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Même si le contrat avec mon maître était terminé, nous avons gardé le contact.

Nous nous appelons, nous nous envoyons des textos et nous nous voyons avec d’autres personnes. Ni l’un ni l’autre n’avons parlé de notre relation. C’est aussi la raison pour laquelle j’en parle ici.

N’ayant aucun confident capable d’entendre ce que je vis et vu que j’ai promis à mon maître d’en parler à personne, j’avais quand même le besoin de raconter. Il m’a donné son accord pour relater mes expériences ici.

Jusqu’à ce fameux jour…

Mon maître et moi adorons le cinéma. Nous avons tous deux une préférence pour un genre : les films d’horreur. Seulement, ni l’un ni l’autre possédons des connaissances pour aller voir ce genre de film. Il me proposa alors d’aller en voir un.

Seulement, il avait bien autre chose en tête. Après 2 semaines de rupture (si on peut appeler cela une rupture), il me propose également d’aller boire un verre chez lui avant le cinéma.

Je sais pertinemment ce que cela veut dire. Nous allions finir tous les 2 nus dans son lit. J’hésite parce que je ne comprends rien. Un jour, il me veut. Le lendemain, il veut arrêter à cause de ses pratiques excentriques. Le surlendemain, il me soumet à lui le temps imparti du contrat puis nous avons repris notre vie. Et aujourd’hui, il me désire à nouveau.

Je me sens perdue et je prends le temps de réfléchir. Je suis seule, je vis des expériences inédites. Comme on dit, il n’y a pas de mal à se faire du bien, non ?

Je finis par craquer et accepte son invitation. Seulement, au cas où je m’étais méprise (mais j’étais sûre à 99% que non), je choisis parmi mes vêtements ceux qui me mettent le moins en valeur. Je mets un jean pourri, un débardeur large et un pull à trou large.

Le soir, comme convenu, il m’attend à la gare. Malheureusement pour moi, il fait une chaleur insupportable. Toutefois, Je me refuse d’enlever mon pull. Cela lui donnerait un avantage dont je n’ai pas envie de lui donner. Nous nous sommes dits bonjour et j’ai vu à son regard qu’il n’approuve pas du tout ma tenue mais qu’il me désire quand même. Toutefois, nous ne parlons pas de ce qui allait probablement se passer.

Il m’emmène chez lui et nous buvons un verre bien rafraîchissant. Je mets une grande distance entre nous et cela me convient. Toutefois, je me demande si je ne me suis pas trompée sur ses intentions.

Je suis rassurée quelques minutes plus tard quand il s’approche de moi et enlève mon pull tout en profitant de me caresser :

« – Pourquoi as-tu mis ce pull ?

– Pour ne pas te tenter

.– Tu peux t’habiller comme tu veux, je sais ce qu’il y a dessous et c’est ce qui m’intéresse. »

Une fois le pull posé, il s’avance vers moi, me plaque contre un mur tout en m’embrassant et en me caressant. Il m’enlève rapidement mon débardeur et mon soutien-gorge. Tout est allé trop vite dans le bon sens, je le laisse faire sauf quand il appuie sur ma tête pour que je lui fasse une fellation.

J’ignore pour quelle raison mais je n’en ai pas envie à ce moment-là. Il respecte mon refus mais cela ne l’empêche pas de continuer à me déshabiller et à me caresser.

Il s’arrête et je comprends qu’il veut qu’on aille dans sa chambre. Je pars devant car je sais qu’il veut être derrière moi pour mieux me fesser ou me caresser les fesses.

A peine arrivée près du lit, il me retourne et m’allonge sur le lit. Il se déshabille en une vitesse éclair et pénètre ma chatte directement. Mmm, que c’est bon.

Je crois que jamais je ne pourrais me passer de sexe et encore moins d’un sexe d’un homme même si j’avais pris du plaisir avec une femme, à la longue, ce muscle me manquerait.

Il s’arrête soudainement. Il n’a aucune intention de me satisfaire par ce biais. En tant que maître, il veut me dominer et me rappeler ma place. Il me retourne et je le sens entrer entre mes fesses.

Il sait comment s’y prendre et j’avoue que même s’il ne s’était passé que 2 semaines, sa sodomie m’avait manqué. Je ne sais comment mais je les adore. Et le pire, c’est que j’en redemande.

C’est ainsi qu’il me prend et me dit :

« – Je ne veux plus que tu oublies que tu es à moi.

– Oui, maître.

– A qui appartiens-tu ?

– A toi. »

Et nous continuons ainsi. Comme à chacune de ses sodomies, je subis un orgasme pendant que lui jouis dans mon derrière.

Nous faisons une pause. Cela ne l’empêche absolument pas de m’en faire subir 2 autres et toujours dans mon cul avant de devoir partir au cinéma.

C’est fou ce que ce plaisir a pu me manquer. Il est vraiment différent de la pénétration dans ma chatte et seul mon maître actuel réussit à me rendre addict à cette pratique. Je ne la lui refuse jamais.

Une chose était claire, nos jeux allaient reprendre de plus belle.

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2 commentaire

  1. C est vrai que la sodomie est un plaisir inégalable quand elle est pratiqué d un commun accord

    1. Il faut aussi savoir la pratiquer. En effet, j’ai pu la pratiquer avec d’autres partenaires avec lesquels j’ai pris du plaisir mais je n’avais jamais été jusqu’à la jouissance.
      A ce jour, seul lui m’a procuré un orgasme par cette pratique.

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