chienne

Ce samedi, j’avais juste prévu de passer l’aprem chez une copine.

Lorsque j’arrivais chez elle, nous parlâmes et me proposa de rester dîner chez elle. N’ayant rien de prévu, j’acceptais volontiers.

C’était sans compter des textos de mon maître :

-Tu fais quoi Aujourd’hui ?

-Je suis chez une pote qui m’ainvité à manger et à passer la soirée

-OK. On se verra après.

– Bien maître mais je dois vous dire que j’ai seulement les colliers mais pas les accessoires

– Prouve-le pour celui en public

– C’est bien.

Plus tard dans la soirée, je reçus :

– Amènes moi ton cul de salope

J ’attendais quelques minutes avant de lui répondre :

– Je dis au revoir et j’arrive

Arrivée en bas de chez lui, je sonnais à son interphone. Je montais l’escalier et trouvais sa porte légèrement entrouverte. J’entrais, fermais la porte et fus surprise de ne pas le voir.

Je hasardais un regard dans son salon et je compris ce que cela voulait dire : obéir aux ordres.

Je posais à terre mon sac et ma veste en cuir. Je commençais à me déshabiller. Je l’entendais qui faisait de même dans son salon. J’étais en train de me saisir de mon autre collier lorsqu’il vint à moi et me regardait.

Il me laissa mettre mon collier de chienne avant de s’occuper de moi.

Sa manière de me dire bonjour était de me mordre fortement la joue tout en pinçant fort mes tétons. Il les prit ensuite dans sa bouche avant de me coller face à un mur.

Et là, je sentis les première fessées qui tombèrent. Il y allait plus violemment que d’habitude. Je subissais, j’étais à lui, il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Il justifia ma punition en me disant :

« – Comment se fait-ce que tu aies mis du temps à répondre au dernier message ?

– J’étais occupée à discuter et à dire au revoir.

Une nouvelle fessée tomba :

– Tu dois me répondre à la minute. C’est compris ?

– oui maître.

Et une nouvelle fessée :

– Tu as oublié la laisse et les menottes ?

– Pardon maître, je n’avais pas prévu.

De nouvelles fessées tombèrent avant de me dire :

– A genoux. »

Je le fis et il commença à faire le face fucking. Je ne suis pas habituée et j’ai encore du mal avec. J’essaie de tenir le plus longtemps possible avant de devoir sortir son sexe de ma gorge pour éviter une sensation d’étouffement.

Au bout de la troisième, il me prit par les cheveux et c’est à 4 pattes qu’il m’emmena dans son salon. Par une tape, je compris qu’il voulait que je m’allonge à terre.

Il rentra quasiment à sec dans mon derrière. La douleur fut vive et la supportait autant que possible. Je devais me faire à l’idée que je n’avais aucune liberté sinon subir les lubies de mon maître.

Quand la jouissance commença il me dit :

« – Tu avais envie de te faire enculer ?

– Oui par vous.

– Et non par les gens qui étaient chez ta pote ?

– Il n’y avait que des couples à part un homme. Mais il ne m’intéresse pas.

– Je sais que tu me mens, Tu avais envie de te faire baiser par lui ?

– je vous assure que non maître. Je ne peux pas vous mentir. »

Et pourtant, il continua ainsi jusqu’à nos 2 jouissances communes. Il me donna quelques coups de bites avant de se retirer et de se lever.

J’allais me relever avant de me souvenir qu’une chienne ne bouge et ne parle que sur ordre. Je restais donc allongée comme j’étais me remettant de ce qui venait de se passer.

Pendant ce temps, il alla dans sa cuisine. Au bruit, je compris qu’il se rafraîchissait en buvant et en se passant de l’eau sur le corps. Il prit tout son temps. Il revint me voir et put observer que je n’avais pas bouger d’un poil.

Il ressortit et partit dans sa chambre. Ignorant ce que je devais faire, je préférais ne pas bouger jusqu’à ce que j’entende :

« Tu peux bouger. »

Je me relevais mais me mettait à genoux. j’avais besoin de quelques secondes pour me remettre. Seulement, la situation était inédite pour moi, que devais-je faire ?

Je finis par le rejoindre à 4 pattes et monter sur son lit avant que j’entende un nouvel ordre :

« Vas te rafraîchir »

Je descendis du lit et à 4 pattes, j’allais dans la salle d’eau pour me rafraîchir avant de revenir à 4 pattes dans le lit. Nous nous endormîmes ainsi.

Nous commencions à nous connaître et je savais que j’y aurais droit dans la nuit. A un moment donné, je le sentis dans mon dos. A sa respiration, je compris qu’il n’était pas endormi. Je finis également par sentir son sexe qui se dirigeais vers mes fesses.

Je descendis mon corps pour mettre mes fesses en face de son sexe. Il finit par le rentrer entre mes fesses mais pas dans mon anus. Il me donna ainsi quelques coups de reins avant de se mettre sur le dos et m’ordonner :

« – Suces moi et dépêches toi salope. »

J’obéis mais je respectais son nouvel ordre :

« Plus doucement »

Je lui fis la fellation comme il les aimait et je sentis qu’il savourait tout comme je savourais son sexe dans ma bouche avant d’avoir un nouvel ordre :

« Assis toi sur mon sexe. »

Je grimpais sur lui et m’empala sur son sexe. Il s’empara de mes tétons et les pinça fortement pendant que la jouissance grimpait en moi dans cette position. C’était une nouveauté et mon cerveau ne savait pas s’il devait se concentrer sur le plaisir ou sur la douleur subie. Le mélange des deux me fit une sensation très étrange et insupportable.

Quand il lâcha mes tétons, je m’allongeais un peu plus sur lui et je l’entendais :
« Bouges tes fesses salope. »

Je compris qu’il voulait que j’accélère. je lui obéis tandis qu’il s’emparait de mon collier. Je disais dans ma jouissance : « Maître, maître » alors que lui me disait : « tu es une salope, tu es une chienne. »

J’essayais de tenir le plus longtemps possible mais l’ensemble fit multiplier et accélérer mon orgasme tout en sachant que lui n’avait pas eu le sien. Il m’allongea sur le ventre et se termina dans l’intérieur de mon cul.

Lorsqu’il eut le sien, il me rejeta et nous nous rendormîmes comme si de rien n’était. Même si je savais qu’il y aurait une nouvelle session au matin.

Ce qui fut le cas lorsqu’une envie me réveilla et réclamait les toilettes. En revenant, je m’allongeais sur le côté face à mon maître allongé sur le dos. Il n’en fallut plus que quelques secondes avant qu’il se tourne vers moi et commença à me caresser le corps.

J’en fis de même mais il rejeta ma main avec violence. Je lui offris alors mon corps comme je pouvais pour qu’il me caresse comme il le voulait. Il mit ses doigts en main et constatant que j’étais déjà mouillée (pourtant j’étais bien sèche en sortant des toilettes), il me mit sur le dos.

Avec mes pieds soit autour de sa taille soit autour de son cou, il me donnait des violents coups de reins. Je dis violents car il y allait vraiment avec plus de violence que d’habitude. Il me donna un doigt pour que je le mette dans ma bouche et le traite comme son sexe.

Toutefois, il adorait me rappeler ma condition, il m’ordonna de me mettre à 4 pattes. Il me pénétra ainsi tout en disant :

« Tu n’es qu’une salope. »

et je répondais :

« Je suis aussi une chienne. La vôtre »

Il laissa mon plaisir arriver mais il décida que le sien viendrait autrement. Il s’allongea sur le dos et se branla pendant que j’étais à côté. J’ignorais ce que je devais faire alors je le regardais et j’attendais simplement ce dont je me doutais.

Lorsqu’il fut sur le point d’éjaculer, il m’ordonna de prendre son sexe en bouche et d’avaler son liquide.

Je le fis et j’avoue que son liquide était délicieux.

Après que nous nous soyons remis, il m’autorisa à enlever mon collier. Je n’étais plus une chienne mais son égale. C’est ainsi que nous parlâmes de choses et d’autres avant de nous lever. En ce qui me concernait, cela a consisté à me rhabiller, boire et grignoter un truc avant de reprendre ma vie normale.

Lui me regardait tout en rangeant ses habits et en se rafraîchissant également. Nous n’avons pas beaucoup débriefé mais je crois que je serais de plus en plus comme un animal de compagnie.

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