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J’avoue que ma première expérience fut plutôt étrange mais c’est celle-ci qui m’a également donnée envie de continuer. Elle m’a permis de me découvrir et de me faire aimer la soumission.

Nous nous étions convenu d’un mot si jamais il allait trop loin : « Stop ». Seulement, je m’étais préparée à ne pas l’utiliser. Je voulais profiter de l’expérience à fond que cela me plaise ou non.

Je voulais découvrir ce monde dans toutes ses largesses.

Mon maître m’avait donnée des ordres. Je devais l’attendre nue à genoux. Mon derrière tourné vers la porte.

Lorsque j’avais imaginé la situation, j’avais trouvé cela excitant. Quand je me retrouvais dans cette position, ma rationalité reprit le pas : « Qu’est-ce que j’étais en train de faire ? A quoi je ressemblais ? Après tout, les femmes s’étaient battues pour être libres et j’attendais mon maître dans cette position avilissante. »

J’essayais de faire taire cette voix. Hors de question que la raison ou autre me gâche mon expérience.

Dans tous les cas plus le temps, j’entendais l’ascenseur s’ouvrir. Mon maître arrivait. Il prit son temps pour entrer et fermer la porte.

Je reste ainsi, en attendant ce qu’il allait faire et surtout me faire.

Il m’attrape par les cheveux et m’entraîne dans le salon. Il me dit :

« C’est quoi cette position, salope ? Tu vas être punie pour cette indécence. »

Il vient vers mes fesses et me donne des fessées. Quand je dis fessées, ce ne sont pas de simples tapes. Ce sont des vraies fessées qui font mal et qui font rougir.

Et pourtant, je prends un plaisir à les recevoir. Je subis sans rien dire jusqu’à ce qu’il dise :

« – A qui tu appartiens ?

– A moi.

J’ai droit à de nouvelles fessées jusqu’à ce qu’il s’en lasse. Il est en train de m’éduquer.

– A toi.

Il me fesse de nouveau en me disant :

– Répète

– Je t’appartiens. »

Il revient vers ma bouche et enlève son pantalon ainsi que son caleçon. En me tirant les cheveux, il me fait comprendre qu’il désire une fellation.

Je le prends à pleine bouche. Je fais des va-et-vient. Il accompagne ma tête en me tenant par les cheveux. Par moment, je retire son sexe de ma bouche et je joue avec lui avec ma langue.

« – C’est bien. Tu commences à comprendre. Je vais te dresser. »

D’un coup, il me rejette en arrière. Il me remet à 4 pattes et commence à me prendre la chatte.

Je l’entends :

« – Humm. Quelle est bonne cette chatte. A qui elle est ?

– A toi. Je t’appartiens.

– Oui. Tu es à moi et à personne d’autre. Je vais te l’apprendre. »

Il continue ainsi quelques minutes avant de se retirer.

Tout en me tirant à nouveau les cheveux, il me remet debout. Je mets les mains sur mon canapé. Il me fait cambrer. Je reçois de nouvelles fessées et m’informe :

« – Sais-tu que tu es à moi toute entière ?

– Oui Maître.

Il commence à caresser mes fesses. Ses doigts s’approchent d’elles :

« – Une soumise doit se donner entière. Tu le sais ?

– Oui Maître. »

Il se tait et je sens sa queue me pénétrer par mon derrière. Il est en train de me sodomiser.

J’appréhende quelque peu car je n’ai pas eu de bonnes expériences sur cette pratique par le passé. Toutefois, tout ce qu’il me fait me plait. En tant que soumise, je dois tout accepter de mon Maître. Seul lui sait ce qui est bon pour moi.

Je suis enchantée de découvrir qu’il a sa méthode dans la sodomie. Cette dernière me permet de découvrir la jouissance que cette pratique peut donner. Il fait des va-et-vient tout en me répétant combien il adore mon cul et combien je lui appartiens. Je ne cesse de lui dire que je suis à lui, rien qu’à lui et que seul lui peut disposer de mon corps.

Mon maître finit par se lasser, il se retire et me pousse sur mon canapé pour mieux me retourner.

Il veut prendre mon autre orifice. il me fait lever mes jambes de manière à ce que ces dernières soient autour de son cou. Et là, il fait une chose surprenante tout en me pénétrant avec la sauvagerie qui lui appartient :

« – Ce n’est pas aussi facile. « 

Il commence à donner des baffes à mes seins :

« – Je dois t’apprendre mes préférences et ce que cela veut dire que de m’appartenir.

– Stop. J’ai compris. Je t’obéirais et je subirais toute punition que je méri…. »

Je ne peux finir ma phrase à cause de la jouissance qui m’envahit soudainement. Nous prenons tous les deux un plaisir inimaginable. Je le vois à son regard.

Je sais que ce plaisir n’est pas dû qu’à une seule queue qui me pénètre. C’est l’ensemble du jeu qui me fait monter ce plaisir à ce point. Tout ce qu’il m’avait fait m’avait plus qu’excitée.

Quand nous avons terminé, il s’allonge à côté de moi et nous essayons tant bien que mal de reprendre notre souffle.

Nous échangeons sur ce qu’il venait de se passer. Ce qui m’avait plu ou non. Ce qui m’avait le plus excité. Ce que lui avait apprécié de cette expérience.

C’est ma première découverte en tant que soumise mais ce ne serait certainement pas la dernière!

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