Collier de Lili

Nous avions repris de plus belle nos jeux. En ce moment, nous nous voyons une à 2 fois par semaine.

Je suis toujours la soumise de mon maître qui mixe selon ses humeurs et ses envies entre fellation, pénétration et sodomie. Mais à chaque fois, j’ai droit à ses fessées données essentiellement avec ses mains.

.J’adore ces jeux même si je me pose la question suivante : « Et si nous allions plus loin. »

Chose que jamais je n’aurais pu concevoir avant sa rencontre, je lui demande avis sur ce qu’il pense notamment des laisses pour femmes.Je savais que nous nous enfoncerions un peu plus dans le BDSM avec cet accessoire. Je voulais toutefois savoir ce que cela faisait s’il me réduisait en chienne. Je veux dire en une véritable chienne.

Il m’indique qu’il n’avait jamais eu l’occasion mais pourquoi pas.

Je me lance dans cet achat plutôt surprenant. En comparant les prix, je me rends compte qu’une laisse contenue dans un kit BDSM coûte moins cher qu’en l’achetant seule. Je décide d’acheter ce dernier. Non pas que je souhaite l’utiliser mais c’était pour économiser de l’argent.

kit
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Je ne me sens pas prête à vouloir utiliser tout le contenu. A cet instant, pour moi, ce kit allait trop loin. C’est la raison pour laquelle je n’en parle pas à mon maître. 

Je lui avoue seulement l’achat de ma laisse.

Une fois la laisse réceptionnée, il faut bien l’utiliser. C’est ainsi qu’un soir, je me retrouve à genoux, nue hormis la laisse autour de mon cou avec une ceinture à portée de main devant mon ascenseur. Le risque d’être surprise ainsi par un autre que mon maître était faible du fait de la position de mon habitat.

Toutefois, en l’attendant ainsi, mille pensées me traversent l’esprit. Je suis presque honteuse d’attendre ainsi comme une esclave. Après tout, les femmes s’étaient battues pour l’égalité et je me retrouve dans un tel rabaissement que l’on peut se demander comment je peux l’accepter.

Ce qui contrebalance sont mes pensées au sujet du plaisir qui m’attendait. Je ne dois que subir et obéir. Mon maître est respectueux envers moi et même quand il me punit, il sait combien cela m’excite. Notre mot d’arrêt pour cesser toute pratique existe encore.

J’en suis là de mes pensées lorsque mon maître (titre qu’il n’a jamais mieux porté que ce jour) arrive. Etant à la hauteur de son pantalon, je peux constater l’effet que ma position lui fait.

Le jeu va démarrer pour notre plus grand plaisir à tous 2.

Il me laisse toutefois patienter quelques secondes afin de savourer mon avilissement total.

Il finit par décider et prend la laisse. Avec elle, il me met à 4 pattes sur mon palier.

Tout en tenant la laisse, il se saisit de la ceinture pour me donner quelques coups sur mes fesses.

Etant mon maître, il n’a besoin d’aucune justification pour me punir. Il me laisse me remettre de ma punition pendant qu’il abaisse son pantalon et son caleçon. C’est ainsi qu’en levrette laissée ou je devrais dire en chienne laissée, il me pénètre en me donnant de violents coups de reins.

Bien que je sois au plus haut point humiliée, j’en prends un énorme plaisir. Plus il me réduit à l’état de chienne, plus mon plaisir est décuplé.

Pourtant, je n’oublie pas où nous nous trouvons, c’est avec grande difficulté que je retiens mes gémissements. Mon maître l’a vu et il en savoure d’autant plus l’effet qu’il me fait. Mon maître n’hésite pas non plus à tirer sur la laisse ou à lâcher du lest selon s’il veut que je relève la tête ou non. Ce qui me fait encore plus agréablement réagir.

Il finit par s’arrêter net. Je commence à avoir l’habitude. Seul lui décide du moment où nous pouvons tous deux aller jusqu’à la jouissance. J’essaie de reprendre mon souffle.

Il se relève, prend la laisse ainsi que ses vêtements. Il entre dans mon appartement pendant que je le suis comme la chienne que je sus : à 4 pattes. Il m’emmène dans mon salon. Il me fait me mettre à genoux et insère son sexe au plus profond dans ma bouche. Je fais des allers-retours, je joue avec ma langue et parfois je me retire pour mieux le lécher.  Je commence à comprendre la manière dont il aime les fellations.

J’essaie de le satisfaire du mieux que je peux. Je suis toujours à l’écoute de ses gémissements et de ses ordres. Hors de question de ne pas lui obéir.

C’est toujours lui le maître et sans que je m’y attende, il me rejette en arrière.

Il se saisit de nouveau la laisse. Il m’emmène vers le canapé. Je sais ce qui m’attend. Il me relève. Je me penche afin de positionner mes mains sur mon canapé, lui offrant ainsi courbée à la fois mon derrière et ma chatte.
Il me fesse encore de plus belle pour me rappeler que je luis appartienne, que je suis sa chienne rien qu’à lui et qu’il tient à ce que jamais je ne l’oublie.

Quelques secondes après ma nouvelle punition, il me sodomise. Je la savoure toujours autant. Je ne sais toujours pas comment il s’y prend mais j’adore ces sodomies qui m’humilient mais m’emmènent aussi à un orgasme.

Il aime me voir ainsi. Son plaisir en est décuplé. Cela ne l’empêche pas non plus de jouer avec la laisse. Il continue la sodomie jusqu’à l’éjaculation dans mon derrière.

Une fois nos jouissances passées, nous nous installons sur mon lit. Il m’autorise à me libérer de ma laisse. Toujours après les pratiques, je redeviens son égale. Nous entamons alors des discussions qui parlent aussi bien des pratiques que nous venons de faire mais également de nos vies quotidiennes.

J’aime notre complicité. C’est ce qui fait la puissance de nos jeux. J’ai une telle confiance en lui qu’il peut tout me faire subir. Je sais que si je n’aime pas une pratique, il la stoppera immédiatement et il n’essaiera plus sauf si je l’y autorise de nouveau.

Il commence aussi à me connaître. Il a des idées sur ce qu’il voudrait me faire subir. C’est comme cela que j’ai une vague idée de ce qui pourra bien m’attendre lors de nos prochains jeux.

Nous sommes tous les deux fous de sexe. En général, pendant nos discussions, il commence toujours par jouer avec mes seins en les caressant ou en les serrant. Je sais alors qu’il les tétera ou les léchera avec sa langue tôt ou tard. Ensuite, en fonction de ses envies et des miennes, c’est pénétration dans ma chatte ou dans mon derrière.

Ce soir-là, c’est dans ma chatte. Il adore lever mes jambes. J’ai régulièrement mes pieds à côté de sa tête. Parfois, il me les abaisse pour que je les écarte afin de s’appuyer dessus avec ses mains.

Cela lui permet d’augmenter la violence de ses coups de reins. J’ai droit alors :

« Quelle bonne chatte ! Qu’est-ce que je suis bien dedans ! Elle est à moi.

Je lui réponds alors :

« Elle est à ta disposition. Tu peux me prendre quand l’envie est présente. »

En général, la deuxième fois est plus rapide que la première. Le principal est le plaisir que nous prenons. Que ce soit la première, la 2ème ou la 3ème, je prends tellement de plaisir avec lui que je suis toujours en demande. Je crois que jamais je ne pourrais simuler avec lui tellement il m’apporte du plaisir.

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