Récit fictif ou pas… Vous ne le saurez pas.
Comme je l’ai déjà dit, mon premier maître est un ami. Nous nous parlons régulièrement et il arrive que parfois, nos envies se réveillent. Nous ne voulons pas forcément reprendre de manière régulière mais de temps à autre pourquoi pas.
Je reçus l’ordre de l’attendre à genoux en lingerie, les yeux bandés avec fouet, entraves et collier avec laisse à disposition dans la chambre.
C’est ainsi que je l’attendais sans savoir ce qu’il allait me faire. Quand il ouvre la porte, il m’observe, il se dirige vers le salon pour poser son manteau et ses chaussures. Il va ensuite dans la chambre avant de revenir à moi qui n’aitepas bougé d’un pouce.
Je sens le fouet doucement sur ma joue et sur mon sein gauche. Ensuite, il s’empare de mes cheveux et c’est ainsi à 4 pattes qu’il m’emmène dans ma chambre.
Il me laisse à genoux et j’attends. Quand je sens son sexe près de ma bouche, c’est sans hésitation que je m’en empare. Je sais qu’il aimerait bien baiser ma bouche mais j’ai des difficultés avec la gorge profonde alors je fais du mieux que je peux.
Il se retire sans ménagement et me met à 4 pattes.
Le fouet tombe sur mes fesses. il faut dire qu’il ne va pas de main morte. Les premiers coups cela me convient mais à force, c’est de plus en plus dur de résister.
Il voit que j’ai le rosebud posé depuis quelques heures et il décide alors de me branler. Je jouis comme jamais. Et je sens quelque chose que je n’ai quasiment connu qu’avec Monsieur, je suis prête à couler.
Il s’arrête, enlève le rosebud. Je sens qu’il l’examine et me le met dans la bouche. Je sais que si je l’avais sali, il ne l’aurait pas fait. Et c’est ainsi qu’il décide de me pénétrer en me donnant des coups de reins sauvages.
Je hurle presque de plaisir tellement c’est puissant. Je l’entends qui m’insulte. C’est donc qu’il prend lui aussi son plaisir.
Il se retire et m’allonge à terre. Je sais ce qu’il m’attend. Surprise, il arrive à pénétrer mon cul sans aucune difficulté et c’est ainsi, humiliée, qu’il me sodomise.
J’adore vraiment ses sodomies, je jouis énormément avec les siennes. C’est le seul avec lequel je prends autant de plaisir. Il en profite. Il s’arrête pour me mordre ou tirer ma tête en arrière avec mes cheveux.
Quand il en a assez, il se retire et s’assied au bord du lit. Je n’ose bouger d’un pouce. Je reste allongée à terre en essayant de me remettre.
Il me jette mon collier : « Mets ton collier chienne et dépêche-toi. »
J’obéis.
» Enlève ton bandeau et viens. »
J’obéis et je vais vers lui à 4 pattes.
« -Nettoie ma queue. Allez dépêche-toi. »
C’est avec plaisir que je m’empare de sa queue et la nettoie. Il prend la laisse et laisse juste la distance suffisante pour que je puisse avoir sa queue en bouche. D’un coup, il tire dessus et je grimpe sur lui
« Empale-toi chienne. »
J’obéis et c’est ainsi que je gère les va-et-vient. Il joue avec la laisse pour me pencher vers lui ou me laisser droite. Il tourne mes tétons et une douleur mêlée à du plaisir montent en moi. Je perds ma concentration des va-et-vient.
« Allez défonce ta chatte. »
Je reprends une vitesse accélérée et je gémis comme je peux. Seulement ma limite est atteinte : « Maître, pourriez-vous arrêter avec les tétons s’il vous plaît ? »
Il refuse mais quelques instants après, il respecte. Je sais que c’est juste pour affirmer son autorité. Quand je me calme, il me fait pencher sur le côté pour que je puisse être sur le dos.
C’est ainsi qu’il me pénètre tout en jouant sur la longueur de la laisse, en levant une de mes jambes. En levant ensuite la deuxième. En les rabaissant. Il me donne des coups de reins et ne cesse de me remettre à ma place : « Que cette chatte est bonne et elle est à moi. Tu es une salope. Tu es une pute. »
Je lui réponds : « Cette chatte est votre maître. Je suis votre salope, votre pute. »
Mais il est vrai qu’il est difficile de parler lorsque les gémissements veulent sortir. Maître continue, sa jouissance augmente ainsi que la mienne.
Quand il commence à dire « Oui », je sais qu’il arrive bientôt au bout. Alors je le suis du mieux que je peux, je prends le plaisir que je peux et j’essaie de lui en donner autant que se peut.
Ce qui devait arriver arrivé : nos jouissances communes. Toutefois, il s’extrait avant d’éjaculer sur mon bas ventre. C’est la seule règle que je lui impose : pas d’éjaculation dans mon intimité.
Nous nous allongeons pour reprendre notre respiration car mine de rien, c’est du sport. Je me lève, je vais chercher du papier essuie-tout. Nous essuyons tant bien que mal.
Je me libère de mon collier, il me prend dans ses bras et nous parlons des choses et d’autres. Pour cette fois, il va rester dormir.
Rien ne se passera dans la nuit. Quant au lendemain, moi sur lui, lui sur moi et fellation feront leurs grands retours avant de nous préparer pour nous rendre chacun à nos boulots respectifs.
C’est certain, il va m’être difficile de me passer de sexe si je le devais…
Blog de Lili Soumise
Blog de Lili Soumise – Une soumise BDSM raconte sa soumission
Très jolies texte comme toujours nous avons l impression d’être avec vous dans la pièce
Et quoi dire de ces magnifiques photos qui von en faire rêver plus d’un je suis sûre merci pour tous ceux-ci
captivant merci !! je reconnais mon rôle de soumise
Merci à vous