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Depuis que mon maître m’a délaissé, je n’en ai trouvé aucun qui me satisfasse comme je le souhaite.

Le premier que j’ai vu m’a fait peur car il n’a aucune limite. Quant au second, au vu de mon emploi du temps, il va être très compliqué de se voir régulièrement.

Par contre, j’ai fait des découvertes comme le site « marché des esclaves ». je m’y suis inscrite, mais après le tri nécessaire quand on est femme, il ne reste plus grand monde. C’est vrai que comme j’ai le critère, l’âge et la zone géographique, cela réduit les possibilités. Mais après, il y a la manière dont les hommes m’abordent. Et enfin, si je réponds, le feeling. Donc oui, il ne reste jamais grand monde.

Et pourtant, plus le temps passe, plus cela me manque et plus j’imagine des scénarios comme ceux avec un inconnu ou un homme qui m’avilirait au point de devenir un animal de compagnie. Cela reste imaginaire car jamais eu de proposition en ce sens. Quand bien même, je ne suis pas sûre d’accepter de telles opportunités.

Et surprise, mon maître me donne de ses nouvelles. Je comprends vite qu’il a envie que je lui appartienne. Certes, seulement une soirée mais tout de même. J’essaie de résister car je sais que ce n’est pas une bonne idée.

Seulement, me connaissant trop bien et mes défenses n’étant pas solides, il parvient à obtenir une photo de mes seins.

Le lendemain, je reçois une robe que j’essaie sans sous vêtement. J’adore la matière et je trouve qu’elle me va à ravir. Bien évidemment, je lui envoie la photo. Il me complimente et a bien vu que je ne portais rien sous ma robe. Nous échangeons quelques textos exprimant l’envie l’un de l’autre.

Quelques minutes après le dernier, mon interphone sonne. Je n’ai aucun doute sur qui c’est. Mon maître est là. Il vient pour me rendre sienne. Je lui ouvre. Le temps qu’il monte, j’éteins la télévision et j’ajuste quelques éléments dans mon appartement.

Il rentre et me laisse fermer la porte. Il va dans le salon, enlève sa veste et m’embrasse avec fougue. Je lui rends la pareille. Il me serre par les fesses durant ce temps-là. Ensuite, il attrape mes tétons à travers la robe. Ainsi, il s’assure que je n’ai effectivement rien sous la robe.

Il réussit à en dévoiler un. Il le prend en bouche, le tête, le mordille et va jusqu’à me déclencher une petite douleur. Je le lui signale. Il tire mes cheveux en arrière et me mordille le cou. Il sait que cela me rend folle de désir mais aussi complètement docile.

Il me caresse partout et j’en fais de même. Jusqu’à ce qu’il me dise simplement : « A genoux ».

J’obéis sans hésiter comme si je n’ai jamais cessé de lui appartenir. Je prends en bouche son sexe en érection. Je me souviens des mouvements qu’il apprécie. Avec mes mains, je caresse ses jambes. Il s’en empara et les tiens fermement pour que je ne puisse bouger que ma bouche. Je sens son regard sur moi.

Je ressens le plaisir qu’il prend à ce que je lui appartienne. A faire de moi ce qu’il désire.

Il se détache de moi et me dit : « A 4 pattes ».

Il commence par me fesser et me demande de lui rappeler que je suis sa chienne, que je lui dois obéissance, que je lui appartienne.

Il introduit un doigt dans mon intimité avant de me pénétrer avec son sexe. Ses mains s’emparant de mes seins. Comment ne pas prendre de plaisir ainsi. L’envie monte comme l’orgasme d’ailleurs. Il connaît mes gémissements, il connaît les pratiques qui me rendent folle de plaisir. Alors il s’arrête.

Mais c’est juste pour mieux me pénétrer par derrière. Il me donne quelques coups de reins mais ni lui ni moi ne sommes à notre aise. Il revient devant moi et je dois de nouveau le sucer. Il adore les fellations.

D’ailleurs cette dernière ne dure guère longtemps car au bout de quelques minutes, il m’ordonne : « allonge toi sur le sol. »

Je m’exécute et je sais bien ce que cela veut dire. Il me fesse de nouveau et je sens son sexe qui rentre de nouveau dans mon derrière.

Que c’est bon ! J’ai eu plusieurs sodomies avec plusieurs hommes mais j’avoue que les siennes sont juste sublimes. Il est le seul jusqu’à ce jour qui soit capable de me donner un tel orgasme. Par moment, il me tire les cheveux et je continue de lui dire combien j’aime lui appartenir. Que mon cul soit à lui et qu’il peut en disposer à sa guise.

Il me répète que je suis sa salope, sa pute, sa chose. Que je ne suis qu’à lui.

Et nous avons continué jusqu’à l’obtention de nos orgasmes mutuels.

Il se rhabille pendant que je me lève et réalise combien la fougue, la passion, la soumission m’avait manquées. Je sais également que c’était juste une fois en passant. Seulement, en réveillant ainsi mes désirs, ils ne demandent qu’à être comblés.

Et pourtant, j’ai pu constater combien il est difficile de me trouver un maître similaire. Des maîtres sont faciles à trouver. Mais peu m’ont embrassé ou pris dans leurs bras quand bien même j’étais docile et je faisais tout pour être récompensée.

J’ai découvert que pour beaucoup d’hommes, la soumission ou les jeux sexuels se font sans cette attache. Seulement même dans des moments d’avilissement total, j’en ai besoin. C’est pourquoi je n’ai pas donné suite aux quelques maîtres que j’ai pu rencontrer le précédent été.

Bien que je sois en manque. Laissons la vie me réserver ses surprises. Peut-être que ce week-end, dans le bar de samedi soir, me trouverais-je un homme qui puisse me combler…

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