hotel

Avant de commencer, vous devez comprendre qu’avant de rejoindre Monsieur, j’ai eu ce jour-là une journée très fatigante.

Je me retrouve dans ma voiture, devant l’hôtel, à attendre Monsieur. Une idée me vient. Je sors de ma voiture, je prends mes affaires et je rentre à l’hôtel. Pour une fois, c’est moi qui vais payer. Je préviens l’hôtelier qu’un ami va me rejoindre et lui donne son nom.

Je monte dans la chambre et préviens Monsieur de mon initiative par un texto. Vite, pas le temps à perdre. J’enlève mes chaussures, ma jupe et mon haut. Nue, je prends l’un de mes vêtements et bloque la porte d’entrée de la chambre pour qu’il puisse entrer sans mon aide.

Je sors tous mes jouets sur la table. Je m’installe alors sur le lit en m’y allongeant. J’écarte les jambes. J’attends ainsi un temps qui me parait infini. J’entends des pas dans le couloir, ils semblent se rapprocher. Est-ce lui ?

La porte d’entrée s’ouvre. Monsieur prend mon vêtement. Rentre et me voit ainsi : « J’aime la surprise que tu m’offres mais tu vas être punie pour avoir osé payer la chambre. »

Il pose son sac, y prend son paddle et tape sur mon clitoris….

Je sursaute, j’ouvre les yeux et je me rends compte que Monsieur est à ma vitre. Je me suis simplement endormie. Il m’ouvre la porte et je me jette dans ses bras : « Tu as l’air fatiguée ?

– Oui Monsieur. »

Nous nous embrassons. Je m’empare de mes sacs avant qu’il m’en déleste et allons dans l’hôtel.

Arrivés dans la chambre, nous posons nos sacs et la première chose que je fais, c’est de m’asseoir sur le lit pour enlever mes maudites chaussures. Il enlève les siennes et me relève : »J’adore quand tu es fatiguée, je peux faire de toi ce que je veux.

– Je ne suis pas sûre.

– Nue salope et mode présentation. »

J’obéis. J’enlève ma jupe et mon haut et me met en mode présentation pendant que Monsieur enlève son T-shirt

Il sort alors des entraves pour les poignets. Les entraves sont reliées par un fil pouvant être attaché à un collier. Il s’empare de mon poignet et l’y enferme. Fais de même avec les 2 et me remets en mode présentation.

J’avoue que les entraves tirent sur mes poignets. Monsieur enlève son pantalon et en profite pour taper mes seins avec sa ceinture (sans ceinturon, je précise).

Il récupère le paddle situé dans son sac et tape avec sur mes seins. Il me regarde dans les yeux et je pense que ce qu’il y voit le satisfait. Il se saisit alors du fil des entraves et par des mouvements me fait comprendre qu’il peut m’emmener où il veut ainsi.

« Reprenons les vieilles habitudes. »

Il s’empare de mes cheveux et me fait m’agenouiller.

 » Embrasse mes pieds. »

J’obéis tandis que Monsieur tâte de mon humidité quand il n’est pas en train de me donner des coups de paddle sur mes fesses ou sur ma chatte.

Satisfait de me voir aussi humiliée et sienne, il me relève et me fait caresser avec ma tête son sexe à travers son caleçon.

C’est lui qui dirige ma tête. Je ne fais qu’obéir à ses mouvements. Il finit par enlever son caleçon, s’assoit sur le lit et pose mes mains à terre. Pour que vous visualisiez, je ressemble à une chienne assise qui va déguster le sexe de son maître.

Je le prends en bouche. Mais croyez-vous que je sois libre de mes mouvements ? Aucunement. J’ai une certaine liberté mais j’ai toujours sa main derrière ma tête qui me contrôle au besoin.

Pour me rappeler que je suis à lui. Il me libère de la fellation, s’empare des entraves et me fait monter sur le lit à 4 pattes.

« Allonge-toi sur le dos, tête vers moi. »

J’obéis en sachant très bien ce qui m’attend : Son sexe rentre facilement dans ma bouche tandis que Monsieur attend quelques instants avant de se pencher sur mon intimité pour le lécher.

Je commence doucement à gémir. Mais pas le temps d’en profiter :

« Allonge-toi sur le dos, tête sur le coussin. »

J’obéis et je m’attends à ses délicieux cunnilingus. Il vient à ma tête, m’embrasse et positionne mes mains encore bloquées dans les bracelets de cuir au-dessus de ma tête.

Seulement voilà, ce qui me fait peur est ce qu’il me dit : « Je n’ai plus ma promesse de ne pas te mordre. »

Il commence alors à me mordre les tétons, partout sur mon bras. J’essaie de résister mais je remue : « Faut-il que j’attache tes pieds également ?

– Non, Monsieur.

– Alors, arrête de bouger. »

Il descend tout en me mordant partout. Quant à moi, je fais des efforts considérables pour subir les morsures sans broncher et sans bouger même si j’avoue que je ne peux m’empêcher de sursauter.

Je crie et j’ose même un non : « Aurais-je entendu un non ?

– Oui Monsieur.

Nouvelle morsure.

– Aurais-je entendu un non ?

– Non Monsieur.

Nouvelle morsure.

– Aurais-je entendu un non ?

– Non Monsieur.

Réalisant le nouveau non, je me reprends :

– Je n’ai pas dit non. »

Il finit alors par descendre au niveau de ma chatte. Il commence à insérer des doigts avant de me mordre.

Je dois vous avouer que détailler la suite est compliqué. Tout simplement parce qu’étant axée sur mon plaisir, impossible de définir l’ordre de tous les gestes de Monsieur si ce n’est un m »lange entre des doigts qui jouent avec mon clitoris quand ce n’est pas la langue ou quand il n’est pas en train de mordre mes lèvres, mon bas ventre ou mon clitoris.

Il m’encourage en me disant : « Vas-y chienne. »

Je subis et je dois avouer que j’ai bien du mal à reste immobile n’ayant que le droit de gémir, de crier et de ressentir du plaisir reçu par lui.

J’accueille ce plaisir volontiers, je lâche prise. À dire vrai, je ne sais même plus où je suis. À peine que je jouis, Monsieur reprend de plus belle avec un rythme plus effréné.

Jusqu’à ce qu’il me dise : « En voilà une prête à aller au mur.

– Non Monsieur, je suis fatiguée

– C’est le gode ou le mur.

– Gode. « 

Monsieur se lève et va chercher le gode. Il l’insère en moi et ma jouissance est puissante. J’essaie de l’accueillir mais j’avoue que j’ai bien du mal à le supporter. Monsieur accélère les va-et-vient. Je me mets à crier tellement c’est difficile à supporter. J’ai bien du mal à identifier si ce sont des cris de plaisir ou de douleur ou un mélange de deux.

Monsieur continue jusqu’à la prochaine explosion. Il ralentit les mouvements afin que je puisse me remettre et je réclame :

« Stop Monsieur. »

Et au lieu d’arrêter, Monsieur recommence de plus belle. Je me tortille pour essayer d’échapper ce jouet. Mais impossible. J’ai toujours les mains entravées et Monsieur s’est arrangé pour bloquer avec son corps mes jambes.

Il accélère les va-et-vient me faisant hurler de plus belle. J’ai bien du mal à supporter, j’en peux plus. Je veux juste que cela s’arrête. Mais il continue, de plus en plus vite. Je ne sais pas gérer, je veux bloquer mais je ne le peux pas, je m’exprime jusqu’à ce qu’enfin la nouvelle jouissance me libère.

Cette fois, Monsieur s’arrête :

« C’est horrible. C’est insupportable.

– Mais si, c’est juste que tu n’es pas habituée.

– C’est trop puissant, c’est insoutenable, ce n’est pas naturel.

– Bien sûr que si. Tu peux même aller plus loin. »

Monsieur me libère de mes entraves avant de s’installer. Je vais alors dans ses bras et nous continuons la conversation. Mais il ne peut pas s’empêcher de continuer à jouer avec mon corps.

Il s’empare même de ma main et la positionne sur son sexe. Il est tout mou et malgré mes mouvements, il ne se durcit à aucun moment. Je m’en inquiète. Il me rassure en me disant qu’il aime mes caresses et que le durcissement n’est pas de mon fait.

Jusqu’à ce qu’il décide de passer en mode 69. Je suis allongée sur le dos et c’est lui qui s’installe sur moi. Toutefois, j’ai l’impression d’être un simple jouet pour lui. Tout simplement parce qu’il fait des va-et-vient dans ma bouche tout en léchant, mordant, doigtant mon intimité.

Je le laisse faire. Je le laisse abuser de moi comme il l’entend. J’émets de nouveaux gémissements. À croire que je suis incapable de m’arrêter. Il continue encore et encore me disant qu’il est content de sa chienne.

Je jouis je ne sais combien de fois tout en ayant son sexe dans ma bouche avant qu’il décide de se relever, ma tête au bord du lit afin que je puisse avaler son liquide.

Nous nous remettons de nos émotions avant d’aller manger. La discussion qui s’ensuit tourne autour de moi. Non pas que je suis égocentrique mais je réfléchis à beaucoup de choses en ce moment et avoir son avis est important. Pour qui cela intéresse, je ferais un aparté à la fin.

Après avoir mangé, je suis dépitée. Je suis fatiguée, j’ai mal au crâne et j’ai envie de dormir. Monsieur me déshabille et me fait installer sur le ventre.

Et là, j’ai droit à un vrai massage. Ce qui me fait du bien et j’avoue que si mon mal de tête est amoindri, il est encore présent. Monsieur convient qu’il est temps de dormir.

Je suis dépitée. Je me couche tard habituellement et je ne vois pas souvent Monsieur. Mais ce soir, je l’oblige à nous coucher tôt.

Toutefois, mon cerveau n’est pas en off comme me disent certains. Je pose des questions sorties de nulle part. Je m’étonne que cela ne déstabilise pas Monsieur. Il y répond comme si c’était normal.

Je finis par me taire et il s’endort rapidement. Je mets beaucoup de temps avant de m’endormir. mais quelle que soit ma position, je tâche de rester dans ses bras. Mine de rien, c’est agréable et si rare pour moi…

J’ignore quand et comment, je finis par m’endormir. Jusqu’à ce qu’à une heure tardive, nous nous réveillons tous les deux. Lui vous dira que c’est moi qui l’ai cherché. Moi, innocente, totalement à sa merci, qui ne peut prendre aucune initiative.

Alors je vous laisse choisir entre lui qui caresse mon corps qui me réveille ou moi qui me colle à lui et bouge en conséquence.

Selon vous, que préférez-vous ?

Bref, une fois réveillés, Monsieur parcourt mon corps de ses caresses, me mord le cou. Et le revoilà en train de me branler tandis que je gémis.

C’est aussi puissant que dans la soirée. Sachant qu’il est tard, j’essaie d’étouffer mes cris mais j’ai beaucoup de mal :

« – Dommage que le gode soit si loin, je jouerais bien avec.

– Tant mieux alors.

– Attention si tu me provoques, je vais aller le chercher.

– Ce n’est pas du tout mon genre de te provoquer. Je réponds ironiquement. »

Monsieur reprend son branlage afin de me faire jouir encore et encore. En sachant que les jouissances sont de plus en plus puissantes me faisant crier et gémir de plus en plus fort.

Monsieur finit par arrêter après l’une de mes jouissances. Et nous nous rendormons jusqu’au lendemain.

Nous nous réveillons simultanément (ou à moins que l’un cherche l’autre, moi je dis Monsieur) et Monsieur me caresse sensuellement avant de réclamer une fellation.

Son sexe est déjà tout dur. Mais plus je m’occupe de son sexe, plus il se ramollit. J’avoue que j’ai du mal à comprendre. Monsieur m’explique que je ne suis pas fautive et qu’il apprécie mes caresses avec ma bouche.

Vous faut-il vraiment expliquer la suite ? Monsieur munit de sa langue, de ses doigts recommence à jouer avec mon clitoris. Il ne peut s’empêcher de me mordre. J’ignore le nombre de jouissances mais j’avoue que c’est lui qui décide quand il s’arrête.

Selon lui, je suis accro à la jouissance et je suis insatiable. Mon corps réclame encore et toujours.

Nous finissons toutefois par nous arrêter et j’apprécie le moment où il est assis sur le lit, moi debout et il me prend dans ses bras et m’embrasse tendrement. Nous restons ainsi quelques instants purement agréables, simples et sincères.

Et là, il décide de faire qu’un seul de mes précédents partenaires a fait deux fois. Nous allons sous la douche et je laisse Monsieur me laver. Il le fait tendrement, délicatement. Bien sûr, il en profite pour s’attarder sur certaines parties. Je la trouve si sensuelle et si délicieuse.

Je ne vais pas dire que la soirée et la nuit ne m’ont pas plu mais j’ai rencontré si peu de gens qui ont bien voulu s’occuper et prendre soin de moi que j’aime en profiter quand c’est le cas.

Je sors de la douche, me sèche, me rhabille, range mes affaires. Je regarde mon téléphone en attendant que Monsieur soit prêt.

Nous prenons notre petit déjeuner et la seule pensée qui m’obsède ce matin-là, c’est : « Je suis nulle et je n’ai pas l’impression d’assurer dans ma vie. »

Je sais que certaines personnes me comprendront. Cette pensée n’a rien à voir avec Monsieur ou les moments passés avec lui. Mais l’image et l’estime que j’ai de moi.

Je finis par lui en faire part et je vois à son regard que j’ai tort et que je ne devrais pas le penser. Il me rassure et finissons de manger.

Pour me dire au revoir, il ne trouve rien de mieux que soulever ma jupe, dévoilant mes fesses et me donner une tape. En fait, il m’a quand même embrassé et pris dans ses bras.

Nous sommes repartis chacun chez soi.

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4 commentaire

  1. Ton écrit est magique.et toi adorable.

  2. tu est tres jolie lilisoumise je voudrai bien te renconté avec ton maitre

    1. Contactez mon Maître. Pour le contacter regardez en bas de la page

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