Lili Soumise en guêpière

Avec mon maître, nous avons échangé plusieurs textos se cherchant l’un l’autre et savoir ce que l’un ou l’autre aimerait tester comme pratique dans les jeux de soumission.
C’est ainsi qu’au lieu de rentrer chez moi à la sortie de mon travail, je m’arrête à la gare de mon maître afin qu’il vienne me récupérer en voiture. Il est prévu de passer toute une soirée et toute une nuit ensemble.

Dès que je rentre dans sa voiture, je sens tout de suite son envie de me déshabiller et de me prendre.

Heureusement, le trajet en voiture ne dure que quelques minutes.

À peine rentrés, mes sacs posés, il m’embrasse avec fougue tout en me poussant contre un mur. Je n’ai le temps que d’une respiration avant de me retrouver nue devant lui. Il continue de m’embrasser tout en baladant ses mains sur moi. Il caresse mon corps, il pince mes tétons ou mes seins.

De temps en temps, il me doigte et constate que je mouille déjà.

Par moment, il s’arrête d’embrasser ma bouche pour mieux s’occuper de ma poitrine. Il a aussi découvert que jouer avec sa langue sur mon oreille me rend folle de plaisir. Je ne sais plus où j’en suis, je savoure le plaisir qu’il me fait prendre. Il me fait me mettre à genoux devant lui afin de prendre à pleine bouche son précieux. J’aime me retrouver dans cette position.

Je suis à lui, il peut faire ce qu’il veut de moi. Et je tiens à le satisfaire comme il le souhaite.

Toutefois, il m’arrête en me poussant gentiment en arrière et me dit :

« Tu aurais pu te libérer plus tôt. Je t’ai attendu trop longtemps. A 4 pattes. »

Je lui obéis sans discuter. Je sais pour en avoir discuté, qu’il veut me prendre en levrette dans son entrée. C’est donc sans surprise que je l’entends se déshabiller tout en me faisant attendre dans cette position plus qu’avilissante.

Pourtant, il me dit :

« Tu me fais oublier mes devoirs. Tu mérites une punition pour m’avoir fait patienter. »

Et je sens les premiers coups de ceinture sur mes fesses. Je lui avais fait part de ma volonté de découvrir cette pratique. Je ne m’étonne pas que la douleur soit plus forte que les fessées données par ses mains.

Dans le même temps, me retrouver dans une position de chienne subissant une telle punition, m’excite davantage. Il accompagne ses coups avec des paroles telles que :

« À qui appartiens-tu ?

  • À toi Maître
  • C’est bien. Tu commences à comprendre. Quand tu es une bonne chienne, je te récompenserais. Quand tu désobéiras, tu auras la punition que tu mérites. »

Je n’ose rien dire. Je l’entends se mettre à genoux pour me pénétrer. Il donne de violents coups de reins me faisant gémir de plus en plus fort à chaque coup.

Au bord de ma jouissance, il s’arrête soudain :

« Je vais te montrer la chambre. »

Je me lève et le suis dans sa chambre. Debout, nous nous embrassons de nouveau. Nous nous caressons mutuellement jusqu’à ce qu’il se décide à me pousser sur le lit pour m’allonger sur mon ventre.

Je comprends ce qui m’attend : une nouvelle sodomie. Cette fois, je n’ai plus d’appréhension. J’ai découvert avec lui l’orgasme par la pénétration anale et j’avoue que je suis plutôt heureuse qu’il recommence.

De temps à autre, il me tient les mains dans le dos ou bien il me tire par les cheveux pour que je lève la tête ou encore me bâillonne. Il ne cesse de répéter :

« – Quelle bonne salope. J’adore ton cul. Ce que je suis bien dedans! »

Et moi je réponds :

« Je suis à toi. Je t’appartiens. Mon cul est fait pour toi. »

Je subis avec grand plaisir jusqu’à nos deux jouissances communes. Ce n’est que la deuxième fois, mais j’y prends goût.

Nous nous allongeons, moi dans ses bras et nous parlons de ce que nous venons de vivre. C’est tellement intense que j’en redemande encore. Je sais que la soirée ne faisait que commencer.

Nous finissons par nous lever et nous rhabiller pour dîner durant lequel nous parlons de choses et d’autres. Ensuite, nous regardons un film. Ce n’est qu’une excuse pour que je sois dans ses bras et qu’il me pelote à loisir. Nous n’avons même pas fini le film que nous retournons dans sa chambre.

Cette fois-ci, il me menotte les mains. Il prend son temps pour constater que je ne peux plus vraiment bouger. Il aime savourer mon impuissance. Cette fois-ci, il commence par me sodomiser avant de me prendre par devant. Ne pouvant rien faire, je ne fais que subir ses assauts tout en lui disant les mots qu’il attend de moi.

Il m’était déjà arrivée d’être attachée. Toutefois, avec mon maître, c’est bien plus que cela. Certes, je ne peux pas bouger, mais je me sens mentalement impuissante, bloquée, rabaissée. Dans un autre contexte, je n’aurais certainement pas apprécié. Mais dans notre jeu, j’adore cela.

J’adore être à la merci de mon maître. Cela m’excite davantage et je jouis d’autant plus qu’avec aucun autre de mes partenaires précédents.

Je crois qu’il l’a senti et apprécie d’autant plus de me donner autant de plaisir. Il n’oublie bien évidemment pas le sien et je comprends que nos jeux lui permettent à lui aussi de prendre une jouissance plus explosive qu’à l’accoutumée.

C’est ainsi qu’une fois repus de nos jeux sexuels et pris par la fatigue, nous nous endormons.

Cela ne dure que quelques heures. J’adore faire l’amour en pleine nuit. Je découvre cette nuit-là que c’est son cas à lui aussi.C’est lors de l’un de mes réveils que je constate que mon maître est, lui aussi, réveillé à ce moment-là. Nous voilà repartis pour nous embrasser avec fougue avec d’autant plus de caresses. Je prends l’initiative de monter sur lui. J’adore le faire, car cette position est celle qui m’apporte systématiquement un orgasme.

J’en ai dans d’autres positions, mais c’est aléatoire. Au moins dans celle-ci, c’est moi qui ai la sensation de contrôle. Du moins, c’est ce que je croyais. Mes fesses vulnérables, je reçois des fessées tandis qu’avec son corps, il me fait aller à son rythme quand le mien ne lui convient pas

Je vois à son regard le plaisir qu’il prend de voir monter la jouissance en moi. Je suis déçue lorsque mon orgasme arrive, car je sens que mon maître, lui, n’a pas encore joui. Il me rejette et me fait prendre à pleine bouche son sexe.

À peine remise de mon extase, j’avale son précieux liquide avec délice. Je crois que ce ne serait pas non plus la dernière fois que je l’avalerais.

Nous nous rendormons. Le lendemain matin, nous nous réveillons et nous levons tranquillement. Nous allons dans la douche ensemble. Il tient également à me faire comprendre que j’étais à lui à chaque instant. Il m’ordonne :

« Tu vas me laver. Et je vais te laver. »

Je prends du gel douche et je le savonne partout. Je fais durer les caresses sachant que c’est ce qu’il souhaite. Il m’encourage :

« – Continue. Vas-y plus fort. Reviens sur cette zone … »

Puis c’est mon tour, je le laisse savourer mon corps avant qu’il ne soit recouvert de vêtement.

Nous nous rinçons, nous habillons et prenons le petit déjeuner.

Il me ramène à la gare. Je peux reprendre le cours de ma vie sourire aux lèvres en repensant à ces dernières heures dans lesquelles j’ai pris un plaisir intense en appartenant à mon maître. Je dois avouer que même si j’avais connu du plaisir dans le sexe, ce que je venais de vivre était beaucoup plus puissant et jouissif.

Ce ne serait pas la dernière fois que je me soumettrai à lui.

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