J’attends Monsieur dans la tenue exigée par lui : Mon haut rose sexy, une jupe, des bas jarretelles ouverts, un rosebud, les boules de geisha et une culotte.
Il n’en a pas parlé mais j’ai également mis mon collier en dentelle prouvant ma soumission.
J’ai eu un souci de téléphone lorsque Monsieur me contacte par Twitter pour me dire qu’il m’attend depuis 10 mn en bas, je me rends compte que les notifications des textos n’étaient plus actives.
J’ose espérer que Monsieur m’écoutera et ne me punira pas.
Je descends en catastrophe (tout était prêt), il rentre dans le hall de mon immeuble et me dit bonjour. Je présente mes excuses sauf qu’il refuse d’entendre et je comprends que je n’échapperais pas à la punition.
Il m’embrasse, me caresse, vérifie le rosebud, les boules de geisha et le collier.
Il en profite aussi pour enlever ma culotte avant de la sentir et la mettre dans mon décolleté.
Comme il y a un miroir, il me fait subir un supplice que je déteste : me regarder dans le miroir. Alors, déjà qu’en temps normal J’ai des difficultés à le faire. Alors quand il me dit
« Regarde la chienne que tu es. »
Je ressens une honte qui monte. Celle qui pourrait m’amener à m’effondrer en larmes. C’est pour cela que je ne jette que de rapides coups d’œil parce que je ne supporte pas de me voir et encore moins en mode soumise.
Heureusement, cela ne dure que quelques instants.
Nous allons à la voiture, je le laisse prendre mes sacs qu’il pose à l’arrière et m’ouvrir la porte où je soulève ma jupe.
Nous voilà partis à l’hôtel. Il profite pour caresser mes jambes et à l’arrêt imposé par des feux ou des stops, des frôlements de ma chatte.
Garés à l’hôtel, il se penche vers moi et me caresse. Il se permet de sortir un sein qu’il range aussitôt, il met sa main dans ma chatte avant de la sentir, chose qu’il adore faire. Il décide alors qu’il est temps d’y aller.
Je sors de la voiture et j’attends. Il refuse que je prenne mes sacs.
Seulement, il reste près de sa porte. La porte arrière ouverte. Je me suis demandée à un moment si je n’allais pas finir sur la banquette arrière, là, garé dans le parking de l’hôtel.
Il m’ordonne : « Au pied chienne. »
Aurais-je raison ? Je ne sais. Avec lui, tout est possible, tout est imaginable et je ne sais jamais à l’avance à quoi m’en tenir. La dernière fois où j’ai voulu des indices, cela m’a valu une vidéo sur twitter.
Je m’approche. Il me prend dans ses bras et m’embrasse. Pendant 1 seconde, je me suis dit que c’est tout ce qu’il souhaitait : m’avoir près de lui.
« Allez, appuie-toi sur la voiture. »
Il soulève ma jupe, me donne 2 grosses fessées sur chaque fesse. « Cela t’apprendra à me faire attendre. »
Et lorsque les fessées furent données, je sentais qu’il attendait que je dise quelque chose, j’ose alors balbutier : « Merci Monsieur. »
Satisfait, il récupère nos affaires et nous pouvons aller enfin à l’hôtel. Je le laisse récupérer la carte de notre chambre.
Dans l’ascenseur, il ouvre mon manteau, mets mes seins à l’air. C’est ainsi que je me rends dans notre chambre.
Nous enlevons nos manteaux quand j’entends : « Allez à poil chienne. »
Je lui obéis en oubliant que j’avais ma culotte dans mon décolleté. Cette dernière tomba à terre. Je la ramasse et la pose avec mes vêtements.
Au vu du nombre de mes vêtements, je suis nue rapidement : « Mode présentation. »
J’écarte les jambes, je mets les mains derrière la tête. Et pourtant, Monsieur est à peine déshabillé. Il fait alors ce que je déteste également parce que je ne sais plus où me mettre. C’est le moment où je me dis toujours : « Pourquoi je suis là ? Est-ce qu’il n’y a pas quelque chose qui cloche chez moi ? Pourquoi j’obéis ? Qu’est-ce qui lui plait chez moi ? Après tout, il doit se rendre compte que je suis chiante, dépressive. J’ai aussi des bons côtés mais que me trouve-t-il ? «
Toute cela parce qu’il s’assied sur le lit, prends le temps de me regarder, prends le temps de se déshabiller tandis que je suis dans cette position humiliante.
En prenant ou plutôt en pinçant fortement mes tétons, il m’approche de lui. Il insère un doigt et s’amuse à passer son doigt près de ma bouche. Je me sens humiliée à un point que je ne connaissais pas. Je me demande alors si ce jeu me plaît encore. Il est de plus en plus strict dans ses ordres, dans son attitude et m’humilie davantage.
Il décide de retirer les boules de geisha et de me faire remarquer combien elles m’ont fait couler.
Comme j’aime à le rappeler, dans la réalité, rien n’est parfait, tout ce qui fait que nous ne sommes pas dans un film peut se produire. Monsieur, maladroit, retirant les boules, les fait tomber à terre.
Il les ramasse et va les rincer dans la salle de bains. N’ayant reçu aucun contrordre, j’attends en mode présentation.
Il revient assez vite, s’approche de moi et demande de m’agenouiller. Il prend mes cheveux et me fait comprendre que je dois embrasser son pied.
Il en profite pour me fesser et tâter mon humidité. Il me relève et avec sa gestuelle corporelle, je comprends que je dois me frotter à son pénis à travers le pantalon.
« Enlève mon pantalon avec tes mains. »
J’obéis mais je fais attention à être délicate avec Monsieur. Je défais sa ceinture et ses boutons. Il finit par l’enlever ainsi que son caleçon.
Son sexe est juste devant ma bouche mais j’attends : « Lèche. »
J’obéis
« Lèche mes couilles. »
J’obéis.
« Prends la en bouche. »
J’obéis.
« Tu es une bonne chienne. Tu sais ce qu’il arrive quand tu obéis ?
– Je ne sais pas Monsieur. Avec lui, j’ignore toujours ce qu’il faut dire alors j’opte toujours pour la réponse qui me semble la plus prudente.
– Ce n’est pas la première fois que nous nous voyons. Tu le sais.
Je voulais dire : cunnilingus. Toutefois, j’ai préféré dire : – Une récompense.
– C’est cela. Mains derrière la tête, lève-toi. »
Je ne suis pas si vieille que cela et pourtant, c’est loin d’être facile, il m’aide.
« Allez, va au fond du lit. »
Alors une pensée me traverse l’esprit : Comment je monte et m’installe comme il le souhaite avec les mains derrière la tête ?
Et pourtant, je me dépatouille comme je peux. Comme il ne dit rien, je suppose qu’il est satisfait.
Cependant, je ne sais que faire de mes jambes alors je les écarte. Mais pour lui, ce n’est pas assez. il les tape et me les fait écarter jusqu’à ce que pointe une petite douleur. J’atténue de quelques millimètres l’écart pour éviter toute douleur.
Il sort la pseudo-cravache de sexyavenue. Il me tapote les hauts des cuisses et ensuite mon intimité. Là, je n’ai pas pu m’empêcher d’avoir mal et donc de bouger. Il tape alors mes seins pour avoir bougé :
« Pourquoi tu as bougé ?
-J’ai eu mal.
– Ne bouge pas et dis-le moi dans ce cas.
– Bien Monsieur. »
Il repose la cravache et reviens vers le lit.
Il monte jusqu’à ma tête mais tout en prenant soin de me mordre. J’ignore comment j’y arrive mais mon corps ne bouge presque plus à ces moments-là. Par contre, devant extérioriser, « Oh punaise » ou mordre ma lèvre arrivent de plus en plus fréquemment.
Arrivé à ma bouche, il m’embrasse avant de me mordre le haut de chaque bras au-dessous de l’aisselle. Dur de ne pas bouger. Mais j’ignorais que par la suite, ce serait encore plus compliqué.
Comme à son habitude, Monsieur alterne la morsure des hauts de mes cuisses, mon intimité, mon bas du ventre et des coups de langue.
Je pense qu’à force d’être habituée, j’arrive presque à ne plus bouger.
Je vous rappelle que j’ai toujours les mains derrière la tête quand il décide de sortir le gode offert par sexy avenue.
Et là, je comprends que ne plus bouger va être compliqué.
Il commence à me goder doucement et quand arrive un début de plaisir, il s’arrête. Augmentant le plaisir suivant. Je peux vous assurer que j’ai bougé. Mes mains voulaient se libérer. Pour éviter la punition, Mes coudes se replient quelque peu et mes jambes désirent resserrer l’étreinte du gode.
Afin de m’en empêcher, Monsieur s’assied de manière que ses jambes soient écartées bloquant les miennes.
Ne plus bouger devant cette torture de plaisir est quasiment impossible.
Il m’ordonne alors : « Tu peux libérer tes mains et te mettre à 4 pattes. »
J’obéis et je vous assure que j’ai mis ma tête dans un coussin ou dans les drapes pour étouffer les gémissements puissants que j’émets.
Je me demande jusqu’où je vais pouvoir supporter et s’il veut me faire couler. À quel moment, il va me mettre debout face au mur ?
D’autant qu’il joue avec le rosebud, l’enlève et me fait jouir avec ses doigts tout en me godant. Plaisir intense, incommensurable.
Il s’arrête et exige un 69.
J’obéis et pendant que je fais de mon mieux pour le sucer, je le laisse me mordre, me donner des coups de langue mais cette fois-ci, il me gode tout en me léchant.
Je vois qu’avec lui, je dépasse mes limites et j’ai juste envie de crier stop tellement c’est puissant tout en me disant que même s’il respecterait, je pouvais voir jusqu’où je pouvais aller.
Il m’allonge alors sur le dos et joue avec mon clito. C’est tant puissant qu’il me remet son sexe dans ma bouche pour s’en servir comme bâillon.
C’est là qu’il me met face au mur pour me pénétrer avec ses doigts. Je n’ai pas souvenir que l’un de mes partenaires m’ait pénétré ainsi.
C’est ainsi que je coule pour la première fois. Toutefois, par ses gestes, il me fait comprendre que je suis à lui. Il me prend par le cou puis par les cheveux, caresse mon corps parce qu’il est à lui. Il me frôle avec son sexe.
Et comme mon corps est un idiot, dès que Monsieur glisse de nouveau un doigt dans mon intimité, ce dernier se met en position pour réclamer de nouveau à couler.
De nouveau des caresses, de nouveau ce sentiment d’appartenance avant de me faire couler une troisième fois.
Monsieur, fier de moi et satisfait, nous emmène à la salle de bain et m’essuie mon entrejambe. J’ai droit quand même de nouveau au miroir.
Pourquoi faut-il qu’il y en ait partout ? Je les maudis.
Nous nous installons pour des câlins. Et si vous n’avez pas lu mes articles précédents, vous devez savoir que Monsieur ne reste jamais longtemps sans parcourir mon corps et me pénétrer avec ses doigts.
Il m’ordonne alors de me mettre en travers du lit pour que je sois allongée tandis que lui, debout, peut faire rentrer dans ma bouche tandis qu’il bloque mes jambes et me gode de nouveau.
Et pour la première fois, il arrive à me faire couler ainsi. Je suppose que je dois le voir comme une récompense, il finit par éjaculer sur mes seins.
J’avoue que cela ne m’a rien fait. ni excitation, ni humiliation. Par contre, difficile de ne pas m’essuyer de suite.
Nous restons proches l’un de l’autre et parlons de sujets plus sérieux que de sexe. Des sujets qui nous touchent et qui me fait monter les larmes aux yeux.
Nous finissons par des câlins avant de nous rhabiller et rentrer chez nous.
Une bonne douche et au dodo.
Ouais, toujours un peu pareil finalement, ça manque un peu d’imagination. Et pas mal de fautes aussi. Mais félicitations quand même.
Cordialement.
Bonjour,
Ce texte n’est pas tirée de mon imagination. Ce texte est issue d’une séance vécue réellement. Quant aux fautes à part celles du temps, je ne les ai pas vues. Pourriez-vous me donner des exemples svp
Bonjour
C est une bonne histoire qui me plait bien
J ose esperer que vous avez joui et pas qu une fois
C’est marqué dans l’article si j’ai joui et le nombre de fois…