20200213 215342

J’attends Monsieur dans la tenue exigée par lui : Mon haut rose sexy, une jupe, des bas jarretelles ouverts, un rosebud, les boules de geisha et une culotte.

Il n’en a pas parlé, mais j’ai également mis mon collier en dentelle prouvant ma soumission.

J’ai eu un souci de téléphone et lorsque Monsieur me contacte par Twitter pour me dire qu’il m’attend depuis 10 min en bas, je me rends compte que les notifications des textos n’étaient plus actives.

J’ose espérer que Monsieur comprendra et par conséquent, ne me punira pas.

Je descends en catastrophe (tout était prêt). Quand j’ouvre la porte, il rentre dans le hall de mon immeuble afin de me dire bonjour.

Aussitôt je présente mes excuses et lui explique la situation. Maître ne veut rien entendre et quoique je dise, la punition tombera. Ce qui ne l’empêche pas de m’embrasser, de me caresser, de vérifier le rosebud, les boules de geisha ainsi que le collier.

Il en profite aussi pour enlever ma culotte avant de la sentir et la mettre dans mon décolleté.

Comme il y a un miroir, il me fait subir un supplice que je déteste : regarder mon reflet. Il sait Ô combien l’exercice est compliqué pour moi-même quand je suis juste moi alors en mode soumise, je n’en parle pas :

« Regarde la chienne que tu es. »

De ce fait, un sentiment de honte m’envahit. Ne vous méprenez pas, j’adore être soumise. J’adore Monsieur. Mais cette pratique va tant à l’encontre de mes valeurs et de mon éducation vanille que cela en est devenu une lutte. Je sais que Monsieur fait cet exercice non seulement pour accepter mon image, mais également ce côté soumission.

Je me force donc à me regarder pour obéir bien que je fasse tout pour fuir mon propre regard. Heureusement, cela ne dure que quelques secondes. Plus longtemps, je n’aurais pu supporter.

Nous sortons de mon hall et nous dirigeons vers la voiture. Je le laisse prendre mes sacs qu’il pose à l’arrière avant de m’ouvrir la porte ce qui me permet de soulever ma jupe.

Nous voilà partis à l’hôtel. Durant le trajet il en profite pour caresser mes jambes et même de ma chatte lorsque les feux passent au rouge.

Le trajet est court, nous sommes déjà arrivés et Monsieur se gare sur le parking de l’hôtel.

Il se penche alors vers moi et me caresse. Il se permet de sortir un sein qu’il range aussitôt, met sa main dans ma chatte avant de la sentir, chose qu’il adore faire. Il décide alors qu’il est temps d’y aller.

Je sors de la voiture et j’attends, car je sais qu’il refuse que je prenne mes sacs.

Il reste près de sa porte, la porte arrière est ouverte. Je me suis demandée à un moment si je n’allais pas finir sur la banquette arrière, là, dans le parking de l’hôtel.

Il m’ordonne :

« Aux pieds chienne. »

Aurais-je raison ? Je ne sais. Avec lui tout est possible, tout est imaginable et je ne prévoir à quoi m’en tenir. La dernière fois où j’ai voulu des indices, cela m’a valu une vidéo sur twitter.

Je m’approche. Il me prend dans ses bras et m’embrasse. Pendant une seconde je me suis dit que c’est tout ce qu’il souhaitait : m’avoir près de lui.

« Allez, appuie-toi sur la voiture. »

Il soulève ma jupe, me donne deux grosses fessées sur chaque fesse. Quand je parle de fessée, ce n’est pas la petite qui fait monter l’excitation, mais la forte qui laisse une marque faisant rougir les fesses.

« Cela t’apprendra à me faire attendre. »

J’avoue que je suis perplexe. Que dire ? Que faire ? Je me doute qu’il attend quelque chose de moi. Je finis par balbutier un :

 « Merci Monsieur. »

Satisfait, il récupère nos affaires et nous pouvons rentrer enfin dans l’hôtel. Je le laisse récupérer la carte de notre chambre.

Dans l’ascenseur, il ouvre mon manteau, mets mes seins à l’air. C’est ainsi que je me rends dans notre chambre.

Nous enlevons nos manteaux quand j’entends :

« Allez à poil chienne. »

Je lui obéis en oubliant que j’avais ma culotte dans mon décolleté et elle tombe à terre. Je la ramasse et la pose avec mes vêtements.

Il ne me faut guère de temps avant d’être nue :

 « Mode présentation. »

J’écarte les jambes, je mets les mains derrière la tête. Monsieur est à peine déshabillé.

C’est le moment où je me dis toujours : « Pourquoi je suis là ? Est-ce qu’il n’y a pas quelque chose qui cloche chez moi ? Pourquoi j’obéis ? Qu’est-ce qui lui plait chez moi ? Après tout, il doit se rendre compte que je suis chiante, dépressive. J’ai aussi des bons côtés, mais que me trouve-t-il ? « 

Ces pensées viennent alors qu’il s’assoit simplement sur le lit pour prendre le temps de me regarder et de se déshabiller. Me faire languir ainsi dans cette position humiliante est quelque chose qu’il apprécie particulièrement, mais me rappelle aussi ma place. Je suis à lui, je lui appartiens et il peut disposer de moi selon ses désirs et ses convenances.

Une fois prêt, il pince mes tétons pour me faire rapprocher de lui. Il insère un doigt et s’amuse à passer son doigt près de ma bouche. Je me sens humiliée à un point que je ne connaissais pas. Je me demande alors si ce jeu me plaît encore. Il est de plus en plus strict dans ses ordres, dans son attitude et m’humilie davantage. Ai-je vraiment envie de vivre cela ? Par moment, j’en doute tandis qu’à d’autres, je sais que je l’ai cherché et voulu et qu’une part de moi aime.

Il décide de retirer les boules de geisha et de me faire remarquer combien elles m’ont fait couler.

Comme j’aime à le rappeler, dans la réalité, rien n’est parfait, tout ce qui fait que nous ne sommes pas dans un film peut se produire. Monsieur, maladroit, retirant les boules, les fait tomber à terre.

Il les ramasse et va les rincer dans la salle de bains. N’ayant reçu aucun contrordre, j’attends en mode présentation.

Il revient assez vite, s’approche de moi et demande de m’agenouiller. Il prend mes cheveux et me fait comprendre que je dois embrasser son pied.

Il en profite pour me fesser et tâter mon humidité. Il me relève et avec sa gestuelle corporelle, je comprends que je dois me frotter à son pénis à travers le pantalon.

« Enlève mon pantalon avec tes mains. »

J’obéis, mais je fais attention à être délicate avec Monsieur. Je défais sa ceinture et ses boutons. Il finit de l’enlever lui-même ainsi que son caleçon.

Son sexe est juste devant ma bouche, mais j’attends :

« Lèche. »

J’obéis.

« Lèche mes couilles. »

J’obéis.

« Prends-la en bouche. »

J’obéis.

« Tu es une bonne chienne. Tu sais ce qu’il arrive quand tu obéis ?

– Je ne sais pas Monsieur. Avec lui, j’ignore toujours ce qu’il faut dire alors j’opte toujours pour la réponse qui me semble la plus prudente.

– Ce n’est pas la première fois que nous nous voyons. Tu le sais.

Je voulais dire : cunnilingus. Toutefois, j’ai préféré répondre :

– Une récompense.

– C’est cela. Mains derrière la tête, lève-toi. »

Je ne suis pas si vieille que cela et pourtant, c’est loin d’être facile, il m’aide.

« Allez, va au fond du lit. »

Alors une pensée me traverse l’esprit : Comment m’installer comme il le souhaite avec mes mains derrière la tête ?

Et pourtant, je me dépatouille comme je peux, car ce n’est pas facile sans l’aide des mains. Comme il ne dit rien, je suppose qu’il est satisfait.

Cependant, je ne sais que faire de mes jambes alors je les écarte. Mais pour lui, ce n’est pas assez. Il les tape et me les fait écarter jusqu’à ce que pointe une petite douleur. J’atténue de quelques millimètres l’écart pour éviter toute douleur.

Il sort la pseudo-cravache de sexy avenue. Il me tapote les hauts des cuisses et ensuite mon intimité. Là, j’ai eu mal et donc été contrainte de bouger. Il tape alors mes seins pour avoir bougé :

« Pourquoi tu as bougé ?

– J’ai eu mal.

– Ne bouge pas et dis-le-moi dans ce cas.

– Bien Monsieur. »

Il repose la cravache et reviens vers le lit.

Il monte jusqu’à ma tête, tout en prenant soin de me mordre. J’ignore comment j’y arrive, mais mon corps ne bouge presque plus à ces moments-là. Par contre, je dois extérioriser : dire « Oh punaise » ou mordre ma lèvre sont de plus en plus fréquent.

Arrivé à ma bouche, il m’embrasse avant de me mordre le haut de chaque bras au-dessous de l’aisselle. Dur de ne pas bouger. Mais j’ignorais que par la suite, ce serait encore plus compliqué.

Comme à son habitude, Monsieur alterne la morsure des hauts de mes cuisses, mon intimité, mon bas du ventre et des coups de langue.

Je rappelle que j’ai toujours les mains derrière la tête quand il décide de sortir le gode offert par sexy avenue.

Et là, je comprends que ne plus bouger va être compliqué.

Il commence à me goder doucement et quand arrive un début de plaisir, il s’arrête. Augmentant le plaisir suivant lorsqu’il recommence. Je peux vous assurer que je n’ai bougé malgré les réflexes. Mes mains voulaient se libérer mais, pour éviter toute punition, mes coudes se replient quelque peu et mes jambes désirent resserrer l’étreinte du gode.

Afin de m’en empêcher, Monsieur s’assois de manière que ses jambes soient écartées comme il le souhaite tout en m’immobilisant.

Il m’ordonne alors :

« Tu peux libérer tes mains et te mettre à quatre pattes. »

J’obéis et j’ai mis ma tête dans un coussin ou dans les draps pour étouffer les gémissements puissants que j’émets tandis qu’il m’accorde « jouissance », avec cet accessoire de torture qu’est ce gode.

Je me demande jusqu’où je vais pouvoir supporter et s’il veut me faire couler. À quel moment, il va me mettre debout face au mur ?

Jouer avec le Gode seul n’est jamais suffisant pour lui, il s’amuse également avec le rosebud, l’enlève et me fait jouir avec ses doigts. Plaisir intense, incommensurable. J’adore, je savoure ce moment même si je me demande jusqu’où je peux supporter, le moment où ce n’est plus un plaisir.

Il s’arrête et exige un 69.

J’obéis et pendant que je fais de mon mieux pour le sucer, je le laisse me mordre, me donner des coups de langue, mais cette fois-ci, il me gode tout en me léchant.

Je vois qu’avec lui je dépasse mes limites et j’ai juste envie de crier stop tellement c’est puissant.

Je pense qu’il respecterait, mais j’aimerais connaitre mes limites.

Je prends conscience que mes relations sexuelles précédentes m’ont donné du plaisir, mais bien moindre que ce que je vis avec Monsieur. Et dire que beaucoup se contentent de peu. Pour moi, le principal est d’en profiter.

Il m’allonge alors sur le dos et joue avec mon clitoris. C’est tellement puissant qu’il me remet son sexe dans ma bouche pour s’en servir comme bâillon.

Il me met face au mur pour me pénétrer avec ses doigts. Je n’ai pas souvenir que l’un de mes partenaires m’ait pénétré ainsi.

C’est ainsi que je coule pour la première fois. Toutefois, par ses gestes, il me fait comprendre que je suis à lui. Il me prend par le cou puis par les cheveux, caresse mon corps parce qu’il est à lui. Il me frôle avec son sexe.

Dès que Monsieur glisse de nouveau un doigt dans mon intimité, mon corps est soumis se met aussitôt en position car il souhaite se vider de nouveau.

De nouvelles caresses et de nouveau ce sentiment d’appartenance avant de me faire couler une deuxième puis une troisième fois.

Monsieur, fier et satisfait de moi, me mène à la salle de bain et essuie mon entrejambe. Ce n’est pas gratuit puisque je dois de nouveau regarder mon reflet dans le miroir.

Ainsi convenable, si on peut le dire ainsi, nous nous installons pour des câlins. Et si vous n’avez pas lu mes articles précédents, vous devez savoir que Monsieur ne reste jamais longtemps sans parcourir mon corps et me pénétrer avec ses doigts.

Il m’ordonne alors de me mettre en travers du lit pour que je sois allongée tandis que lui, debout, puisse faire rentrer son sexe dans ma bouche tandis qu’il bloque mes jambes et me gode de nouveau.

Pour la première fois il arrive à me faire couler ainsi. Il finit par éjaculer sur mes seins. Je pense que je dois le prendre comme une récompense pour mon obéissance.

Mais cela ne m’a rien fait : ni excitation, ni humiliation.

Nous restons proches l’un de l’autre et parlons de sujets plus sérieux que le sexe. Des sujets qui nous touchent et qui me fait monter les larmes aux yeux. Sujets bien trop intimes pour les dévoiler ici.

Maître me prend dans ses bras pour me réconforter avant que nous devions nous rhabiller. Maître me reconduit à la maison, me dit au revoir et s’en va tel un fantôme dans la nuit.

Quand je me retrouve seule chez moi, avant de dormir, je me pose parfois la question si tout cela est bien réel tant c’est presque surréaliste.

Si je n’écrivais pas mon vécu, je ne serais convaincue de cette réalité que lorsque Maître m’appellerait à nouveau pour planifier une nouvelle séance.

Peu importe, même si je remets parfois en question les pratiques ou mon statut de soumise, il faut bien admettre que non seulement j’aime cela mais suis même demandeuse.

5/5 - (1 vote)

Vous pourriez aussi aimer...

5 commentaire

  1. Ouais, toujours un peu pareil finalement, ça manque un peu d’imagination. Et pas mal de fautes aussi. Mais félicitations quand même.
    Cordialement.

    1. Bonjour,
      Ce texte n’est pas tirée de mon imagination. Ce texte est issue d’une séance vécue réellement. Quant aux fautes à part celles du temps, je ne les ai pas vues. Pourriez-vous me donner des exemples svp

  2. Bonjour
    C est une bonne histoire qui me plait bien
    J ose esperer que vous avez joui et pas qu une fois

    1. C’est marqué dans l’article si j’ai joui et le nombre de fois…

  3. L’avenir vous donne raison Lili. Quand on voit ce que vous vivez actuellement, c’était bien, à cette époque, ce que vous recherchiez.
    Aujourd’hui vous n’avez plus aucun regret je pense.
    Cette relation et votre situation de soumise vous conviennent manifestement.
    Alors il n’est plus temps d’avoir des remords, vous avez bien fait de persévérer.
    Ce n’est peut-être pas votre idéal de vie, mais en attendant votre maître vous permet de vivre de beaux moments.

Laisser un commentaire