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D’habitude, j’attends 1 à 2 journées avant d’écrire l’article afin de me remémorer et revivre les sensations. Mais celles ressenties ce soir m’obligent à le faire dès ce soir afin que je puisse reprendre le cours de ma vie et le cours des jeux dans un meilleur état d’esprit.

La soirée débute au restaurant. Je mets un haut décolleté ainsi qu’une minijupe. Comme vous vous en doutez, je n’ai aucun sous vêtement.

Lorsque Monsieur Yannick me bipe, je sors de chez moi et le rejoins à notre restaurant habituel.

Avant de commander, je comprends qu’il souhaite pousser plus loin nos jeux habituels. Afin que ce soit plus simple pour moi, je prends un cocktail alcoolisé pour commencer le repas.

Tout se déroule à merveille et comme à l’habitude, nos discussions commencent toujours par l’activité sur twitter. Depuis mes derniers tweets, certains pseudos m’ont contacté mais dépassent les limites du respect et du raisonnable.

Je préviens Monsieur Yannick que je lui renvoie certains pseudos afin qu’il s’en occupe pour m’en débarrasser. Car je sais une chose, si un pseudo me dérange et que je n’arrive pas à me faire comprendre, lui saura très bien le faire.

En plus d’être Monsieur Yannick, c’est mon protecteur. Une fois le tour fait de twitter, nous parlons de choses et d’autres bien souvent en rapport avec nos jeux ou ma mentalité. Il en profite alors pour savourer mon décolleté et m’ordonner d’aller mettre le rosebud dans les toilettes.

Comme vous vous en doutez, je le fais mais reviens avec un sourire à la fois contente d’obéir mais aussi gênée. Il me connaît bien et respecte mes réactions.

Une fois le repas terminé, nous sortons du restaurant. Mais comme un dominant et sa chienne. Pour que je le ressente, il me tient par le cou. Il m’arrête de temps en temps pour me caresser les fesses, mon intimité ou bien encore mes seins. Ou alors c’est pour me mordiller le cou pour mieux me faire démarrer.

Comme vous l’aurez compris, il nous faut un temps un peu plus long pour arriver jusqu’à la voiture où je me retrouve à 4 pattes sur la banquette arrière où il peut me mordiller les fesses et se rendre compte de mon humidité.

Il me dit alors :

« Debout. Quand une chienne est humide, il faut la soulager. »

Pour vous donner une idée, sa voiture est garée dans un parking ouvert. Cela ne l’empêche pas de m’emmener dans un coin tranquille où je suis debout, face au mur, les mains appuyées et jambes écartées.

Même si j’ai du mal à assumer la situation, il faut admettre que je suis terriblement excitée. Il met ses doigts dans mon intimité. Il ne faut pas longtemps avant que je coule.

Il m’attire alors à lui mais je crois que je lui suis irrésistible car même après avoir coulé, il ne s’arrête jamais de me tripoter ou de me caresser. Là, il sort mes seins de mon haut pendant quelques minutes durant lesquelles il joue avec mes tétons.

Quand il est satisfait, nous rejoignons la voiture où je peux m’asseoir devant en relevant ma jupe. Il essuie mes jambes et mon intimité. Même s’il n’a pas pu s’empêcher de savourer la vue et de rejouer avec mon corps. La raison reprend le dessus et vient s’installer à la place du conducteur.

Il fait ressortir mes seins de mon haut pour jouer avec avant de les remettre en place et de nous conduire près d’un étang.

On y est, les premiers jeux en extérieur vont débuter. Il m’explique que ce lieu est réputé pour être un lieu de rendez vous gay. Il me rassure en me disant que nous devrions rencontrer très peu de voyeurs. Mais ce n’est pas impossible si certains étaient Bi ou si par hasard, nous tombons sur des hétéros.

Je ne vous raconte pas la gêne que je ressens. Nous commençons à marcher sur le sentier principal. D’un coup, Monsieur Yannick nous arrête et se met derrière moi. Il commence à libérer un de mes seins quand je vois qu’un homme se rapproche de nous.

Je le dis de suite à Monsieur Yannick qui range mon sein, prend ma main avant de reprendre notre marche. Lorsque cet homme est à proximité, j’ose un regard vers lui. Je vois qu’il sourit. Il a compris ce que nous faisons mais son sourire n’est pas gênant bien au contraire plutôt complice.

Il continue néanmoins son chemin comme nous continuons le nôtre. Je suis affreusement gênée et je rêve d’une veste. Mais c’est important que je le dise et vous le comprendrez en lisant jusqu’au bout, c’est une gêne jouissive. Une gêne liée à un jeu et qui n’a rien de méchant.

A force de marcher, nous croisons un banc. Sur lequel, je prends une pose plus qu’indécente (enfin sûrement pour vous, cela ne l’est pas).

Nous entendons tous les deux des pas. Je reprends une position et tenue correcte (enfin seins et intimité cachés par les vêtements).

Monsieur Yannick s’approche et je sais qu’il m’embrasse pour me distraire. Pour que je me sente le plus à l’aise possible et essayer de me concentrer sur nos jeux et ce que ces jeux procurent.

Je ne peux que l’en remercier. La même gêne jouissive m’envahit quand je sens que le monsieur ralentit et s’est même arrêté derrière Monsieur Yannick avant de reprendre sa route lentement.

Seulement, un deuxième s’approche. Mais celui-là vient très près de nous. Il ose nous parler ou plutôt à Monsieur Yannick :
« -Est-ce que je peux me rapprocher ?

– Non. »

Monsieur Yannick m’aide à me relever et nous allons plus loin. Dans le coin gauche, il y a une petite clairière donnant sur un escalier permettant de s’approcher près de l’étang. Monsieur Yannick nous arrête là.

Nous parlons de choses sérieuses mais cela n’empêche pas Monsieur Yannick de m’avouer que nous avons 2 voyeurs. les 2 hommes croisés précédemment. Je ne les vois pas car Monsieur Yannick me fait leur tourner le dos. Il joue avec mes seins et les libère de mon haut. Quand il juge que le spectacle est suffisant, il range mes seins et nous continuons notre chemin.

Il m’arrête quelques mètres plus loin, se met derrière moi et me pénètre avec ses doigts. Même si je ne suis pas totalement détendue, à ce moment-là, je commence à lâcher prise. Je pense que c’est pour cela (et il le confirmera), qu’il ose me faire jouir en plein milieu du chemin.

Quand je jouis, il s’arrête. Nous nous mettons de travers l’un en face de l’autre. Lui est dos à la forêt, moi face à l’étang. Et c’est à ce moment-là que nos jeux deviennent un cauchemar pour moi.

J’entends des pas derrière lui. Mais les pas sont proches et ont tendance à se rapprocher. Monsieur Yannick m’avoue que c’était l’homme à qui il a refusé de s’approcher auparavant.

La peur commence à m’envahir. Surtout quand je comprends que cet homme cherche réellement à s’approcher. Je supplie Monsieur Yannick de faire quelque chose. S’il a refusé qu’il se rapproche, c’est qu’il ne le sent pas. Et le fait de l’ignorer aurait dû faire savoir à cet homme qu’il est indésirable.

Monsieur Yannick m’explique que nous allons partir. Le fait de s’éloigner de lui me permet de souffler jusqu’à ce que je me rende compte que non seulement il nous suit mais il se met devant et ne se cache pas pour se retourner pour me mater.

Je ne croise pas son regard car j’ai peur qu’il le prenne pour une invitation. Mais je le vois du coin de l’œil. Nous parlons peu avec Monsieur Yannick mais je lui explique ce qui se passe et ce que je ressens. Il nous arrête en espérant que ce voyeur prenne de l’avance. Et pourtant, il s’arrête aussi.

Nous reprenons notre chemin, nous accélérons le pas et je me cache autant que possible en marchant quelque peu en arrière de Monsieur Yannick. Je crois que j’aurais donné n’importe quoi à ce moment-là pour qu’il arrête. Je sens le poids de son regard mais je ne le trouve pas sain du tout. Bien au contraire.

Je suis plus tranquille lorsqu’il passe derrière nous. Je pense alors qu’il s’est arrêté pour vaquer à ses occupations et nous laisser partir. Seulement, il nous suit jusqu’à la voiture. Je ne vous raconte pas la peur qui m’envahit. Je ne veux qu’une chose que cet homme disparaisse et nous fiche la paix.

Il parla à Monsieur Yannick :

« C’est dommage que vous partiez ?

– Non, ce n’est pas dommage. »

Monsieur Yannick démarra et nous emmena dans un parking à quelques mètres de là où nous étions. N’étant plus à l’aise, il me fit me mettre à 4 pattes sur la banquette arrière uniquement pour me libérer du rosebud. Quand je me relevais et me retournais, je ne ressentais plus de la peur mais de la terreur. Ce voyeur que nous avons essayé de fuir était là. Il nous avait suivi en voiture.

Je le dis bas à Monsieur Yannick. Il s’empresse de redémarrer et de nous emmener loin de lui.

Monsieur Yannick voulait m’initier aux jeux d’extérieur et j’avoue que j’ai apprécié. Il avait prévu de m’emmener ensuite dans un hôtel.

Seulement le fait d’avoir été chassée ainsi par un homme que je ne supporte pas m’a terrorisé. Ce connard car il n’y a pas d’autres mots a tout gâché. Tout cela s’est passé il y a une heure environ et je ressens encore la peur ressentie à ce moment-là.

Cela ne m’empêchera pas de vouloir recommencer. Tomber sur un voyeur discret comme celui que je n’avais pas repéré et n’aurait probablement jamais su si Monsieur Yannick ne me l’avait pas dit ne me dérangera pas. Car même si j’éprouve une gêne, c’est une gêne jouissive dans le jeu.

Mais tomber sur un voyeur qui me chasse littéralement, c’est de la peur.

Si j’en parle, c’est pour dénoncer ce genre d’attitude. Car s’il avait respecté la distance imposée par Monsieur Yannick, ce connard aurait eu droit au spectacle. Au lieu de cela, il m’a fait ressentir de la peur et a cassé tous nos jeux pour la soirée.

Ce jour-là, cela s’est passé dans le réel mais sachez que c’est quasi quotidien sur les réseaux sociaux dans mes dms.

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7 commentaire

  1. Merci encore une fois pour ce doux recit.Laissez tomber les cons.C'est malheureux de ne pas pouvoir être dans un monde respectueux D/S sur twitter.Entre fakes, fausses soumis(es) ou maître(sse)s.

  2. Merci. Sur tweeter cela ne me dérange pas car je les recadre facilement et si ce n est pas le cas, je demande à mon dominant.En réel, c était la première fois et je me suis sentie sans défense avec la peur. Je me suis entièrement remis à mon dominant.

  3. BonjourJe suis vraiment désolé de lire ce récit qui pourtant aurait pu être une belle expérience pour vous.Malheureusement à cause de l'irrespect dont bon nombre font part que ce soit sur les réseaux sociaux comme dans la vie réelle, votre expérience s'est terminée en cauchemar.Quand est ce que ces gens vont comprendre que non cela veut dire non?C'est insensé car comme vous le disiez s'il avait été respectueux, il aurait eu le droit au spectacle complet. Mais comme Icare fasse au soleil, a trop en vouloir il s'est brulé les ailes. Mais cela n'aurais pas été grave s'il ne vous avait pas ancré cette peur en vous. C'est malheureusement le lot quotidien des femmes comme vous qui assument leur sensualité et leur sexualité. Sous prétexte, ils se croient tout permis et je ne vous parle pas de Twitter qui est l'apanage du n'importe quoi du fait de l'anonymat.Je vous souhaite de pouvoir vivre une meilleure expérience qui elle sera beaucoup plus érotique, sensuelle, excitante et jouissive pour vous.

  4. Bonjour, merci de votre soutien. Et non, je ne compte pas rester sur un échec.

  5. Merci pour vos histoires et au diable les c

  6. […] J’ai voulu vérifier ce qu’il entendait. Après plusieurs échanges, il m’explique qu’il n’aurait pas pu s’empêcher de s’approcher voire de toucher. Je lui explique qu’à mon tour, j’aurais alors ressentie de la peur. Il me dit qu’il ne faut pas. Je commence à mesurer le fait qu’il ne comprenait pas mon ressenti. Il ne pensait qu’au sien sans se demander ni chercher à comprendre pourquoi j’aurais peur.Cela reste des mots mais quand même. Je lui envoie l’article où le voyeur m’avait terrifiée. […]

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