête. Monsieur continue de me branler. J’éprouve alors une gêne de sentir ma jouissance monter qui n(a qu’une envie de s’exprimer. Seulement, je n’ose pas le faire devant le voyeur.

D’autant qu’il s’est approché très près de nous. Monsieur, libère mes seins, joue avec eux devant ce voyeur. j’évite le regard de ce dernier, je n’arrive pas à le supporter. Non pas que je ressens de la peur ou tout autre sentiment négatif. Seulement, je n’y arrive pas. J’essaie d’exprimer ma jouissance puisque je ne pourrais pas l’empêcher tout en l’amoindrissant un maximum.

Lorsque je croise le regard du voyeur, je sens son intensité sur moi. Une intensité qui exprimait qu’il regardait un spectacle bien plaisant.

Monsieur ne se faisait pas prier. Ayant perdue toute concentration sur ce que je subissais à ce moment-là, je ne retins que le fait que le voyeur avait vu Monsieur jouer avec mes seins, m’avait branlé et m’avait fait couler.

Une fois ma jouissance terminée, Monsieur me rhabille, prend la laisse et nous fait reprendre le sentier. Avant de reprendre notre marche, il enlève néanmoins la laisse et me prend dans ses bras.

J’ignore à ce moment-là et même ce jour si cela m’a vraiment plu. Je comprends alors que le fait d’être excitée par la vue d’un homme en train de se branler n’est pas chose si aisée. De même que de se faire prendre ou de jouer avec une bite d’un inconnu n’est pas une chose innée. Je suis très admirative d’@Amante Lili ( https://amantelilli.com/ ) qui arrive à s’exhiber et à prendre du plaisir au fil des rencontres qu’elles soient programmées ou inattendues. J’ignore sincèrement comment elle fait. Même si d’après Monsieur, c’est une question d’habitude.

D’après lui, j’y arriverais. Je ne suis pas aussi convaincue étant donné que j’ignore si cela me provoque un réel plaisir. Certes, je n’étais pas sèche mais je sais que de voir ce voyeur m’a vraiment déroutée. Se détacher de son regard et me concentrer sur ce que me faisait Monsieur ne fut pas simple psychologiquement. Je réalise alors combien un fantasme bien enfoui est bien loin d’être réaliste même si c’est l’un des objectifs de Monsieur.

Peu importe, nous continuons à en discuter en avançant.

Le voyeur, quant à lui, avance mais loin devant nous. Ce qui ne l’a pas empêché à un moment donné de s’arrêter de se branler lorsque nous nous sommes arrêtés juste pour un câlin amical.

Nous continuons d’avancer quand Monsieur m’écarte une nouvelle fois du chemin pour se diriger vers une rambarde donnant sur l’étang :

« – Je réclame des photos. »

Il me mets dos aux étangs, libère mes seins et réclame la position « Présentation ».

Ayant une vue sur le sentier, cela me permets de vérifier qu’il n’y ait personne durant ladite photo.

Lilisoumise en position présentation à l'extérieur
Lilisoumise en position présentation à l’extérieur habillée
Lilisoumise en position présentation à l'extérieur
Lilisoumise en position présentation à l’extérieur

Mais croyez-vous que ladite photo était suffisante pour Monsieur ?

Il me retourne, me fait cambrer, libère mes fesses et commence à jouer avec le rosebud. La jouissance fit de nouveau son apparition.

« – Non Monsieur.

– Oh que si. »

Il joua avec le rosebud, le faisant bouger, lui faisant faire des va-et-vient afin de me faire couler pour la troisième fois.

Pensant que la photo serait faite suite à cela, j’essaie de me remettre de mes émotions jusqu’à ce que je sente ses doigts me pénétrer. Je ne tins plus, autant de jouissance était fatigante. Et pourtant, je le laisse faire, je laisse ma jouissance monter en limiter la puissance de mes gémissements et en faisant abstraction que n’importe qui pouvait me voir.

« La chienne que tu es a marqué son territoire. Maintenant, photo. »

Il s’éloigne de moi, prend la photo.

Lilisoumise avec rosebud
Lilisoumise avec rosebud

Il me fait comprendre que nous pouvons repartir dès lors qu’il remet ma jupe et mon haut en place.

Cette fois, les jeux en extérieur étaient finis. Lorsque nous nous dirigeons vers la voiture, le cycliste est toujours présent. Je me demande alors s’il nous a suivi discrètement et s’il a pu voir nos jeux. Des hommes dans la voiture me matent ouvertement.

Peu importe au point où j’en étais. Monsieur m’installe dans la voiture. En profite pour m’essuyer mais joue de nouveau avec moi pour le plaisir des voyeurs. Cela ne dura que quelques minutes avant de prendre sa place et de repartir.

Ayant conscience de la longueur du texte, La suite au prochain article…

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4 commentaire

  1. Toujours aussi agréable de te lire et imaginer le moment.

  2. Et de belles photos accompagnatrices.

    1. Il faut remercier Monsieur pour cela

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